F.Duroquier "Le Scoladyne"

Bonjour,
Co-auteur de l’article sur Frank Duroquier paru dans le numéro spécial de Radiofil (N°71 de décembre 2015), j’avais gardé une petite frustration car nous n’avions trouvé que quelques photocopies du récepteur le « Scoladyne ».
Ce poste ne présentait pas de particularité à son époque si ce n’est que la parution en 1928 du fascicule de construction correspondait avec le départ de l’éducation nationale de F.Duroquier.
Par chance fin 2020 j’ai pu acquérir ce fascicule de 50 pages détaillant la construction de cet appareil.
En ces temps ou s’occuper chez soi est indispensable, cette réalisation m’a pris beaucoup de temps, sans poser de problème.
Pas complexe à fabriquer, mais trouver toutes les pièces et la visserie d’époque n’est pas rapide et il faut passer du temps sur de la « menuiserie » : fabrication des 3 « ponts », puis un ancien coffret en acajou trop grand a été redécoupé et adapté à la version « selfs intérieures » permettant de conserver un aspect patiné d’époque.
La technique de construction par « ponts » très agréable à mettre en œuvre sur des plateaux s’avère moins efficace sur ce montage et ne simplifie pas réellement le câblage.
Cordialement,
Alain.
Scoladyne 3-R3.JPG
Scoladyne 3-R2.jpg
Scoladyne 3-R1.jpg
Scoladyne 3-R0.JPG

…suite photos
Scoladyne 3-R6.JPG
Scoladyne 3-R5-Ponts.jpg

dernière photo.
Scoladyne 3-R4.jpg

Bonjour Alain. D’où vient cette dénomination " Scoladyne " ? Un récepteur pour les écoles ?

Bonjour,
Lors de l’écriture de l’article nous avions pensé que le nom de Scoladyne avait été donné intentionnellement par F.Duroquier.
Peut-être compression de « scolaire » et de « dyne » pour marquer son départ de l’éducation nationale en 1928.Cordialement,
Alain.

il faut completer le grand livre de la radio avec ces documents afin qu’ils ne disparaissent pas

Une curieuse manière de représenter les tubes avec le filament (cathode) entre la grille et la plaque !

Bonjour
Et merci pour cette remarquable fabrication.

Salutations

JP

Noz mad eins ,
Quelle exceptionnelle et magnifique construction d’un modèle n’existant peut-être plus ou n’ayant peut-être
peut-être jamais été réalisé , sauf peut être par l’auteur du livre , que de difficultés à vaincre , déjà avoir le document représentant ce poste , ce livre le Scoladyne de Franck Duroquier , qui doit être plutôt rare , on trouve assez facilement les titres connus de cet auteur passionné , transmettant par ses ouvrages sa passion et prodiguant ses conseils éclairés aux très nombreux amateurs demandeurs de cette période qu’on appelle l’âge d’or de la TSF .
La documentation même précise , c’est une chose mais le matériel nécessaire c’est une pour ne pas dire bien d’autres choses , en ajoutant du matériel hors commerce rare, dont la norme en visserie ne correspond plus à celle d’aujourd’hui , on a du mal à imaginer le temps passé par une ou plusieurs personnes pour trouver ces pièces , on pense aussi travail d’usinage à la côte des différents éléments qui sont inexistants .

Alors là , je dis chapeau et merci ,je suis particulièrement attaché à ces postes qu’on appelle souvent poste « batterie » postes qui me rappellent mes débuts , j’en ai démonté , en le regrettant plus tard , de ces postes au schéma facile à suivre , il fallait bien se fourbir en pièces , merci à nos géniteurs ex passionnés de l’âge d’or de nous avoir conservé dans le grenier familial , ces trésors aux senteurs inimitables .

Bonjour
très admiratif devant une telle réalisation!
amitiés
bruno