Cette année la traction avant fête ses 90 ans ! 1 ère voiture a proposer un autoradio !
Gageons que sa fille la DS ( pas celle que l on trouve en concession !) sa petite fille la CX et l arrière petite fille la XM et l arrière arrière petite fille la C6 roulent encore a cet âge vénérable !
En avant Citroën !
Bjr André,
Oups ! je croyais que c’était toi
Quand la traction arrive, au début elle n’a as trop de succès et André Citroen a de gros ennuis de trésorerie. Notamment il a beaucoup dépensé dans la croisière « noire », la croisière « jaune », avec les automobiles à chenilles qu’il avait testées sur la dune du Pyla près de Arcachon. La traction est une avancée importante, routes motrices à l’avant, différentiel, cardans, freins hydrauliques, les autres marques paraissent à la « traine ». Rapidement, elle va devenir un véhicule incontournable !
Sans compter la spécialité des engrenages à chevrons.
Il y a eu aussi la BX. Je ne connais pas les liens de filiation exacts.
J’en ai eu deux à une époque.
La bx digne héritière de la gs/gsa !
Dans mon post précédent je voulais plutôt parler des « grandes «
@philipperadio . Slt .+ la flambe aux jeux !
Tout à fait ok avec toi ! A son crédit un patron social on peut dire paternaliste aujourd’hui ! A l inverse de Louis Renault patron capitaliste et autocrate !
J’ai eu une BX14RE (en 1983) et je n’ai jamais vu une voiture neuve avec autant de défauts de finition à la livraison:
-petits éclats de peinture repris à la main,
-capot (en plastique) avec rainures de renfort cassées d’origine, par la suite ils l’ont temporairement remplacé par un capot métallique,
-garniture de pavillon très mal ajustée,
Aujourd’hui on refuserait un tel véhicule mais comme il y avait près de 6 mois de délai de livraison, je l’ai acceptée. Le capot a été remplacé mais le concessionnaire n’a pas été fichu de trouver exactement la même teinte (pourtant c’était du blanc tout bête) …
J’ai eu plein de petites pannes (dont une perte totale de liquide hydraulique au bout de 3 mois), toutes pendant la garantie mais ensuite plus de problème.
Il faut dire que c’était une des toutes premières, qu’il vaut mieux éviter d’acheter si on ne veut pas « essuyer les plâtres » …
Bonjour,
La Traction-Avant dans sa version 7 cv (devenue plus tard 11 cv « légère ») n’était pas spécialement une « grande voiture », mais plutôt une « compacte » comme on dit maintenant. Un peu l’équivalent dans la gamme Citroën de la C4 aujourd’hui.
Bonjour.
Un récepteur Adriphone radio et son convertisseur rotatif, récupérés sur une épave de Traction
Ouais, à l’époque, les voitures étaient moins fiables. On disait pareil de la Renault 16. Personnellement, j’ai été aussi ennuyé avec le circuit hydraulique, j’ai été obligé de faire changer tout le circuit, les boules, et tout le binzz. Ça m’avait coûté un bras. Aussi, je me suis dit : « plus jamais de voiture hydro-pneumatique ».
Sinon le défaut récurrent dans la carrosserie de la BX 16, c’était les deux « fenêtres » en plastique noir, entre la porte arrière et le hayon. Au bout de très peu de temps, la peinture s’écaillait de l’intérieur, et il n’y avait rien à faire que de les changer. Mauvaise qualité des matériaux.
Mais le défaut majeur, c’était la consommation. Un vrai gouffre à essence. 450 km seulement avec un plein. C’est l’autonomie d’une voiture électrique. Heureusement l’essence n’était pas chère à l’époque.
Une fois je suis allé à Paris. Départ Marseille avec le plein, 2e plein à Villefranche, au dessus de Lyon, 3e plein, à Marnes la Vallée, avant d’arriver à Paris, réservoir sec. Compte, ça fait 2 réservoirs vidés pour 800 km, à la louche, ça fait 100 litres. Pas vraiment sobre la BX.
Après la BX j’ai eu une Renault 19 diésel, c’était assez rustique comme conception, mais l’autonomie était de 1 000 km.
A partir de là, je n’ai plus pris que des diésels Peugeot : 306, 307, 308, 2008, 3008, 2e 3008. avec plus de 1 000 km d’autonomie (sauf la 307 : 800 km). Et plus jamais de panne !
Personnellement j’ai eu deux R16, une de 1965 récupérée de mon père 7 ans plus tard avec une culasse faussée. J’ai remplacé son moteur par un de R16TS 1972 (récupéré neuf d’un véhicule où nous avions monté un autre moteur pour l’équiper en injection électronique lorsque je travaillais chez Bosch). Mais le moteur avait trop de couple pour le pont, j’en ai cassé deux en démarrant comme un dingue à un feu …
A part ça cette voiture ne s’oxydait absolument pas, contrairement à ma 2ème R16 de 1974 qui commençait à se bouffer au bout de 2 ans, comme pratiquement toutes les voitures françaises des années 70. Idem pour la Simca 1307 de 1978 qui a suivi …
Ma BX (1983) était la première voiture suivante correctement protégée contre l’oxydation, elle n’en avait absolument pas quand je l’ai revendue au bout de 5 ans.
Mais c’était une 14RE (1,4l, moteur/boite commun avec Peugeot), elle ne consommait pas énormément (contrairement à ma R16 « gonflée » qui dépassait allègrement les 10L/100).
