à un Renault Espace 2 diesel.
Mon contrat d’assurance a plus que doublé alors que je passais d’une voiture sportive à une voiture de père de famille.
Explication de l’assureur : les Espaces sont beaucoup volés…
J’ai changé d’assureur et le prix est redevenu normal.
Moi ça m’est arrivé avec ma Simca 1300 alors que je doublais sur la nationale 7 (à 3 voies, donc sur la voie centrale) et un véhicule arivait en face …
Heureusement le conducteur du véhicule que je doublais s’est rendu compte que j’avais un problème et a accéléré pour me permettre de me rabattre …
A l’époque les durites d’essence étaient en plastique transparent et n’étaient pas maintenues par des colliers, et en vieillissant elles durcissaient et ne tenaient plus trop sur les tuyaux sur lesquelles elles étaient enfoncées.
Vous n’aviez pas un des premiers véhicules sortit de chaine ?
Je travaillais chez Citroën quand l’AX est sortit et il y a eu effectivement des problèmes sur les hayons des tout premiers exemplaires produit.
C’est heureux. En ce qui me concerne, personne ne m’avait rien signalé, et dieu sait que ça coulait fort.
Ce qui est aussi étonnant, c’est que la voiture se comportait normalement alors qu’au moins la moitié du volume d’essence n’atteignait plus le carburateur.
Aujourd’hui, on a des alarmes au tableau de bord au moindre incident.
C’était dans les années 71 ou 72. Mon père avait acheté une Dyna Panhard. D’occasion à un ami. On est parti pour une partie de pêche à Biache saint Vaast. Au moment de repartir, la panne… On laisse la voiture au garage local. Quelques jours plus tard, appel du garagiste, la voiture est prête. On va la chercher avec un copain qui nous y conduit. Et on rentre à la maison, environ 50 km. On la rentre au garage, et en ressortant on trouve un boulon huileux sur le trottoir. Diantre, on va dans la fosse sous la voiture, et là, arghh, il y a une barre transversale qui tient le moteur avec 4 boulons. Il n’en restait plus qu’un… Quelques kilomètres de plus et c’était le moteur par terre.
Et plus récemment, l’année dernière, révision annuelle de ma clio, et changement des pneus. Je récupère la voiture et je sens que quelque chose cloche, un bruit bizarre. Arrivé à la maison j’inspecte et constate que 3 boulons sur les 4 qui tenaient la roue arrière droite se dévissaient à la main…
J’aime pas les boulons…
Jm
Le coup de la fuite d’essence, j’ai déjà donné.
Ma Renault 5 sentait un peu l’essence dans l’habitacle depuis plusieurs jours, et je ne trouvais pas d’où venait cette odeur.
Un matin, en allant au boulot par la N14 (3 voies sans BAU à l’époque), j’entends des sortes de craquements suspects et une odeur de chaud. Je pense aussitôt à l’odeur d’essence et à un possible incendie.
Je m’arrête le plus vite possible. Heureusement, il y avait une sorte de refuge sur le bord de route.
Je sors donc de la voiture très vite, en laissant mes clés au TDB, n’ayant pas le temps de les prendre, et je voie des flammes sortir par les côtés du capot. Et également des flammes sous la voiture, alimentées par l’essence qui coule de la durite allant au réservoir.
N’ayant pas d’extincteur, je m’éloigne le plus possible et je regarde ma voiture brûler, redoutant le moment où les flammes atteindront le réservoir.
C’était en 1986. Pas encore de téléphones portables et pas de bornes d’appel d’urgence sur cette route très dangereuse.
On peut dire que j’ai eu de la chance dans mon malheur, car juste après, un fourgon SICLI s’arrête, un gars en sort, ouvre la porte arrière pour se saisir d’un extincteur et éteint l’incendie très rapidement. Il a même eu l’amabilité de faire un détour pour me conduire jusqu’à mon travail, quelques km plus loin. C’était un technicien qui faisait le SAV SICLI et avait son fourgon plein d’extincteurs à contrôler/recharger.
