Bon , moi je le sais mais c’est une devinette
Et c’est bin un tube
Bon , moi je le sais mais c’est une devinette
Et c’est bin un tube
Un clystère ? (pas un klystron )
Un clystere ?
Pas bete , car il y a de l’eau dedans
Mais c’est pas ça
S’agit il d’un « mini » alambic refroidit par eau ?
On ne voit pas très bien sur la photo.
Le tube est a double enveloppe avec une circulation d’eau ?
Le tube interne est il équipé de deux électrodes a ses extremites?
Exixte il un passage entre ses deux extremites ou y a t il des miroirs ?
Les miroirs peuvent me pas etre transparents dans le domaine du visible.
Si c’est oui a ces questions je pense qu’il doit s’agir d’un tube laser.
A plus sur cette curiosité
Remy Mur
L
Tres bien résumé
L’eau circule entre la paroie externe et le canal central
Les electrodes sont au bout et alimentées en 20 Kvolts
Il y a bien des miroirs aux extremitée refroidis aussi
c’est donc bien un laser , à CO²
Ca fait des trous
Photos de l’installation , du transfo THT , et de mise à feu
attention les yeux !!!
J’ai des lunettes spéciales
Surtout que c’est totalement invisible , c’est de l’IR
Par la suite , montage d’un systeme de lentille pour focaliser (lentilles en arseniure de gallium )
Et l’utilisation sera « radio » car je m’en servirai pour ajuster des elements resistifs sous tension
Bonjour,
La longueur d’onde est de 10.6 microns.
La puisance accessible est de 50 W par metre de decharge pour les lasers coaxiaux comme le votre.
Il est possible de les moduler en impulsion 10 a 400 hertz duréé de 1 a 500 microsecondes.
Dans ce cas il faut partir d’une alimentation continue avec une triode ou tetrode de puissance comme generateur de courant.
Par securite on la commande par la cathode.
Pour ce qui est de l’ajustage des resistances couche metallique ou carbone je pense que cela sera difficile sans « drift » post ajustage important.
Cette longueur d’onde n’est pas la plus agdaptée pour cet usage car mal absorbée par les metaux, le carbone c’est un peu mieux.
On utilise en general pour l’ajustage de resistance un laser YAG à 1,06 microns.
Il y a aussi avec le CO2 une tache focale difficle a descendre au dessous de 50 a 100 microns
Le YAG permet d’atteindre 5 a 30 microns avec des optiques classique moins couteuses que le Germanium le silicure de Zinc ou l’arseniure de Gallium.
A votre disposition pour d’autre renseignements.
Ps Mon ancien metier etait la microelectronique hybride
Amicalement
Remy Mur
Je vois que vous connaissez bien ce domaine
Je n’étais pas rentré dans des detail technique au départ , mais ce que je veut tenter de faire exactement , c’est d’ajuster l’accord de cavitée hyperfréquence en fonctionnement , le faisceau laser n’interagissant pas avec les ondes (bien que ça en soit aussi ) en faisant passer le rayon laser par un tres petit trou , ce qui ne fausserais donc pas la résonance de la cavitée
Il n’est bien sur pas question de traiter des materiaux tel que le cuivre d’un circuit , puisque le cuivre est utilisé comme reflecteur pour le 10,6µm
Je voudrais tenter " l’ablation de métal " sur les elements capacitif , donc diminuer la capacitée pour faire monter la fréquence
J’ai fabriqué un systeme de focalisation avec des lentilles en arseniure de gallium et le faisceau sera dirigé par reflexion sur deux miroirs en silicium pur , actionnées par des servo-moteurs
Ce n’est qu’un proget pour l’instant , proget qui avance doucement
Je suis aussi en train de déveloper une alimentation PWM pour pouvoir contrôler finement la puissance du laser car je ne vais pas utiliser mon transfo de tube Xray
Ce n’était que pour faire des essais et je contrôlais la puissance avec un gros variac
Je ne sait pas si ça vas aboutir , mais qui ne tente rien n’a rien
Je possede aussi un gros Yag water-cooled a 1064nm mais j’ai un probleme d’alim dessus et un des tubes de pompage a explosé ( c’est une cavitée helipsoïdale avec deux tubes de pompe )
Bonjour,
J’ai jeté un oeil dans mes doc sur le sujet.
Avec un CO2 a 10.6 microns pas question d’attaquer aluminium cuivre argent or (absorption de l’orddre de 1% quel que soi l’état de surface.)
Par contre les pour les ferreux et le Nickel il y a quelques espoirs.
Pour titer plus de puissance de votre tube il faut le faire fonctionner en impulsions.
Il faut une alin DC filtrée de 20 KV environ et vous remplacez la resistance serie par une triode ou une tetrode de puissance du type TY 500 ou QE 08 400 commandée en courant par la cathode.
Il faut pour la stabilité de ces tubes a decharge les commander en courant car ile ont une resistance negative tres marquée.
