Oui je comprend que nous n’avons pas tous le même parcours professionnel , j’ai même indiqué qu’en usine nous avions des ingénieurs qui ne savaient pas câbler, ce que je maintien pour l’avoir connu et combien parmi nous avons travaillé avec le plein emploi dans la profession, années 1950/60 , ensuite les circuits imprimés ont fait leur apparition
Un peu de sérieux , les torons ne sont pas obligatoires pour avoir un câblage bien ordonné , ce qui n’est pas le cas dans un grand nombre d’appareils de cette époque …?
« Oui je comprend que nous n’avons pas tous le même parcours professionnel »
C’est même nos différences qui font toute la richesse du forum.
Le tout est de passer au dessus de nos certitudes pour essayer de comprendre les certitudes des autres. L’échange de point de vue devrait permettre à chacun de comprendre que ce qui semble sa bonne solution ne l’est pas toujours.
"j’ai même indiqué qu’en usine nous avions des ingénieurs qui ne savaient pas câbler, "
Ce n’est pas une généralité.
Quand l’on demande à un ingénieur de gérer des budgets, des plannings, les recrutements et de la finance, s’il ne sait pas câbler c’est pas bien grave, il embauchera les bonnes personnes.
Y’a aussi des câbleurs qui ne sont pas des champions du câblage et là c’est plus préoccupant.
Pour les Ingénieurs, tout va dépendre de leur parcours personnel avec de trés grandes différences, certains sont des bricoleurs fous, qui ont manipulé le fer à souder avant d’avoir 10 ans, qui ont eu la chance de faire des études et qui travaillent maintenant dans des directions générales sans que ce savoir pratique soit connu.
J’ai toujours constaté un intérêt important pour la manière de faire/réaliser avec une curiosité différente entre les ingénieurs « bricoleurs » et les autres. Sans compter quelques atypiques, les ingénieurs ayant commencé tout en bas de l’échelle, en commençant à bosser sans aucun diplôme, en étant passé par tous les niveaux grace à leur curiosité et à un effort personnel de formation considérable (cours du CNAM par exemple, merci à leurs épouses), reprise d’études après plusieurs années d’activité salariée.
Quand j’ai démarré dans l’industrie, il y avait un dicton.
« Des ingénieurs et des balayeurs, il en faudra toujours. Un pour jeter des mégots par terre, et l’autre pour les ramasser ».
Oui bien entendu, il n’y avait aucun mépris pour qui que ce soit.
Et je l’ai réellement entendu dire, ça faisait même rigoler tout le monde. A noter qu’il n’y avait pas d’ingénieur dans l’auditoire.
pour résumer :
-Le recâblage de la partie détection-préampli BF a été effectué
-Le poste a été réaligné, et ça fonctionne …
La suite étant « non technique », j’arrête de poster dans « technique » et met directement en « résolu » , bien qu’il y ait une suite …
j’ai donc :
-d’abord tout supprimmé
-ensuite crée un nouveau topics
le sujet étant indépendant du dépannage du poste sus-nommé, et n’étant pas technique …J’ai préféré tout suprimer, puis ré-écrire la suite dans la rubrique « sans catégorie »
(Ne voyant aucune rubrique approprié a cette question )
L’éclairage du cadran de mon ducretet D20 éclaire d’une faible lueur bleuâtre , on a l’impression d’être en boîte de nuit quand on danse un slow …
Est ce d’origine ? Ou est ce l’usager qui a mis des bout de rodoïd ou de gélatine bleue dans son poste pour faire défense passive ?
(Vu de quand date l’appareil, on peux se poser la question …On étais en pleine guerre )
Par ailleurs :
Avez vous rencontré d’autres postes dont l’éclairage de cadran éclaire de cette couleur ?
je ne peux pas prouver qu’il éclaire bleu, l’appareil photo n’arrive pas a prendre la photo ! (trop peu de lumière)
Pourtant il éclaire bien bleu, et très peu (mais on ne vois rien si on tente quand même une photo alors que les conditions de prise de vue ne permette pas de faire de photo correcte ! ) et je n’ose pas tout démonter (de peur de casser le rodoïd ou la gélatine présente dans ce poste) ni poster de photo complètement illisible …
je pensais que ça avais un intérêt historique
(il y en a bien qui collectionnent des postes avec une croix gammée surmonté d’un aigle …)
Et la question de l’éclairage de « défense passive » ou « d’occultation » étais bien une réalité ! pas un p’tit jésus soviétique …
La preuve, avec les lampes d’éclairage domestique
comme déjà dit : On vendais , en temps de guerre, des lampes d’éclairage domestique, d’apparence classiques (piriforme, culot B22 ou E27) , en verre bleu foncé, oi recouvert de peinture noire …Pour « défense passive »
C’était justement un gars qui faisait le nettoyage qui disait ça. Le terme balayeur n’était pas adapté dans cette usine, c’était de la fabrication de tubes en acier, et c’était particulièrement sale.