j’aime bien la prise multiple aussi et elle est la pour supporter les anciennes prise qui ne rentrent pas dans les multiprises actuelles et que j’affectionne particulièrement bien qu’elles ne soient pas du tout aux normes
oui, en effet , très utile pour brancher ces vieilles fiches , quand on ne veux pas les changer , parce on leur trouve un certain charme ou pour l’authenticité !
Autre accessoire très utile que j’aime bien : la douille voleuse
Exemple type de l’accessoire utile mais pas aux normes !
j’aime bien, et j’en ai de pleins de couleurs (autre que l’habituel blanc ou l’habituel noir !) deux vert foncé, une vert clair, une orange, deux rouge, une bleue, une brune, une beige, et même une rose !
…Et merci aux modos d’avoir scindé le topics en 2 pour créer ainsi ce nouveau topics " appareillage électrique d’antan"
J’en profite pour revenir sur un ancien sujet, et une ancienne demande, concernant une ancienne canalisation préfabriqué 63A 500V de la Télémécanique en ma possession (Canalis KM) , et ses connecteurs que je recherchais (KMO CF3 en version tripolaire …KMO CF50 en version 3 phases+neutre+terre )
Je recherchais il y a un peu plus d’un an à compléter cette installation qui équipe mon atelier perso
(demande qui n’avais pas abouti à grand chose sur ce forum …Ceci dit, il faut reconnaitre que c’est de la « grosse cavalerie » pas vraiment du domaine de l’électronique d’amateur !)
Mais, maintenant , c’est chose faite
(récup suite a un démantèlement partiel d’usine …ou j’ai pu récupérer du matériel compatible canalis KM )
1-gaine métallique extérieure, en tôle emboutie
2-couvercle de gaine en tôle, serti
3-feuille isolante intérieure
4-rails conducteurs en cuivre
4A- éclisse de jonction de rails
5-barillet isolant
6-cales isolante de rails conducteurs
7-attache de fixation
11-corps de fiche du connecteur
12-balais de contact du connecteur
13-contact de terre du connecteur
14-corps du connecteur
(couvercles en plastique de connecteur et passe fil non représentés)
Les connecteurs, à baïonnette, s’introduisent dans les trous de la canalisation, et se tourne d’un quart de tour , ce qui assure a la fois leur verrouillage mécanique (le connecteur ne se débranchera pas intempestivement) et la mise en contact électrique des balais avec les rails (et donc la mise sous tension )
Je ne recherche plus d’accessoires de canalis KM , et je recommande vivement a ceux qui voudrais distribuer des courants forts dans leur atelier, de se doter d’un tel « Canalis » , c’est très pratique pour brancher des machines !
(et on peux les débrancher/rebrancher sous tension et sans outillage spécial …)
j’ai connu ce type d’appareillage!
Avantage : c’étais très robuste (matériel increvable)
Inconvénient : les fusibles étaient dans les inter et les prises et non rassemblé dans un tableau central , et on ne pouvais pas couper individuellement les circuits au tableau (puisque celui ci étais inexistant…)
Ca a été effectivement repris par Legrand (Ou peut être à l’époque C L L =Compagnie Legrand Limoges )
Au passage, et si vous voyez de l’appareillage (en porcelaine) marqué C L L (les 3 lettres entrelacés, c’étais « la mode » ) c’est tout simplement du Legrand sous son ancienne dénomination !
Oui je m’en souviens trés bien, avec les fusibles encastrés incorporés dans les inters et autres ! Je travaillais dans les années 60 à Bormes les Mimosas, et on installait pratiquement que ça. Je ne serais pas surpris que certaines villas du Cap Bénat en soient encore équipées !!
je dirais plus généralement que c’étais très courant, dans les années 1960 et dans tout le sud de la France (pas seulement les Alpes maritimes ou la cote d’azur …) et qu’il y a encore pas mal de vieilles maisons ou subsiste ce genre d’appareillage …
Les inter « Electro securit antibes » ont existé en encastré , avec plaque métallique chromée, avec bien des similitudes (sauf la forme de la plaque avant) avec la gamme Legrand « Amboise » qui suivra …
(remplacable directement par du « Chambord » sans changer les boites ni les vis , même entraxes même visserie…Le « Chambord » très répandue partout en France, a existé en version lisse blanche, et en version a rainures verticales « Raillux » )
Les installations étaient conçues différemment, de façon arborescente : un gros fil qui se divisait en fils plus petits, d’épissure en épissure. C’était plus économique quand le prix du fil de cuivre était significatif du coût de l’installation.
Chaque point de desserte (prise ou inter) était protégé individuellement par son fusible (plus pratique pour identifier l’appareil ayant fait sauter un fusible, disait mon père).
Si l’artisan était compétent, l’ampérage max tiré sur les gros départs n’excédait pas ce qui était supporté par leur section. Mais ce n’était pas toujours le cas (et les installations subissaient immanquablement des greffes successives…)