Doctsf (Modèles & Marques)
AnnoncesUn collègue pourrait-il m’aider à décoder ce message très court en code MORSE qui est répété, par came, 3 fois.
point point trait point (deux points un trait ,un point)
Merci
FFF ?
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Oui merci c’est bien la lettre « F » c’est aussi ce qui est gravée sur la came en laiton
Bonjour Bruno. Télégraphe de Hughes ?
Non , en plus de pratiquement tout le Hurm j’ai acheté à la vente de Reims le rare transmetteur téléphonique télégraphique SIT système KREBS utilisé dans les bornes incendie à PARIS fin 19ème siècle lorsque l’on ouvrait la petite porte de la borne on mettait en route un système d’horlogerie à contre -poids qui en code morse par une came alertait les casernes d’un incendie .la borne possédait aussi un micro qui permettait la « phonie » avec la caserne. Appareil exceptionnel de très grande qualité fin 19ème siècle.
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Très intéressant MERCI
Bonsoir,
Le fonctionnement et le protocole de communication est très bien expliqué sur l’ouvrage en lien. (intéressant aussi sur d’autres sujets)
La partie Sapeurs Pompiers de la page 479 à 487.
On peut comprendre la signification de la lettre sur la came.
Dans le modèle présenté la lettre F est transmise 3 fois suivant le protocole et correspond à l’emplacement de la borne.
Extraits de l’article BNF
Page 427
Page 421
Page 433
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Bonjour,
je ne connais pas l’avertisseur Digeon et Krebs mais voilà l’avertisseur Pigeon et Klebs
modèle breveté
le pigeon surveille, le clebs aboie
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Il y a t-il seulement au moins un exemplaire de connu de ces bornes d’alarme incendie de la fin du 19ème siècle ???
Musée des Pompiers de Paris peut-être ?
Bonjour Horace,
A Paris, la dernière visible dans une rue se trouve 8 rue Sévigné devant une caserne.
Il y en aurait dans divers musées de pompier.
Il semblerait que l’on puisse avoir accès au mécanisme si j’en juge les images de cette page du net.
Concernant votre appareil, il serait intéressant d’avoir une datation la plus précise possible, et essayer de connaître à quel emplacement correspondait la lettre F 
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Ah oui ce serait bien, merci pour les photos.
Si on compte qu’une seule lettre de l’alphabet par borne cela sous-entend 26 bornes max pour tout Paris, soit une borne environ par arrondissement , cela me semble peu
Re,
C’est la question que je me suis posé. Peut-être affectées à une caserne? Là, il faudrait se rapprocher des musées de pompiers, qui doivent être documentés sur le sujet.Il doit y avoir des registres d’appels d’époque.
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@Horace Bonjour Horace,
J’ai trouvé un document qui je pense solutionne la question ci-dessus que l’on s’est posé
Le déploiement a été de 60 bornes reliées à 3 casernes (dont celle où il subsiste encore une borne)
Si l’on compte + ou - 20 bornes par caserne l’alphabet suffit largement.
Si l’on s’en tient à la lettre F de votre appareil, on peut penser qu’il y a eu 3 bornes avec cet indicatif.
Le document précise la couleur des bornes, seule la boîte était de couleur rouge. Détail intéressant vu que l’on a que des photos N&B
Cliquer 2X
" Le Monde illustré, 24 novembre 1888 "
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@Ladere_Jean-Pierre… Formidable !!! 