Syndrome d'Asperger

Bonsoir
Je ne connais pas ce dysfonctionnement… Donc n’en parlerai pas. Par contre au sujet de l’embauche…Certes depuis…15 à 20 ans les « CV » semblent avoir pris une importance …inquiétante…Les entretiens, parfois, déstabilisants… Cependant, ne JAMAIS oublier que si une entreprise désire embaucher…C’est qu’elle a un BESOIN. Si par les hasards de la vie on est pas dans le cadre convenu et pré établi… On peut passer outre…

Demander par exemple au recruteur…Non pas, ce qu’est la société pour laquelle il travaille, mais simplement demander ce qu’elle recherche et désire faire réaliser et PRODUIRE à la personne… Puis proposer un essai GRATUIT sur 15 jours ou un mois…Ce n’est pas légal mais est-ce légal de laisser des personnes sur le trottoir à regarder les autres bosser? Non plus! Puis, une fois fait ses preuves, l’employeur peut s’aventurer…Sur un CDD de 3 mois à convertir en CDI si cela est satisfaisant.

En fait, il faut DÉMONTRER …son utilité. Le reste, à titre perso, pour moi c’est du blabla.

Les meilleurs diplômés se mettent quasi TOUJOURS au service des autres… De ceux qui ont du fric, des grosses boites quoi…Ceci, grâce au fameux diplôme…Sont-ils INVENTIFS? PRODUCTIFS? Pas sur.
Il Faut relativiser et PROPOSER ce genre d’évaluation, ensuite…Tout est plus simple qu’une tartine de CV de 3 pages!

Je finirai en disant que moi, les CV je les parcourais …TRÈS VITE… Et je regardais surtout le TEMPS passé dans chaque poste…Si ça butinait grave, je déclinais. Un nouveau collaborateur cela coûte ÉNORMÉMENT de temps et donc d’argent au début de l’accomplissement de leur tâche qui de toute façon DOIT être rentable… Donc les papillons … Même pas en rêve.

Avant TOUTE EMBAUCHE on passait à l’atelier. Lecture de schémas, reconnaissance sur les cartes…On allumait les bancs test, le scope et le reste et au boulot, ceci dans la décontraction et la gentillesse car les postulants sont très souvent stressés (cela se respecte), ils ne s’y attendent pas…RIEN n’est grave dans la vie, sauf à en crever… En GÉNÉRAL, on SAVAIT de suite à qui on avait affaire…J’ai juste eu 6 employés au max, cependant, aucun n’a été remercié ensuite… Sauf sur la fin…Y a toujours une fin pour une petite entreprise…Surtout dans la technologie qui avance au galop et demande des investissements totalement incompatibles avec la fiscalité entrepreneuriale de notre pays. C’est pourquoi l’emploi ici, devient si rare… Mais c’est hors sujet.
Courage.

Bonjour,

Pour ceux qui aiment lire:

Article intéressant:
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1483422-de-sa-scolarisation-chaotique-au-chomage-la-societe-detruit-mon-fils-autiste-asperger.html

Symptômes:
https://www.rvd-psychologue.com/neurofeedback-tsa-syndrome-asperger-et-signes-cliniques.html

La jeune militante écolo Greta Thunberg est atteinte aussi de cet handicap :
lemonde.fr/societe/article/ … _3224.html

Bonjour à tous,

suis en train de lire le livre dont parle René un peu plus haut, très bon bouquin, on voit les choses différemment en effet…

Eric.

Bonne nouvelle, mon diag’ est confirmé.
Par ailleurs, je me reconnais dans cette situation:
https://www.syndrome-diogene.fr/syllogomanie/

"bonne nouvelle " je suis malade … ???

Le président russe Vladimir Poutine serait atteint d’une forme d’autisme, le syndrome d’Asperger, qui l’oblige à exercer un « contrôle maximum » de lui-même lorsqu’il traverse une crise.

C’est la CIA qui vous le dit !

Tx

Le SA n’est pas une maladie.
Moyen-métrage intéressant:
https://youtu.be/EZGhHqJL3fs

Dépression chez les Aspies:

Un ouvrage intéressant à ce sujet:
L’antenne cassée

Pour ceux que le sujet intéresse, vous pouvez regarder le documentaire sur Paul El Kharrat et son syndrome Asperger sur replay de RMC Story.

