Le 19 octobre, la mission ExoMars 2016 s’insérera en orbite autour de la planète rouge alors qu’au même moment son atterrisseur Schiaparelli descendra vers la surface.
A partir du 12 octobre, La Géode (Paris) diffusera le film Imax 180°« A Beautiful Planet », réalisé en coopération avec la NASA et avec le soutien de l’ESA.
Je m' étais jsutement mis sur F2 , et après l' énoncé des titres du JT où ce sujet était absent , j' ai donc zappé pour aller voir ailleurs, sans succés
Bon il faut dire que c' est surement moins important que nos GROS soucis bassement terrestres !
On n’en a pas parlé, ou si peu, parce que personne ne sait ce qui est arrivé au module Schiaparelli. On devrait avoir la réponse jeudi à 10 h. Attendons donc !
L’orbiteur pour la détection de gaz à l’état de trace (TGO) de la mission ExoMars 2016 de l’ESA s’est inséré sur une orbite elliptique autour de la Planète rouge, après une manœuvre de capture réussie ayant nécessité l’allumage de son moteur principal pendant 139 minutes. En revanche, le contact avec l’atterrisseur expérimental de la mission n’a pas encore été rétabli.
A mon humble avis, cet "atterrisseur expérimental" n'a d'utilité que celle de pratiquer un test préalable à l'envoi futur sur la planète rouge d'un rover, du style de ceux déjà envoyés par la NASA. A condition que l'atterrissage soit un succès.
Sinon, son utilité à la surface de la planète est nulle, il n'a pas de panneaux solaires, et sa batterie est taillée pour durer quelques jours tout au plus... Alors que la NASA a déjà envoyé des rovers nettement plus sophistiqués, dont Opportunity, qui me semble-t-il est toujours opérationnel.
Donc un simple joujou pour faire mumuse comme les grands (je suis peiné de dire cela, mais c'est le sentiment que j'ai). De plus, si l'atterrisseur ne répond pas, toute cette logistique n'aura servi à rien, car on ne saura pas si le module aura atterri sans encombre, ou se sera désintégré sur le sol martien.
C' est bien précisé que cette exparience est destinée à tester une solution avant l' envoir d' un module opérationnel en 2020 Il a cependant le module resté en orbite qui lui aura des mesures à faire .
Toute évolution dans la technologie se fait par étapes , expérimentations avec ses réussites , parfois partielles , et ses échecs , bien entendu . et les américains ont eu aussi leur part d' échecs répétés pendant de nombreuses années dans ce domaine .
Regardons l' évolution et les progrès de l' aviation au siècle passé . Elles s' est déroulée avec combien d' expérimentaions , certaines un peu farfelues , d' autres moins , mais aussi au prix de combien d' accidents et de morts .
Je préfère nettement que l' homme passe son temps et son énergie à faire ce genre d' expérimentations et d' explorations qu' à faire la guerre à ses semblables continuellement comme il le fait depuis des milliers et des miliers d' années ..
Ça permet également de constater que les communautés scientifiques russes et européennes peuvent s' entendre parfaitement et coopérer dans de grands projets , alors que les politiques , eux , n' y parviennent pas !
Mais me dires vous , et malheureusement, l' un n' empêche pas l' autre
Bien entendu, je ne remets en aucun cas en cause la recherche spatiale. Et je partage parfaitement Claude tes idées sur ce sujet.
Seulement ici, sur ce cas précis, je pense qu'on aurait pu se passer de mobiliser autant de moyens sachant que tout ce qu'on pouvait obtenir de ces engins, y compris la station en orbite, ne pouvait que donner des résultats qu'on possède déjà, tant l'avance américaine en ce domaine est énorme. Et la NASA a l'habitude de partager largement ses données avec la communauté scientifique.
En revanche, je pense qu'il aurait été intéressant de faire atterrir le machin à proximité d'Opportunity, le rover de la NASA. On aurait pu ainsi assister à l'atterrissage du module en direct, (ou plutot en léger différé, vu le temps mis par les ondes pour parvenir sur la Terre). De plus, en cas d'échec, le rover aurait pu aller jeter un coup d'oeil sur le module pour voir ce qui n'allait pas. Mais je suppose que la collaboration inter-états n'est pas encore à ce point efficiente pour permettre une telle chose.
Autant la sonde Rosetta, malgré son demi-succès (ou demi-échec pour les ronchons), a été je pense hyper utile, ne serait-ce que pour nous avoir envoyé de magnifiques photos de l'astre chevelu, objet dans le passé de tant de fantasmes. En effet, grâce à cette sonde, on sait désormais à quoi ressemble la surface d'une comète dans le moindre détail. Mais mobiliser de gros moyens logistiques pour envoyer un machin sourd et aveugle sur la 4e planète juste pour tester l'atterrissage, on aurait pu faire ça à meilleur escient sur la Terre.
Et la NASA a l'habitude de partager largement ses données avec la communauté scientifique.
Tout à fait , et Boeing ne nous empêche pas de voyager dans ses avions , celà n' pas empêché de créer le consortium " Airbus " qui a été et reste un succès
il ne s' agit donc pas d' acquérir ou de partager des infosdisponibles par ailleurs , mais d'acquérir une technologie et un " savoir faire "
En revanche, je pense qu'il aurait été intéressant de faire atterrir le machin à proximité d'Opportunity, le rover de la NASA. On aurait pu ainsi assister à l'atterrissage du module en direct, (ou plutot en léger différé, vu le temps mis par les ondes pour parvenir sur la Terre). De plus, en cas d'échec, le rover aurait pu aller jeter un coup d'oeil sur le module pour voir ce qui n'allait pas.
Vla que fut une bonne idée ou suggestion Mais fallait l' écrire pour le suggérer il ya env un an à l' ESA ... maintenant il est trop tard !
Mais je suppose que la collaboration inter-états n'est pas encore à ce point efficiente pour permettre une telle chose.
oui et non .. voir les rdv MIR ou Soyouz avec les capsules Apollo il y a qqs années
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