Bonsoir à tous,
L’un de vous serait-il familier avec les réglages utilisateur du châssis L6 (philips / schneider) ?
Je ne parviens pas à mémoriser les réglages de luminosité etc. qui se retrouvent dans de mauvaises positions à chaque redémarrage…
Y a t-il une manip particulière sur la télécommande ?
Je n’ai pas le manuel utilisateur, et le manuel de service ne précise pas.
Au passage, la mémorisation se fait dans une EEPROM, il n’y a pas de pile de maintien dans le TV.
merci de m’apporter vos connaissances
amicalement
Bonjour,il me faudrait la marque exacte et modèle exact de ton tv.je verrais sur EURAS banque de données des pannes.chassis L6 ok mais plusieurs versions.
A+
Merci de ton aide !
C’est un schneider 37TB1252 / 39 (écran 14 pouces)
Sur la télécommande, il y a les symboles « losange » et « losange ouvert » que j’ai déjà rencontrés sur des chassis philips pour mémoriser… mais je ne connais pas la séquence…
amicalement
Bonsoir,
Sur mon PHILIPS, il fallait sélectionner losange ouvert, faire les modifs désirées et ensuite sélectionner losange fermé.
Alain
Bonjour,
J’insiste la mémoire m’est revenue après la nuit : j’affichais le numéro de la chaîne à programmer, j’appuyais sur la touche losange ouvert, je faisais mes réglages (dont numéro de programme/canal), j’appuyais sur losange fermé.
C’était un PHILIPS portable multistandard.
Effectivement, ces touches losange permettaient aussi de choisir le numéro de programme lors de la recherche automatique des chaînes.
« Tout le monde il a raison »
Alain
Probablement châssis TVC12 MG
La touche losange ouverture mémoire → choix du canal → fermeture mémoire
Mais aucun rapport avec le châssis L06 !
C’était bien l’idée :
1 ouverture mémoire / 2 réglage(s) / 3 fermeture mémoire (l’écran affiche STORE)
L’ouverture mémoire et la fermeture mémoire s’actionnent de la même manière (losange ouvert et losange fermé ne font qu’un) :
= en pressant simultanément les boutons VOL- et INFO
…mais ça c’était devenu illisible sur la télécommande…
merci à tous
amicalement
Et bêh!voila tout et bien qui fini bien.
Sa vous coutera 40,00€ de déplacement,je compte pas la MO ni la TVA. :mrgreen:
Comment comprenez-vous la procédure de réglage décrite là…
Il y a 3 potentiomètres (1 par couleur) 3326 3316 et 3306 qui polarisent les bases des trois transistors.
On envoie du noir, on calibre la luminosité pour avoir la bonne tension (1.6V) en sortie du TDA.
Puis on nous dit de les mettre les 3 potentiomètres au minimum (tension cathode max)… Jusque là OK…
… puis de régler VG2…
… puis de régler les 2 autres !..
ça veut bien dire :
- qu’avec VG2 on part du noir, jusqu’à ce que le tube s’allume d’une couleur, on revient en arrière juste pour qu’elle se coupe…
- qu’avec les potentiomètres des deux autres couleurs on fait pareil : on allume et on revient en arrière
- que le potentiomètre de la couleur qu’on a coupée en premier avec VG2 reste toujours au minimum
Vous comprenez comme moi …
Voila ma méthode.supprimer la couleur avec la TLC à zéro.l image doit être en noir et blanc .si une couleur domine encore régler les potars couleur de façon{équilibrer} à avoir le meilleur noir et blanc{attention si un canon et fatigué sur le tube…équilibrer de façon que le blanc soit blanc{comme disait Coluche}.
Puis avec le potar G2{sur la tht} régler tube noir remonter un un peut entre le blanc et le noir.voila c est tout.
Les 1,6v on s en fou le tube et pas neuf U varie.
Bonne journée.
ps:important si les G2 sont bien réglés on ne doit pas voir des fines lignes horyzontale en poussant la lumière.si c est le cas baisser le potar G2 tout simplement.