Mon enfant différent

Le combat d’Eva, jeune mère célibataire d’un adolescent autiste pour l’aider à trouver sa place dans un monde dont il ne partage pas les codes… Un premier long métrage au réalisme sensible.

Eva le sait depuis toujours : Felix, son fils unique qu’elle élève seule, et avec qui elle entretient une relation fusionnelle, est différent des autres enfants. Alors qu’il entre dans l’adolescence, le garçon, diagnostiqué autiste Asperger, se sent de moins en moins à sa place à l’école, où il multiplie les accès de violence et les fugues. Malgré le dévouement de la jeune auxiliaire de vie chargée de l’accompagner au quotidien, son collège menace une nouvelle fois de renvoyer cet enfant ingérable. Épuisée par la situation, qui met en péril jusqu’à sa vie professionnelle, Eva est désemparée. Jusqu’au jour où Pelle, son voisin de palier et ami, poissonnier de profession, parvient à nouer, presque par hasard, un lien avec Felix…

A voir sur Arte.

*Voici les 10 (plus un) talents des Aspies :

  1. Leur différence radicale, cette autre façon d’être au monde,
  2. L’hyper-investissement de certains intérêts, ce qui en fait des experts,
  3. L’honnêteté,
  4. Les aptitudes verbales et le vocabulaire riche,
  5. Ils peuvent être des autodidactes,
  6. Une capacité à sortir des sentiers battus grâce à leur intelligence différente,
  7. Une capacité à se concentrer longtemps,
  8. Ils s’intéressent aux détails,
  9. Ils sont justes,
  10. Leur mémoire particulière,
  11. Leur humour (même s’il est généralement incompris par les neurotypiques).*
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l’intention est louable mais c’est un sketch avec des acteurs qui « jouent faux » malheureusement :frowning:

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J’ai retrouvé une affiche québécoise très bien faite, sinon ; ça peut toujours être utile de garder à l’esprit ce qui cause et creuse la fatigue et les difficultés, et de mettre en place, le plus souvent possible, les mesures et activités qui aident.

Sur l’île de Kalamaki en Grèce, Yannis, un jeune enfant autiste, rythme ses journées en mesurant l’ordre du monde : les bateaux qui accostent, les prises des pêcheurs, le va-et-vient des clients du café.L’arrivée inattendue de son grand-père, Alexandre Varda, homme d’affaires de renom qu’il n’a jamais rencontré, va perturber l’équilibre fragile de son quotidien. Malgré leurs différences apparentes, une relation profonde et bouleversante se tisse entre ce grand-père distant et ce petit-fils aux talents singuliers.

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Jonathan Rivière est avocat d’affaires, une star du barreau que l’on s’arrache. Il est aussi le père, absent, d’un enfant de 12 ans. Dès la naissance du petit Gabriel, Jonathan a compris que la vie de famille n’était pas son truc. Avec Sophie, la maman, l’arrangement a été simple : elle s’occupe de Gabriel et lui paye pour qu’il ne manque de rien.

Pourtant, cet enfant aurait bien besoin de l’attention d’un père. Rapidement, il est devenu évident que Gabriel avait du retard, voire qu’il souffrait d’un trouble comportemental ; et puis un jour, le diagnostic est tombé. Gabriel était autiste.

Le mot est toujours resté abstrait pour Jonathan, mais pas pour Sophie. Alors qu’elle renonçait à toute idée de carrière pour s’occuper de son fils, il se contentait d’aligner les chèques pour que Gabriel bénéficie du meilleur encadrement possible.

Mais quand Sophie est victime d’une rupture d’anévrisme, Jonathan se retrouve brutalement parachuté dans la vie de Gabriel. Une vie d’habitudes et de rituels dont il ne connaît absolument rien et qui lui paraît vite incompatible avec la sienne.

Alors qu’il songe à se débarrasser de ce fardeau, Jonathan rencontre Marie, l’éducatrice qui suit son fils depuis des années et l’aide à se construire. Pugnace et idéaliste, la jeune femme va s’employer à transformer cet homme égoïste et démissionnaire en un père digne de ce nom