La BX14 n’avait pas de fenestrons sur les montants AR, donc pas de problème de ce côté-là.
Ma fuite de liquide hydraulique était due à un simple joint à 2 ct qui avait été mal monté !
Mais bien sûr c’est arrivé un dimanche alors que j’étais à la plage à 150 km de chez moi avec ma fille de 6 mois. Heureusement j’avais droit à un véhicule de remplacement en cas de panne pendant la garantie, mais pas évident d’en trouver un le dimanche après-midi au Tréport.
Je n’ai jamais eu de problèmes d’oxydation sur aucune des voitures que j’ai eues. Normal, elles ont toujours dormi dans un garage
J’ai eu aussi une Simca 1307 GLS, achetée en 1976 si mes souvenirs sont exacts. C’était une belle voiture. Ma première vraie belle voiture.
Hélas, un jour, sur une petite route de campagne, j’ai déboité pour doubler un tracteur qui roulait à 20 km/h quand celui-ci a tourné brusquement à gauche sans se signaler. Pour l’éviter par la droite, j’ai mordu en freinant sur le bas-côté droit, mouillé par la rosée, et fait un tête à queue et suis venu terminer ma course en dérapage, en tapant relativement légèrement le flanc gauche contre un poteau téléphonique, qui à ainsi mis fin à l’embardée.
Pas de blessure, mais caisse déformée, et onéreuse à remettre en état.
Comme il n’y a pas eu de choc avec le tracteur, c’était tout pour ma pomme.
Je l’ai regrettée longtemps ma Simca 1307.
C’est après que j’ai pris une BX 1600 qui avait 2 ans, celle d’un collègue du bureau qui partait s’établir en Guyane. Puis une seconde quelques années après. C’est avec la seconde que j’ai eu les problèmes hydrauliques.
Pour réparer une bx : prendre du tuyau qualité carburant. Pas cher et vente au mètre . Y insérer de part et d autre de la fuite un tuyau neuf dans lequel on glisse un tuyau métallique creux . Résultat 15 minutes 5€ et ça repart !!!
J’ai eu 2x R16, et la R16 de 1965-1969 avait une particularité : une couche de minium rouge sous la peinture ! Ceci explique celà…
Anecdote : on venait d’acheter une maison et le jour de notre arrivée, la voiture de ma femme tombe en panne, pas réparable (et puis, on avait eu tellement d’ennuis qu’on ne voulait plus la faire réparer).
Obligé d’acheter une voiture avec un compte en banque très réduit (on avait tout mis dans l’apport pour la maison), je pars à la recherche d’une voiture pas chère. Et j’achète une BX diesel, 165000km au compteur.
C’est sur que les plastiques intérieurs faisaient un peu bas de gamme, mais c’est une des voitures les plus fiables qu’on a eu.
Et elle se réparait toute seule : elle a rapidement présenté un hoquètement inquiétant à un certain régime moteur (disons 1500 tour minutes). Avant ou après 1500 tours, pas de problèmes.
Après bien des recherches chez des garagistes qui ne savaient pas, un copain m’a donné l’adresse d’un garage Citroën à Rennes dont le patron était un vieux de la vieille. Verdict : une pièce dans l’embrayage qui est usée. Défaut connu, ne rien faire, elle va continuer à s’user et le hoquètement disparaitra. Et c’est ce qui est arrivé peu après (coût : 0FF).
J’ai une autre anecdote à propos de cette voiture mais je ne veux pas abuser.
Finalement, on l’a revendu alors qu’elle avait 275000km et la personne qui l’a eu continuait de l’utiliser alors qu’elle avait 300000km. Après, je ne sais plus. Si ça se trouve, elle roule encore
Les miennes aussi dormaient en parking souterrain mais j’allais aux sports d’hiver tous les ans et empruntais de ce fait des routes salées. Toutes mes voitures achetées neuves dans les années 70 ont eu des problèmes d’oxydation dans les passages de roue et les bas de caisse, celles d’avant et d’après cette période n’en ont pas eu.
C’est bien connu que la protection anticorrosion appliquée dans les années 70 par cataphorèse était pire que de n’avoir aucun traitement anticorrosion comme auparavant.
La raison serait que cette méthode par électrolyse avait été faite dans le mauvais sens (anode et cathode inversées). De plus il n’y avait aucune protection particulière (genre Blackson) dans les parties exposées comme les passages de roue et les bas de caisse.
La BX, outre le fait qu’elle avait certaines parties en plastique, était très bien protégée, notamment par injection de cire dans les corps creux.
Comme quoi, les sports d’hiver, finissent par coûter une fortune !
Trop tard ! Les BX c’est loin déjà tout ça (années 80/90). . Merci néanmoins
Ben oui, moi aussi. Je n’ai jamais prêté attention à la corrosion. Rien d’observable en tout cas.
Sur la 1307, l’allumage électronique était au top. Je me rappelle, à la neige, au petit matin, par -10°, après une nuit passée dehors, elle démarrait au quart de tour et sans starter.
En revanche, j’ai eu des ennuis avec un flexible d’échappement en inox, qui cassait tout le temps. S’ensuivait un bruit d’enfer. Mon mécano n’avait pas de solution.
Finalement, je suis allé moi-même chez un accessoiriste pour acheter un système à rotule, et je l’ai porté chez le mécano en lui demandant de l’installer. Ce qu’il a fait. Et à partir de là, jamais plus de problème dans l’échappement.