Effets des rayons X sur les pellicules photo argentique?

C’etait aussi du Canel N°5 les douaniers seraient il anti Chanel ?

Qu’est-ce que ça veut dire ???:person_shrugging:

Ils ne doivent pas être au courant du prix ! … à moins qu’ils l’offrent ensuite à leur femme ou bien qu’ils le revendent sur le net ?? Oh mais que vais-je immaginer-là ?

Bonjour
je ne sais pas s’il reste encore des dosimètres avec du film photographique, mais maintenant ils sont électroniques et se mettent après le service dans un rack connecté qui les lit et transmet les données par le réseau informatique…

C’est quoi cette embrouille ? :grinning:

tout ça, ça me rappelle l’histoire de Kodak et des premiers tests atomiques des US.

a la boutique on utilisait un faxitron HP
image
donc permis d’irradier pour les 3 utilisateurs et dosimetre a pellicule
puis un jour un des controleur a voulu voir ce qu’il y avait dans le dosimetre et l’a radiographié…
a la fin du mois panique a bord appareil arrete mis sous scelles, direction l’hosto pour le controleur , prise de sang et tout le toutim jusqu’a ce qu’il avoue avoir radiographie son dosimetre pour voir ce qu’il contenait ?
il n’a jamais recupere son permis d’irradier …

Les portiques de sécurité, que l’on traverse, ne sont pas avec des rayons X. Détection électromagnétique qui bip avec tout ce qui est métallique, que l’on à sur soi.

Les contrôles bagages sont utilisés pour radiographier les bagages soute ou les bagages à main, c’est un scanner avec un logiciel de traitement d’image, reconnaissance de formes, y passe tout ce qui n’est pas vivant.
Les films sensibles, s’ils sont contrôlés vont avoir un voile ou des raies avec le balayage du scanner.

Je suis trés souvent passé dans des aéroports avec des pellicules 24*36, du film 35 mm, des enregistrements sur film ou papier photo, des bandes/cartouches magnétiques, des chargeurs 35mm, films vierges emballées ou exposées et non développés, je n’ai jamais eu de soucis en expliquant à la sécurité que le matériel que je transportais ne devait pas passer au contrôle « rayon X ». et que les supports magnétiques, eux, devaient passer hors des portiques

A chaque fois, mon matériel est passé au contrôle manuel (sans rayons X), un peu de temps perdu, des contrôleurs faisant leur boulot en posant des questions normales et en étant satisfait des réponses cohérentes. J’ai souvent eu des contrôles de résidus drogues ou explosif sur mes bagages.

Si l’on est habillé comme un touriste et que l’on a pas d’appareil argentique avec soi, ni beaucoup de bagages et que l’on revient de Bogota en étant passé par des escales illogiques, avec plus de 100 pellicules 24/36, je peux comprendre que les douaniers soit « un peu » suspicieux.

Vous avez eu alors plus de chance que moi. Par ailleurs, je ne suis jamais allé à Bogota., je n’ai jamais fait d’escales illogiques et n’ai pas transporté 100 pellicules sans avoir de matériel argentique…. et bla bla bla…tout cela ne répond pas à ma question. Je pense que personne n’en sait rien.

A l’aéroport de Pragues, un ami avait acheté des verres en cristal (de Bohème bien sûr). Or le cristal contient du plomb.
Je l’ai vu de mes yeux à la radioscopie à l’embarquement, le colis était tout noir. On ne voyait absolument rien à l’intérieur. Bien sûr, l’ami en question a dû ouvrir son colis et étaler le contenant pièce par pièce, ce qui nous a fait perdre pas mal de temps.

Radiographier un dosimètre, pour voir ce qu’il y a dedans ! Ah ah ah C’est la meilleure de l’année !!!
:rofl:

@anon76097511

La question : « Je me demande s’il n’existe pas des emballages spéciaux pour ça. »

Dans les années 80: Il existait des emballages souples doublé de plomb pour préserver les films. sacs prévus pour 5 ou 6 films 135, sur ces sacs un marquage « ne pas passer au contrôle rayons X » avec le logo d’un scanner à bagages barré.
Hansa X-ray Proof Bag (retrocamera.be)

Suite au 11 septembre et aux pb de sécurité, les contrôleurs deviennent trés suspicieux si un objet opaque passe sur le tapis du scanner.
Si dans un bagage un objet est opaque, le contrôleur augmente l’intensité des rayons x émis pour voir à travers le contenu opaque. Donc utiliser un sac de protection me semble contre productif car le film reçoit la meme intensité que sans sac de protection, avec une durée d’exposition plus longue.

Aujourd’hui : De moins en moins de films argentiques dans les bagages des voyageurs, et c’est devenu rare au contrôle bagage

La seule solution c’est, avant le contrôle, de leurs expliquer nos craintes vis à vis des rayons X pour nos précieux films, et de mettre les films dans un bagage spécifique avec rien d’autre avec.

