BFR et SCREF, les brevets et les licences

Ces schémas n’avaient sans doute pour la plupart rien de breveté ni de brevetable.
Et si les « ayants droit » avaient estimé être copiés illégalement ils auraient poursuivi les contrevenants. :wink:

Même les choses les plus connues sont parfois brevetées, sans que le brevet soit tombé dans le domaine public. Je pense surtout, que ces ayants droit se sont surtout acharnés sur les gros contrevenants, préférant laissant de côté le menu fretin en pensant que le jeu n’en vaut pas la chandelle. Les avocats coûtent cher ! En évitant d’apposer une marque, ces petits contrevenants rendent les recherches plus difficiles et je suppose que c’est voulu.

BFR et SCREF étaient des sociétés, n’est-ce pas ? Quelles étaient les règles d’adhésion ? Existe-t-il une liste des membres ?

plutot des associations de constructeurs
il faudrait trouver les statuts

A priori on parlait de « consortium ». Malgré ce nom ronflant, un consortium n’est rien de plus qu’un contrat de partenariat défini entre diverses entités pouvant être publiques ou privées. Il n’a pas d’existence « légale », pas de statuts, et n’a pas besoin de déclarations administratives ni de siège social. Il meurt de sa belle mort à la date prévue dans le contrat, sa seule obligation étant d’être limité dans le temps.
Donc il va être délicat de trouver des infos.

Pour cette histoire de brevet c’est un coup d’épée dans l’eau , construire un appareil au début des années 1950 arrivant dans le métier , un grand magasin à Nantes DO PHILIPS mettait en vitrine tout le matériel y compris l’ébénisterie et c’est là que j’ai acheté le nécessaire pour en construire un , mes premiers pas dans la radio , comme à Paris , le Comptoir MB et bien d’autres ont vendu ses ensembles sans ce soucier des brevets ??

je pense que dans les années 50 la plupart des brevets datant des années 30 , Haut parleurs , bobinages , tubes, etc était tombés dans le domaine public

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Je crois que le prix des brevets était compris dans le prix des lampes et était transparent pour l’acheteur

Les licences et brevets s’appliquent en cas de construction par métier pour vendre ensuite les objets construits.

Lors d’une construction personnelle à but d’utilisation privée non commerciale par le constructeur lui-même, il n’y a pas de redevance sur un brevet, ce qui était le cas des pièces achetées par des amateurs pour construire leurs postes.

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Oui, mais les circuits pouvaient être brevetés.

On ne peut pas facilement breveter un schéma … il suffit de changer une valeur de composant pour que ça soit caduque

C’est à partir du moment où une invention est utilisée dans un but lucratif, que la licence devient nécessaire et que les royalties doivent être payées si l’inventeur ou ses ayant droits le demandent. Certes, il y a des cas marginaux. Si un concurrent fait un essai dans son laboratoire, c’est déjà dans un but lucratif. Si un amateur en fait autant, ce n’est pas le cas.

Nous ne sommes pas aux USA où un certain Edison avec ses milliers de brevets qui ne sont peut être pas ses « inventions » avec lesquels il a fait fortune …?

C’est là un vaste sujet, qui n’est pas spécialement américain. Mais il est vrai que c’est aux USA qu’ont probablement eu lieu les plus graves excès. Edison était dans les premiers rangs. Un autre exemple était RCA avec la 6L6. Les deux brevets principaux avaient été procurés par un échange de brevets avec une entreprise britannique, qui s’est fait plumer. L’enveloppe acier a été reprise à bon compte d’un fabricant américain, qui ne voulait plus continuer dans cette direction.

Oui, car la pentode était une invention et un brevet de Philips, il fallait donc trouver autre chose pour ne pas avoir à payer des licences à Philips.

Moi, je ne l’avais pas perçu comme telle, cette étiquette . . .

Ni vendeur, ni revendeur, un dépanneur : TéléSevice 79 88 rue de la gare 79000 Niort (jusqu’à fin 1981 ! ! !) … et pas vendeuse non plus ! ! !

Le vieux Tryphon

Sur les postes de radio AM ordinaires à tubes produits par des artisans après la guerre, je ne vois pas quels brevets n’étaient pas dans le domaine public.
De plus les fabricants de composants (tubes principalement) fournissaient des schémas-type destinés à être copiés et libres de tout droit.
Seuls quelques schémas sortant de l’ordinaire de parties brevetées par certains fabricants auraient pu faire l’objet de copies illégales.

pourquoi faut il que tu passes ton temps a « gueuler » sur le forum ?
majuscules et gras signifient: je crie fort …

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Nan, je ne gueule pas du tout, le fait de : mais mettre en gras (pas en Majuscules) n’est là que pour différencier les propos sélectivement


:merci:

Et je ne crie PAS FORT, là :wink: :innocent:

je ne crierai plus puisqu’il est dit que de mettre en gras ou majuscule l’indique . . .

"Mais c’est faux, je suis un très vieil informaticien et les spécificités
dactylographiques me sont connues depuis longtemps !

Le fait de ne pas pouvoir ‹ surligner › au marqueur couleur, ne pas pouvoir mettre en gras ou italique (avec un italique discernable
nettement différent, lui,) de rapetisser la taille ou l’agrandir, en typographie existe sans aucune connotation . . . pas plus que pour tout autre artifice typo et, il n’existe qu’un moyen de dire qu’on crie, c’est de l’écrire ! ! !

Que les « lecteurs » malheureusement pas au courant de ce fait
habituels (mais qui utilisent le « a rond bas de casse » à tout va)
et qui comprennent alors qu’il s’agit seulement d’un indicatif de position de l’objet de la discussion ou une adresse de courrier électronique se mettent à étudier ainsi que tout ceux qui ne savent pas, mais croient en une agression dans la prose se calment et essaient seulement de ne pas prendre des vessies pour des lanternes ! ! !

Le fait qu’on me dise de m’en tenir à des ‹ règles › inconnues ne me concerne pas ! ! !"

Je ferais ainsi quand il me plaira, en ajoutant « Mon coup de gueule » comme à mon habitude dans mes posts pour indiquer mon ire ! ! !

Le vieux Tryphon