Doctsf (Modèles & Marques)
AnnoncesBonjour ,
Découverte hier de ce modéle américain peu banal, avec 2 gammes FM et un tourne-disques à changeur 78t , + un second bras pour lire les premiers 33t qui étaient déjà sortis là-bas.
Bonne fin d’année à tous
Et avec 2 bandes FM 42 à 49 MHz et 88 à 108 MHz ! En effet au début de la FM aux U.S.A. vers 1940 les stations FM étaient vers 42 MHz.
L’ancienne gamme FM devait permettre ensuite d’écouter le son de la TV canal 1 (49,75 MHz), et celui du canal 6 sur la gamme FM actuelle (87,75 MHz).
Trés bonne année à tous ! 
En regardant cette vidéo, je me suis demandé au passage pourquoi la FM française s’est d’abord limitée à 104 Mhz ?
Un rapport avec les limitations imposées pour la radiodiffusion à l’Allemagne de l’après-guerre ?
Au départ la bande FM européenne (pas seulement française) s’arrêtait à 100 MHz, pas 104 MHz.
Et jusqu’au début des années 80 toutes les stations de Radio France, qui avait le monopole, étaient entre 87,5 et 100 MHz.
En Allemagne la bande a été étendue à 104 MHz au début des années 60, peut-être pour faire de la place aux radios des forces occupantes (américaines, anglaises et françaises) et c’est devenu plus ou moins la norme pour les récepteurs FM vendus en Europe dans les années 60, jusqu’à la fin des années 70.
Sauf que aux U.S.A. le canal A-2 (le A-1 n’existait pas) était sur 55,25/59,75 MHz le canal A-6 sur 83,25/87,75 MHz et le canal A-7 sur 175,25/179,25 MHz donc en dehors des deux gammes FM de ce récepteur.
C’est vrai que le canal A1 n’était plus utilisé, même s’il était répertorié, mais à 49,75 il était de toute façon hors bande pour cet appareil.
Mais le canal A6 avec le son à 87,75 MHz (tout comme le canal C italien) était recevable sur la plupart des récepteurs FM qui démarrent à 87,5 MHz, même si celui-ci semble bien démarrer à 88 MHz.
Quant au canal A7, il n’était bien sûr pas recevable sur un récepteur FM, mais je n’en ai pas parlé. 
Et déjà en 1953 on utilisait le 49-3 !
D’après le WRTH 1953 il y avait deux émetteurs FM de 25 watts à Jérusalem (Israël) un sur 98,3 MHz et un autre sur… 49,3 MHz.
Avant 1981 , avènement des " radios libres ", il n’ y avait que 3 stations en FM par région , avec une 4ème en sus à Paris, FIP . La bande 87.5 /100 MHz était donc bien suffisante !
En sus , au delà de 100MHz , en France à l’ époque , les fréquences de 100 à 108MHz étaient dévolues à d’ autres services que la radiodiffusion publique , dont certaines liaisons mobiles militaires, militaires qui après 1981 ont été invités à restituer les fréquences qu’ ils utilisaient très peu .
Fin des anénes 1970 début 1980, en France,
Merci pour les infos…
En France aussi, il me semble que le passage à 104MHz a eu lieu au début des sixties. J’ai un vieux tuner de l’époque ainsi limité.
Le passage de 104 à 108MHz s’est fait en 1964/65, je crois.
Et à Marseille, nous avions FIM. Une radio horripilante à souhait, dont les animatrices, pour faire très tendance et décalé (pour ne pas dire déjanté), se réjouissaient lorsque nous étions bloqués dans les embouteillages.
Mais c’était dans les années 70, pas 60.
En revanche, mon Sonolor Gouverneur, acheté en 1967 avait une gamme FM qui montait jusqu’à 108 MHz. En France c’était parfaitement inutile puisqu’il n’y avait rien au-delà de 100 MHz, mais ça m’avait étté très utile en 1968 lorsque j’étais à l’armée en Allemagne, où la bande FM était totalement saturée, comme la gamme PO à l’époque…
Je me souviens que les Américains avaient une radio à Stuttgart, qui était dans la zone d’occupation américaine, mais pas les Français.
Mais les Américains, avaient tout, même des trucs incroyables. Ils avaient des moyens que l’Armée française n’avait pas, et même qu’on en était très loin. Difficile à même imaginer…
Un soir à Stuttgart, j’avais été invité par une amie Anglaise qui vivait en Allemagne, à une soirée chez les Américains (oui je sais c’est pas simple à suivre).
Quand je suis arrivé devant la porte de la salle, et que j’ai vu ce qu’il y avait à l’intérieur, des petites tables rondes avec une nappe, avec une petite lampe sur chaque table, genre lampe de chevet, qui diffusait une lumière tamisée, comme on le voit parfois dans les films de guerre américains des années 50, des officiers en tenue de gala, je suis resté tétanisé sur place. Je n’ai pas pu faire un pas de plus.
Moi, le minable bidasse frenchie, habillé en civil, avec des vêtements non repassés, je n’ai pas osé entrer tellement je me suis senti ridicule.
C’est comme ça que j’ai raté une belle soirée.
Bonne année à tous.
A l’époque, le programme musical de FIP était également diffusé (en FM) dans plusieurs grandes villes françaises. Les stations s’appelaient FIT (Toulouse), FIM (Marseille), FIB (Bordeaux), etc.
Les annonces parlées (infos trafic) étaient, elles, locales.
A cette époque, FIP sur Paris se réjouissait aussi des embouteillages ! « Point mort, Première, Point mort, Première c’est ce que vous faites avenue de l’Opéra… » J’ai encore le souvenir de la phrase et… de la voix ! 
C’est tout à fait ça.
Voici ce que dit Wikipedia à propos des animatrices : avec humour et ironie !
