Le tube en verre ne va pas être simple non plus!
Il faut un maître verrier, surtout que l’extrémité basse semble avoir une forme complexe, je crois qu’il va rester en déco en l’état!
pas de verrerie compliquée juste un bout d’ivoire a trouver pour faire la pointe
et il est peut etre encore la
http://www.lecompendium.com/dossier_meca_37_barometre_fortin/barometre_fortin.htm
C’est super bien décrit
La pointe est bien présente!
Bonsoir Patrick,
Début 19eme, je pense pas. Il est du type Fortin mais certainement d’un autre constructeur, à moins que quelque chose m’ait échappé. D’autre part les chiffres frappés n’étaient pas beaucoup utilisés à cette époque, on gravait plutôt…
Bonne pièce malgré tout (le but n’est pas de dénigrer l’objet, il se trouve que je collectionne ce genre de trucs, et j’ai quelques bases).
Je possède un baromètre de Jecker dans le genre.
Du mercure, il en a des tonnes sur eB à tous les prix. Pour la pureté c’est autre chose…
Meme si il est début 20e à 12€ c’est le prix du laiton au moins!
Le vernier sur ce genre d’appareil je n’avais pas encore vu!
si tu est interessé, j’ai du mercure,car maintenant ça devient dur d’en trouver et en plus ça vaut environ 500 euro le kilo et il n’y en a pas beaucoup (13,5 kg le dm)Je pense qu’à l’heure actuelle il faut une autorisation speciale pour en acquerrir.cordialement
On se fait souvent des idées sur le mercure.Le prix d’abord : on trouve du 99.99 % de pureté à moins de 400 euros le kg. Ce qui n’est déja pas mal ! Et en cherchant bien, on devrait encore trouver moins cher.Donc, ça n’est pas difficile d’en trouver.
Par ailleurs, il n’y a pas besoin d’une autorisation spéciale pour en obtenir. Par exemple, les thermomètres de laboratoire en utilisent toujours, surtout quand on a besoin de précision, même si les thermomètres digitaux sont aussi précis, mais ne sont pas toujours utilisables pour certaines applications.
Par contre, il est vrai que le mercure est strictement interdit dans certaines utilisations, par exemple dans l’enseignement.
même dans l’industrie on a eu des problèmes
sur des machines de fermeture a la molette de boitiers électronique
il y avait des paliers rotatif et conducteur ( 20000A en pulses) utilisant du mercure
les ricains nous ont informé que ces machines n’étaient plus couvertes par l’assurance constructeur et qu’elles devaient être arrêtées
en qq jours ( production oblige ) on a remplacé le mercure par un alliage indium gallium
dont le point de fusion était a 22°C, des résistances de réchauffe ont été montées sur les paliers pour le démarrage de la machine , après l’effet joule prenant le relais des résistances
Bonjour,
Je ne pense pas remettre cet appareil en route il restera en déco. je me demande d’ailleurs comment mettre le tube, supposé rempli, sur le réservoir lui aussi rempli, l’opération doit etre délicate!
Pour le mercure, j’aurais du acheter aussi les deux autres baromètres de la dame, classiques ceux la et au meme prix (15€). j’en ai d’ailleurs deux comme cela mais inutilisables car de mauvaises manipulation ont créé des bulles dans la colonne de mercure que je ne sais comment enlever.
Pour l’éducation, je me souvient de l’expérience de la roue de Barlow (probablement de fabrication Joel!) on mettait un bonne quantité de mercure dans la cuve mais aussi sur la paillasse, on jouait avec les petites billes qui roulaient partout pour les rassembler mais nombreuses finissaient au sol, puis surement dans le sceau de la femme de ménage et a l’égout. Pas d’escrolos a cette époque!
Une autre expérience que j’aimais beaucoup les fils de Lecher, j’en profite pour demander a Joel si ce n’est pas lui aussi qui fournissait ce matériel, très simple avec un petit tube visible pour générer la HF!
Salut Patrick. Nous n’étions pas les seuls en France à cette époque ! Il y avait 5 ou 6 sociétés nationales, et pas mal de petits revendeurs locaux.
Pour la Barlow, je ne sais pas.Par contre pour les fils de Lecher, non, car ça n’était pas au programme des lycées ( à « mon » époque !) mais IUT, et ce n’était pas notre clientéle.
Pour le mercure, j’ai une anecdote savoureuse, mais il me semble l’avoir déja relatée sur le forum ! Je ne sais plus dans quelle rubrique
Bonjour,
Concernant le mercure et sa manipulation, j’ai un souvenir de mon instituteur de 7eme, à l’époque on ne disait pas cm2.
Il nous avait fait réaliser un baromètre de Torricelli. Il avait gentiment rempli le tube d’environ 1 m, peut-être un peut moins, puis l’avait simplement bouché avec son doigt et retourné dans le bol plein de mercure aussi et avait maintenu tout ça sur un support en bois ( qu’il avait réalisé) et je ne sais plus avec quel liens.
Notre partie à nous éleves avait été d’étalonner le machin. Plus le souvenir de comment tout ça tenait…
Boucher avec le doigt j’y avais pensé (attention la poussée du mercure est forte) mais la impossible vu le diamètre du réservoir!
Ah c’est sûr qu’il faut de la place, si mes souvenirs sont bon il avait mis en place un bol d’au moins 10cm de diam et 5 ou 6 de haut, le tube devait faire au moins 90 cm et c’était du verre de labo je pense de 4ou 5 mm.
C’est bizarre parce que j’ai l’image clairement en tête lorsqu’il a retourné le tube plein avec son doigt bouchant l’extrémité, et littéralement planté le tout dans le bol.
l’astuce est tout simplement un retrecissement du tube en bas avec un trou de qq 1/10eme de mm qui quand on retourne le tube permet au mercure de s’ecouler et d’atteindre l’equilibre du tube sans que l’air rentre
les ancêtres pas C… du tout savaient aussi jouer de la tension superficielle du mercure
et pour le remplissage? pas facile avec un si petit trou!
Il existait jadis ce qu’on appelait un entonnoir à Hg, mais je n’ai trouvé aucune photo. Il était en verre, avec une tige trés fine, et une ouverture d’environ 3 ou 4 cm.
on fait le vide dans le tube et quand on le trempe dans le mercure il rentre tout seul
il faut débrancher la pompe dans le mercure alors! ou prévoir un système de vannes deux voies, une pour fermer le vide et une pour laisser monter le mercure!