Bonne journée.
encore quelques petits défauts d’image soumis à votre sagacité
- avec une mire qui affiche des lignes horizontales très blanches les verticales tirebouchonnent…
Sans doute le gros appel de courant des lignes blanches fait comme un dirac qui provoque la brève entrée en oscillation d’une alim… dont dépend la déflection ligne
- les noirs sont gisâtres. Si je baisse G2 jusqu’à extinction (comme prévu par la procédure de réglage) l’affichage d’une mire à barre de couleurs verticales présente des verticales noires entre les couleurs…
Bon c’est sur, ces objets n’étaient pas du haut de gamme, et je cherche la petite bête. Mais on devrait pouvoir faire mieux…
merci de vos idées
amicalement
… les « dirac » sur l’alim 150V sur la durée d’une trame …
Le châssis L6 est probablement le chassis le plus simple jamais développé par Philips (à Dreux).
Il est basé sur le circuit « one chip TV » (TDA8362) qui réalise pratiquement toutes les fonctions « petit signal » d’un TV PAL (à l’exception du tuner et de la ligne à retard).
Pour la version PAL/SECAM il y a en plus un décodeur SECAM (TDA8395) et un circuit FI son AM pour la norme L.
L’alim combinée avec le balayage lignes simplifie considérablement le châssis. De ce fait le bobinage de déviation lignes est relié au secteur et il a fallu développer un déviateur spécial avec une isolation plus importante qu’usuellement entre les bobinages ligne et trame.
il s’agit donc d’un chassis 100% français vu que tu parles de Dreux ?
ici un fichier PDF intéressant qui liste tous les chassis philips selon le numéro de modèle du téléviseur avec leur année de mise sur le marché :
radiomuseum.org/forumdata/up … 570_en.pdf
le L6.1 et L6.2 dateraient de 1996~1997, je ne pensais pas qu’à cette époque là il y avait encore des chassis 100% français chez philips
Il a été conçu à Dreux mais pas fabriqué à Dreux et il était destiné à toute la zone PAL/SECAM.
Le dernier chassis franco-français (c’est à dire conçu en France, à Suresnes, et uniquement vendu en France) était le TVC14/15.
Philips est une société multinationale et depuis les années 80 le pays de développement et celui de production n’étaient pas nécessairement les mêmes.
Jusqu’en 1995 ou 96 les chassis PAL/SECAM étaient développés en Europe: haut de gamme (100 Hz) à Bruges, milieu/bas de gamme (50 Hz) à Dreux.
Ensuite Philips a décidé de faire des chassis « mondiaux » et tous les labos ont été transférés à Singapour.
Celui-ci date de 96 ou 97 et arbore Made in Europe.
Au vu des indications de la plaque signalétique il semble qu’il a été fabriqué en Italie. Peut-être la dernière année de l’usine de Monza ?
C’est vrai que son alim est ultra simplifiée pour coûter le moins possible…
Le « transfo d’alim » ne fournit que la TBT et le découpage est effectué par un simple oscillateur à transistors.
Les autres tensions sont fournies par le transfo lignes, certaines rudimentairement obtenues au moyen de pompes de charges.
L’étage lignes à chaud est assez original, avec son driver lignes piloté par optocoupleur (et, comme marceljack nous l’apprend, son déflecteur à isolement renforcé).
Mais bon, la performance est en rapport avec le coût… et je ne sais pas si je pourrai vraiment en tirer davantage
amicalement
Fin du suspense !
Vous vous souvenez de l’épisode précédent : avec une mire qui affiche des lignes horizontales très blanches les verticales tirebouchonnent…
On se disait que sans doute le gros appel de courant des lignes blanches fait comme un dirac qui provoque la brève entrée en oscillation de l’alim qui se répercute sur les lignes, car sur le châssis L6 toute l’alimentation se fait par le transfo lignes.
J’ai récupéré un autre châssis L6, qui était tout neuf mais en panne… Pour faire court, il avait une microcoupure sur le PCB un peu pénible à repérer. Après réparation, j’ai injecté le même signal de mire et obtenu le même défaut.
Conclusion : ce châssis L6 bas de gamme de Philips, qui combine l’alim avec le circuit lignes, présente des faiblesses du fait même de cette simplification : le balayage lignes est sensible à de gros appels de courant en dirac sur l’alim, qui se répercutent inévitablement dessus…
Maintenant on sait :mrgreen: (et on ne s’arrache plus les rares cheveux pour parfaire ce qui résulte d’un défaut congénital…)
amicalement
En quelque sorte : Dirac, c’est les rations !
J’ai tout relu mais je n’ai toujours pas compris ce qu’est un « dirac »
Jamais entendu ce terme en dépannage télé
Pour moi , Dirac c’est un physicien ( Paul Dirac )