Je pense qu’avec plusieurs centaines de passages et jamais de films exposés, en expliquant les choses aux contrôles, cela est une certaine expérience.

PS: Mon expérience de passages avec des films dans les aéroports s’arrête en 2005.

Merci pour cette réponse effectivement plus adaptée à ma question. J’entends bien les soucis des responsables de la sécurité dans les moyens de transport et je ne leur jette pas la pierre. Mon petit problème de pellicules voilées évidemment n’est pas comparable. Mais, après tout, il est quand même légal de transporter ce type de produit et l’administration n’a pas de tolérance à cet endroit. Simplement, je voulais savoir s’il y avait un moyen de protéger facilement les films sensibles. Merci.

@anon76097511
Bien sur que c’est légal de transporter des films argentiques et heureusement.

« l’administration n’a pas de tolérance à cet endroit ». Ce n’est pas l’administration, mais les contrôles de sécurité des aéroports (ou des gares ou des ports, pour les ferrys), leur travail c’est d’assurer la sécurité maximale pour tous, en contrôlant 100% de ce qui rentre dans l’avion, ils ne sont pas là pour harceler les passagers, même si leurs questions semblent inquisitoires pour certains voyageurs.

En anticipant les contrôles et en expliquant, il n’y a pas de raison que les contrôleurs passent vos films aux rayons X contre votre gré. Les contrôleurs ne sont pas des abrutis bornés.

Les films ne doivent jamais être mis dans un bagage enregistré pour être mis en soute, car même si on ne le voit pas, ces bagages passent tous, automatiquement, au scanner bagage.

Les films doivent passer avec les bagages cabine (contrôlés en salle d’embarquement) c’est le seul moyen de pouvoir expliquer et d’empêcher que ces films soient exposés aux rayons X.

Aucun de mes films n’a voyagé en soute. Chaque fois que j’ai dû expliquer le problème aux agents de sécurité, à l’embarquement, cela a été à fin de non-recevoir (car peut-être imprévu dans le manuel de service du contrôleur ?) sauf une seule fois il est vrai, à Fiumicino, car le papa du contrôleur était, m’a-t-il dit, photographe et, de fait, ce dernier connaissait bien la question… à quoi cela tient-il… tout de même ! …

:joy::joy::joy::joy::joy:

comme beaucoup de chose, ca dépend de la personne qui fait le contrôle
si elle n’a jamais eu le cas et qu’il y a encore 200 passager a scanner, elle ne prendra pas le temps de vous écouter et suivra la procédure a la lettre
si il n’y a pas beaucoup de personne (et qu’il reste du temps pour embarquer) elle appellera peut être son supérieur
ils n’ont pas envie de retarder le vol pour une histoire de pellicule
une solution (plus onéreuse) est d’acheter la pellicule sur place et la faire développer sur place (ou de vous faire envoyer les tirages a votre domicile)

Bonjour,
Merci pour votre aide. Hélas, les produits de photo argentique ne se trouvent plus chez le photographe du coin. Par ailleurs, je me charge moi même des traitements. Je comprends la situation. Je constate hélas que ce pb est insoluble.

Pourquoi insoluble,
Quand l’on est persuadé que le pb n’a pas de solution et que les autres sont bornés, cela n’aide pas.

Comprendre ce que cherche le contrôle bagage, avoir des bagages correctement rangés, une explication claire de ne pas passer les films aux rayon X et les proposer spontanément dans un petit sac séparé du reste en demandant un contrôle manuel, devrait largement augmenter le degré de compréhension du contrôleur.
Au contrôle sur les vols internationaux, sur 200 passagers il y en a toujours une bonne dizaine avec des questions vraiment exotiques ou des produits improbables.

Tous ceux qui ont une prothèse métallique mais pas le certificat qui l’atteste, des medicament sans l’ordonnance, des sextoys (cela les amuse toujours) , une arme sans munition « oubliée » dans le bagage à main, il faut comprendre que leur boulot n’est pas simple, donc si on les aide pour que cela aille vite il ne cherchent pas de pb ou il n’y en a pas.

Les trucs qui sortent vraiment de l’ordinaire, ils en ont souvent, alors quelques films 135 et même si c’est moins souvent que dans les années 80 ce n’est pas du tout exceptionnel et c’est prévu dans les procedures spécifiques.

Tu as eu le pb combien de fois et dans quel aéroport?
Si les films sont passés en soute dans un bagage enregistré, ils ont 100% de chance de passer aux rayons X.

C’est pour moi, jusqu’à ce jour, un problème récurrent, dans chaque aéroport ! Roissy, Orly, NY, Toronto, Calgary, Edmonton, Zurich, Genève, Milan, Rome (sauf 1 fois !), Madrid, Lisbonne, Amsterdam, Florence… etc. etc. ! J’en prends mon parti. Que faire d’autre ? C’est dommage pour ma passion mais, bon, il y a d’autres problèmes plus graves ailleurs !