effectivement pourquoi le besoin d’un vitesse precise
dommage que l’on ne voit pas ce qu’il entraine
il y a d’autre methodes que l’entrainement pour demarrer des moteurs synchrone
munir le moteur au rotor d’une cage d’amortisseur de type profonde qui permet de
demarrer a vide en asynchrone d’atteindre un glissement faible qui permet d’accrocher le moteur en mettant en route l’excitation
avoir un bobinage d’excitation conçu comme celui d’un moteur asynchrone a rotor bobiné on demarre en asynchrone avec un rhéostat de rotor
ensuite on modifie le couplage des bobines rotor pour passer a une excitation continue
le defaut c’est qu’il faut 4 bagues et une commutation complexe a forte intensité c’est pas toujours simple
Superbe installation " retro"…!
Ça ressemble à l’installation qu’on avait dans le dernier chantier naval où j’ai travaillé…mais en beaucoup,beaucoup plus propre…
Pour des treuils de chariots de mise à sec…
D’ailleurs, le plus gros treuil provenait d’une mine…installé dans les années 50…
J’ai fait des boîtes de protection pour la manivelle a trois branches…c’était un peu craignos…380V tri seulement,mais quand même…
Si tu avais oublié oublié la manivelle en position max, à la mise sous tension suivante,tout disjonctait,et le boss râlait…
les plus gros moteurs que j’ai pu voir sont ceux ( un ou deux) qui entrainaient en direct la poulie Koepe du chevalet
moteurs a courant continu étroits , pas plus de 0.8 a 1metre de largeur mais un diametre de plus de 3 mètres avec un très grand nombre de poles et de balais
alimentes par un enorme groupe Ward Leonard
a cette hauteur il faut bien viser
je pense a un système de communication par tube ( comme dans la marine, cela doublait le Chadburn et la barre ) avec la salle des machines pilotant les moteur située en dessous
jamais en panne tout pouvait disjoncter on s’entendait toujours