Doctsf (Modèles & Marques)
AnnoncesIl est à noter que ces tubes octal ont équipé des hallicrafters très performants pour l’époque. Et je l’ai vu fonctionner.
A ma connaissance , aucun Hallicrafters n’a utilisé de 6E8 
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Au vu du câblage installé plus que fouillis à la méthode artisanale de l’époque, avec le remplacement des condensateurs actuels plus petits on peut facilement aéré l’ensemble …?
Trouvé celle-ci qui a peut-être les bonnes dimensions :
Bien possible.
a +.
Les proportions semblent adaptées. Pour le reste, tout est possible. En tout cas, il faudrait le :
sans doute prévu pour modèle avec un oeil magique.
Coté réparation, c’est baclé.
Je ne savais pas qu’on pouvait faire de l’archéologie dans la radio 
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Dans tous les métiers il y a le bidouillage où le savoir faire 
Un amateur ayant un savoir faire peut procéder à un bidouillage soigné dans les règles de l’art. C’est vrai également pour le professionnel. Et inversement, tous deux peuvent faire preuve d’approximations et de raccourcis aboutissant à un travail baclé 
Bonjour,
ça a pu être fais , a la va vite, par un amateur bricoleur peu soigneux …
Ou par un artisan , pressé un vendredi après midi, ou pour un client voulant payer le minimum !
Bonjour
En considérant qu’un câblage n’est pas une oeuvre d’art , il n’est pas difficile de s’appliquer à lui donner une autre forme que l’original où très souvent les fils et les composants s’entremêlent " et une vache n’y retrouve pas son veau"" , ce qui n’est pas si compliqué et difficile , surtout qu’avec le temps nous ne sommes plus en compétition amateur où technicien , une simple suggestion .?
Je suis de cet avis car, au vu de la technologie utilisée, il est assez difficile de faire du cablage semi-volant aussi esthétique que du circuit imprimé avec CMS (qui soit dit en passant n’est pas toujours facilement dépannable). La remise en état TSF mérite quand même, à mon sens (mais chacun fait à sa guise) de remettre au plus proche de l’état d’origine, et ce avec les technologies du moment quand on ne peut pas faire autrement.
Pas difficile de faire du câblage propre. J’en ai fait un. C’est un ampli de guitare
Vidéo pour plus de details
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L’amateur ne compte pas son temps contrairement au professionnel. Il peut faire de l’art. Pas étonnant donc que dans le matos grand public, on ne s’embarasse pas trop et on tire les couts vers le bas, le principal étant que ça fonctionne et que ce soit esthétique extérieurement. Si on soigne ce qui ne se voit pas, on y passe plus de temps, c’est de la main d’oeuvre, ça coute et ça ne se vend pas à tout le monde mais à une « élite » qui y attache une importance soit par gout, soit par nécessité.
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Bonjour
Sans esprit critique , il ne faut pas éxagérer si l’ancien professionnel à été initié à ce typer de câblage pour l’armée entre autre , il en reste quelque chose , technique complètement abandonnée avec les circuits imprimés , tout matériel avant 1960 les dessous de châssis sont des amalgames de fils mis au jugé avec les capas et résistances y compris chez presque tous les constructeurs …;
L’exemple d’un Sonneclair en cours de recâblage n’est pas un exploit mais pour mieux faire du temps à passer
Le fait de devoir garder des connexions aussi courtes que possible pour la HF fait que le composant monté en volant est une des meilleures solutions adoptées, alors que le circuit imprimé n’existait pas encore. Imanquablement, ça donne un aspect fouilli. Si on pouvait toroner et monter tous les composants sur barettes, on aurait un bel aspect, mais quid du fonctionnement (et du prix de vente à l’époque) ? J’ai aussi un poste où l’esthétique du câblage semble soignée (je pense que son concepteur a eu une approche très méthodique lors du design), avec les fils de bus bien différentiés courant au milieu du chassis et sur lesquels viennent se piquer les composants, mais ça reste fouilli quand même. Avec des composants plus petits, comme le montre la photo, on gagne sur l’aspect visuel fouilli, mais on s’éloigne de l’esprit d’origine, ce qui n’est pas une critique car chacun reste libre de restaurer comme il l’entend et le principal est que le restaurateur trouve la satisfaction dans le résultat de son travail.
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