La voiture, je l’ai remorquée jusqu’à chez moi le soir même avec l’aide d’un copain. Il y avait eu quelques dégâts sous le capot : roue de secours brûlée, alternateur brûlé, faisceau brûlé, peinture brûlée. J’ai quand même réussi à réparer/rafistoler pour rouler quelques jours, le temps de trouver une autre voiture. A ce sujet, c’est une mauvaise idée d’utiliser un tuyau de gaz butane pour l’essence : ce tuyau a fortement gonflé en quelques jours d’utilisation.
La cause de l’incendie : une fuite sur la durite près de la pompe à essence. Comme il y avait l’allumeur à proximité, avec probablement quelques étincelles pour enflammer les vapeurs …
Concernant la tache de brûlé sur la chaussée, elle est restée longtemps et je la regardais quand je passais par là.
Je ne sais pas, par contre les séries suivantes avaient un cerclage autour de la vitre !
Il faut dire aussi que cette voiture me servait à titre professionnel et que j’ouvrais et fermais souvent le hayon qui avait fini par se dérégler…
J’ai omis la suite de l’histoire : assuré "bris de glace " mon garagiste s’est occupé de l’assurance mais celle-ci ne voulait pas prendre en charge le bas de hayon (cassé aussi) : Il a fallu que je le menace d’un procès à Citroën pour faire admettre que vitre et bas de hayon étaient soildaires car collé en fabrication pour que tout soit remboursé ! Pfft …
Avoir sa voiture qui prend feu, et être suivi par une fourgonnette pleine d’extincteurs.
Si c’est pas un coup de chance ça ???
Quand j’avais assuré ma première 3008, j’avais fait jouer la concurrence auprès de mon assureur (la MAAF) pour négocier une réduction, et je l’avais obtenue.
Mais à quelques dizaines d’euros près ça se tenait.
Quand j’ai récupéré l’AX de mon père après son décès, il était assuré à la MACIF.
J’aurais préféré continuer chez eux, mais le tarif qu’ils me proposaient était supérieur à celui que me proposait la MAAF. Ceci pour dire que la MAAF doit être assez bien placée sur le marché, même par rapport à la MACIF pourtant réputée intéressante.
Ceci dit, par curiosité, je vais quand même suivre votre conseil et aller fouiner chez les « Furets » pour voir, et après je pourrais toujours éventuellement aller renégocier avec mon assureur.
Question de région aussi. En PACA ça vole beaucoup. Les tarifs s’adaptent.
Il y a parfois suivant les assureurs des possibilités que l’on ignore et que l’on découvre le jour où on a besoin.
Dans une autre vie, quand j’avais besoin d’emprunter un véhicule du pro style fourgon. Au début c’était simple simple, suffisait de demander poliment au chef. Samedi et dimanche je prends le bidule et roule.
Par la suite cela a changé de musique. Il fallait faire un transfert d’assurance sur un véhicule perso. Juste un papier avec dates et heures.
Et ça, toutes les assurances ne le font pas.
Je pouvais le faire sur celle de mon ancienne, pas sur celle de l’autre véhicule.
Et cela m’a bien servi pour justifier un déménagement suite à un sinistre, mais c’est une autre histoire…
Bah, ce garagiste suit ma voiture depuis 8 ans sans problème, sauf cette fois. Je l’ai appelé dès constat du problème. Il est venu dès le lendemain récupérer ma voiture, après resserrage de la roue, pour la ramener en son garage et contrôler les 4 roues, vérifier que la roue incriminée n’avait pas souffert. Puis il me l’a ramenée à mon domicile, voiture nettoyée intérieur comme extérieur. Alors non ce garagiste je le garde.
Surtout une diesel. Les moteurs tenaient entre 50 000 et 100 000 km, pas plus. Les embases de chemises s’affaissaient, et il n’y avait rien à faire… Cela m’est arrivé deux fois avec la mienne.
Mon père en avait une (à essence). Il n’a jamais eu de problème avec. J’en ai hérité à son décès, mais comme je n’en avais pas l’utilité, je l’ai vendue 500 euros à une connaissance de mon fils qui cherchait une voiture pas chère.
Elle était hyper ravie, ça lui avait fait économiser 300 euros sur le budget qu’elle s’était donné.
Elle lui a fait bon usage pendant longtemps encore, jusqu’à ce qu’elle se la fasse détruire par des vandales juvéniles qui n’avaient rien d’autre à faire cette nuit là.