Nous nous garons assez loin et terminons à pied. Le bâtiment est une barre d’immeuble de 9 étages avec 2 cages d’escaliers. Nous arpentons avec des policiers les étages et identifions l’appartement, …, bien qu’il reste toujours une part d’incertitude
Avant de frapper à la porte, les policiers appellent la Brigade de Recherche et d’Intervention (BRI). 6 policiers de la BRI, cagoulés, casqués et armés de fusils d’assaut nous rejoignent. Ils ont également le nécessaire pour faire sauter la porte (un vérin ainsi qu’une bonbonne d’air comprimé). En complément, 3 policiers en tenue sont en bas de l’immeuble pour sécuriser les véhicules et éloigner les badauds. Un policier frappe à la porte, une dame ouvre. La BRI investit l’appartement, tout va très vite. Après un contrôle des occupants, nous pénétrons les lieux et cherchons le … … immédiatement (et) un OPJ le met sous scellés.
Un policier de la brigade des stups est appelé et contrôle les lieux à l’aide de son chien .
La recherche de stupéfiants ne fut pas concluante.
Faudrait peut être ne pas parler de victimisation.
Un brouilleur large bande qui plante tous les téléphones GSM et toutes les box en Wifi, cela ne gêne personne?
Celui qui fait un malaise et qui peut pas appeler les secours, c’est normal…
C’est comme celui qui à une kalachnikov chez lui ou 10 kilos de C4. Cela gêne qui?
En France, depuis Vichy, témoigner à la police c’est de la « délation », en Suisse c’est « être civique »
Sur ce, je vais finir de construire mon réacteur nucléaire, il me reste 3 ou 4 soudures à faire et j’espère que personne ne préviendra l’ASN; je suis quand même libre de faire ce que je veux chez moi.
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