Doctsf (Modèles & Marques)
AnnoncesBonne lecture cela. '64 doit donc correspondre au passage du 19-21 Rue Daguerre au 5 rue Daguerre
Super ! @Didgitalpunk j’en déduit que la « CRC » du puy en Velay n’a rien à voir avec la CRC de Saint Etienne:
CRC St Etienne = Société Nouvelle des Constructions Radiophoniques du Centre. Spécialisé dans la mesure
CRC Puy en Velay = Construction radioélectrique du centre ==> je vérifie si la marque est dans doctsf sinon je crée
Merci à tous pour cette aide
si je ne m’abuse, et d’autres pourront peut être confirmer ou denier, bien au contraire! C’est le début de CRC, ils faisaient des radios avant, d’ou le « radiophonique » dans le nom 
tant que j’y suit, un petit etat des lieux:
le bâtiment au 5 n’a pas spécialement changé par rapport a celui que l’on retrouve en haut de la couverture des docs, même la barrière est encore la même!
battu sur le fil c’est ce que je regardais
je cherche aussi avec le nom du fondateur de CRC
pour le moment rien
Oui peut-être …mais comme l’intitulé complet ni le site de production ne sont pas les mêmes ==> je crée la marque « comptoir radioélectrique du Centre » au Puy en Velay.
CRC aurait utilisé « Radiophonique » car « radioélectrique » était déjà pris!
Il faudrait vérifier quelle marque est déposé pour CRC probablement le sigle.
En lieu et place de l’ancien vélodrome 
La belle histoire du Vélodrome de Saint-Etienne 1925-1961 – www.gillescharles.fr
Je pense plus que la marque a débuté en « Radioélectrique », puis a un moment est passe a « Radiophonique » (possiblement au même moment ou ils sont passe du Puy à St-Etienne, peut être juste après la guerre 
), et après, on connaît bien la suite.
Voila un petit apercu des changement de noms et d’adresse de 1941 a 1958 comme vu sur les fiches d’appareils:
edit: et oui, de temps a autre le telephone passe de 39-77 a 29-77. 
Mais du coup vu que tu crée la marque tout de même, peut être serait-il sage de transférer ces deux fiches-la dessus?
Je pense d’ailleurs que la deuxième pourrait bénéficier des photos du* site Hongrois, qu’en pense-tu?
C’est quand-même bizarre cette histoire, les styles n’ont absolument rien a voir…
Pour l’instant wait and see…
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Bonjour,
Je trouve votre message avec beaucoup de retard.
Je prépare un article dans l’Almanach de Brioude (société savante locale : http://www.brioude-almanach.com/) sur la SIR (Société Industrielle Radioélectrique), qui a créé un atelier à Brioude pendant la guerre. J’ai de grandes difficultés à retrouver des informations.
J’ai les noms de plusieurs ingénieurs ou administrateurs présents à Brioude, avec leurs brevets et leurs publication. Ca me fournit une trame technique, mais c’est très insuffisant quand on veut parler des hommes et des produits.
Auriez-vous quelques pistes à me donner, des personnes à rencontrer, des photos ou documents sur les produits (j’en ai trop peu pour me faire une idée complète de ce qui s’est fabriqué à Brioude).
Bien entendu, je peux m’engager à fournir les informations que je possède aux collectionneurs qui les voudraient.
Bonjour,
Mon message précédent est parti avant d’être terminé.
Il y a un lien très ténu entre SIR et CRC. En répertoriant les brevets de Robert Aschenbrenner (ou Aschen pendant l’occupation), qui a longtemps travaillé à Brioude, j’ai trouvé un de ses brevets, déposé le 31 octobre 1946 à Saint-Etienne, au nom de la société Const Radiophonique du centre (Etablissements M. BEALEM). C’est bien la CRC dont vous parlez. On trouve ce brevet facilement . voici son URL :
https://worldwide.espacenet.com/publicationDetails/biblio?FT=D&date=19480629&DB=&locale=fr_EP&CC=FR&NR=935712A&KC=A&ND=4
Ce brevet me montre qu’il a quitté la SIR avant cette date, et qu’il n’a pas voulu retourner à Paris avec les ateliers de la SIR à la fin de la guerre. Aschen était un très brillant ingénieur dont j’essaie de retrouver le parcours. Son arrivée chez CRC correspondrait de façon très logique avec la création d’un labo de recherche mentionné dans la plaquette de 1965. Je note aussi que c’est son premier brevet déposé sous son nom complet, bien qu’il y ait glissé un trait d’union.
Son brevet suivant sera déposé le 23/3/1949, à Paris au nom de la société Philips, qui a rouvert ses labos, dans lesquels il avait travaillé avant guerre.
J’espère que ça vous aide à confirmer des dates et des lieux.
Michel
Bonsoir,
Quelques informations tirées de mes archives personnelles qui pourraient être utiles:
1938 : Constructions Radiophoniques du Centre, 49, rue Parmentier, St Étienne
1938 : destruction d’atelier par un incendie (déc)
1938 : M. Béalem directeur-propriétaire
1943 : Constructions Radiophoniques du Centre S.A. (Établissements M. Bealem), 19, rue Daguerre
1947 : destruction d’atelier par un incendie criminel (fév)
1950: Constructions Radiophoniques du Centre S.A. (Établissements M. Bealem) en liquidation
1950 : Société Nouvelle des Constructions Radiophoniques du Centre
1956 : Société Nouvelle des Constructions Radioélectriques et Électroniques du Centre
(premier mention que j’ai trouve dans « Chimie et industrie » 1956)
Voir également « La Compagnie des Compteurs » par Paulette Giguel, notamment :
Cordialement
Mark
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Merci @mark.hippenstiel pour ces précieuses informations. Dès que j’aurai un peu de temps je ferai la synthèse de ce sujet
Amitiés radiofilistes
Michel G
Je m’embêtais, du coup j’ai rajoutée les adresses connues et dates probables qui vont avec pour la marque CRC
Freya
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Bonjour,
dans un article de René Lafaurie, dédié au constructeur de têtes de gravure et cellules de lecture pour disques Pierre Clément, il est fait mention des « Laboratoires Radio-électriques du Centre » (à partir de 1938 et jusqu’à la fin de la guerre). Peut-être ont-ils aussi un lien avec les sociétés « CRC » mentionnées précédemment.
M. Raymond Bernard, son ancien collègue et spécialiste actuel des fabrications Pierre Clément, pourrait éventuellement savoir s’il s’agit des mêmes sociétés ou pas :
Hommage à Pierre Clément (1906-1970) constructeur de platines et phonocapteurs pour l'ORTF, inventeur de la lecture à bras tangentiel asservi [ Hommage à Pierre Clément (1906-1970) D’après l’article de René Lafaurie (Revue du son , n°206-207, juin-juillet 1970) ]