IL es ainsi possible d’appliquer au tube des pulses de courant jusqu’a 10 fois son courant nominal ( sans depasser sa puissance moyenne bien sur)
c’est ainsi que l’on obtient les meilleures qualités d’usinage.
Pour votre YAG l’alim n’est peut etre pas morte car la fin de vie des lampes Xenon est souvent une explosion a l’amorcage.
Par contre attention a ces lampes , certaines sonr pressurisées a 10 bars
et sont de vraies petites bombes.
Toujours porter des lunettes de protection anti eclat quand un les manipule. Bien m’en a pris car l’en ai une qui m’a explose ente les mains lors d’une maintenance sur un laser Holobeam.
L’alim se verifie assez facilement en deconnectant le circuit d’amorcage et en la faisant debiter sur une grosse resistance variable elle se comporte comme un generateur ce courant reglable en intensite.
Verifier la stabilite du courant en faisant varier la resistance en debut milieu et fin de gamme de reglage de l’alim.
A plus
Remy
Je pense faire comme vous dites , travailler en pulsé , ce ne sont pas les tubes pour ce genre d’application qui me manque (genre tube de modulateur de radar )
Les tubes à arc , effectivement , ça fait du bruit quand ça éclate , mais là il avait explosé dans la cavitée , qui est refroidie à l’eau , donc ça à amortis l’explosion
Heureusement , le tube de protection n’a pas cassé et ça n’a donc pas abimé le revetement d’or réflechissant
Le probleme sur l’alim ,c’est le trigger d’amorçage qui ne marche plus , et c’est un trigger serie , sans shimmer
Je peut faire les capas dans la cavité dans la matiere que je veut , donc il me faudra choisir une matiere qui absorbe bien le rayonnement du CO²
Au vu de ce que vous me dite , j’ai peut-etre une autre solution pour ces capacitées
Au lieu de vouloir vaporiser le métal des electrodes pour diminuer la capacitée , je pourrai faire l’inverse , vaporiser le dielectrique pour augmenter la capacitée
Ce serai peut-etre plus simple
En attendant l’avancement de mon proget (je met « au propre » mon water-cooling et je fini l’alim PWM) je vous remercie pour tout vos conseils
Bonjour,
Effectivement pour les isolants cela marche très bien avec un CO2.
Céramique de type Al2O3 absorption voisine de 60%, se vaporise quand la densité d’énergie est suffisante en impulsions ( c’est le travail classique du CO2 en microelectronique le percage de la ceramique) mais il faut éliminer la poussière formée.
Le plexiglass passe à l’etat de gaz ( le monomère) « cela pue fort » et donne un état de surface de coupe quasi poli en CW.
Le téflon idem au plexiglass mais attention le monomère est toxique à évacuer par une aspiration vigoureuse ( syntomes ressemblant a la grippe réversible à priori sans séquelles; connue dans le métier sous le nom de grippe du teflon)
Le verre epoxy, les aramides et tous les autre matériaux de circuit imprimé du même type, échec total cela charbonne sans s’usiner.
correctement.
Pour calculer votre densité d’énergie, mesurer au bolomètre la puissance du laser appliquer ensuite la formule approximative donnant le diamètre de la tache focale
D= Pi Ld/a
D = diamétre de la tache focale en microns
Pi = 3.14
L = longueur d’onde du laser en microns
d= distance focale de la lentille en mm
a= diamètre du faisceau laser en mm
Cette formule tres approximative permet d’éstimer à 20 a 30% près la tache focale.
Cela dépend bien sur de la qualité du mode d’oscillation du laser.
Plus on est proche du TEMOO plus la formule est pessimiste, plus on s’en éloigne plus elle est optimiste.
Pour connaitre cela observer à basse puissance le nombre de taches présentes dans le faisceau brut non focalisé
On interpose dans le rayon un bout de charbon de bois ou d’amiante ( difficile à trouver maintenant) et en réglant la puissance au minimum nécessaire pour voir rougir la matière on peut estimer nombre et la forme des points rouges: moins il y en a plus on est près du monomode, l’idéal pour un tache focale la plus petite possible donc la densité d’énergie la plus élevée.
E= R*P/D
E= densité d’énergie en Watts / microns carrés
R= rendement de l’optique et des miroirs de 0.8 à 0.9 en général
P= puissance laser en Watts
D= diamétre de la tache focale en microns
Si vous souhaitez utiliser un système de déviation à miroirs tournants il faut savoir que ce système ne permet pas de grandes courses X Y, le point focale ne se déplace pas dans un plan mais sur une calotte shérique et il existe une déformation en coussin qui est facile à corriger par soft.
Cela ressemble bigrement aux défauts de tubes cathodiques…
De grands constructeurs de laser d’ajustage YAG Américains comme Teradyne on utilisé de système sur leurs machines mais avec une lentille spéciale compensant ces défauts, je vous parle pas du prix de la lentille en question…
Si vous êtes intéressé par la description des systèmes ayant éxisté dites le moi je vous enverrai des dessin par mail.
Amicalement et bon courage pour votre ambitieux projet
Remy Mur