Doctsf (Modèles & Marques)
AnnoncesBonjour,
Mon oncle, grand buveur devant l’éternel et mort à 42 ans d’avoir trop vu d’éléphants roses se payait le luxe de faire ces même rideaux anti mouches avec un motif dessus.
Je me souviens particulièrement d’un avec Donald.
Je crois bien qu’il devait boire ses 12 litres de pinard par jour.
La verte était bonne,on en buvait sur les chantiers.
La vache ! Quelle descente ! 
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C’est vrai, elle était meilleure que la Valstar rouge, mais ça restait quand même de la daube.
A +.
Sans compter le blanc du matin pour dégraisser les dents. 
Autres temps, autre mœurs.
Quand aux beaux jours la porte d’entrée était équipée de ce genre de rideau, tu savais tout de suite à quoi t’en tenir en rentrant 
Je me souviens aussi d’allées de jardin dont les 2 côtés étaient entièrement bordés de bouteilles de mousseux retournées. Il fallait de la consommation sérieuse pour entreprendre un chantier pareil
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Celle là il ne faut pas la remonter à vélo !
Énormément d’ouvriers buvaient comme des trous à cette époque.
Et pas du bon…
Il me semble que les plâtriers étaient des champions.
Cavanna en parle dans son excellent bouquin « Les Ritals ». Je le conseille à tous ceux qui veulent passer un bon moment !
Oui,12, pas plus, car au dessus, c’est de la 
gourmandise !!
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C’était surtout la contenance d’une caisse (une 12 trous comme on disait)
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Les 12 trous c’est quand les casiers étaient passés au plastique. Les modèles bois d’avant n’en avaient que 10. Du coup fallait faire 2 voyages
Dans ce temps là entre le gros rouge et la goldo le cancer était assuré avant 60 ans… cela contribuait à l’équilibre financier des caisses de retraite.
Pendant que le débitant remplit les 12 « 5 étoiles » à la tireuse, il demande :
Alors, mon petit, 12 litres à 1 Fr 45 le litre, ça fait combien ?
…
« Euh, deux jours, M’sieur ».
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Dans les Hauts de France il y a un dicton :
Un ouvrier c’n’est pas un kien, il a l’droit d’boire sin verre eud’vin !
(un ouvrier ce n’est pas un chien, il a le droit de boire son verre de vin)
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Un ancien plâtrier sur un chantier dans les années 70 m’a dit: moi quand j’ai grand soif,je bois cinq verres de rouge d’affilée. Comme ça je suis tranquille pendant un quart d’heure . Et un copain ébéniste qui disait : je comprends pas ,j’ai beau couper c’est toujours trop court ?
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Prenons avec humour le problème des prises electriques…
Cette histoire de plâtrier me rappelle une anecdote qui m’est arrivée.
Sur un chantier de rénovation, il y avait des dizaines de m² de faux plafond en staff à réaliser.
Il y avait donc une équipe de staffeurs sur place.
Un jour, les regardant faire et voyant le plâtre toujours liquide dans l’auge, je demande au responsable comment il s’y prenait (à l’époque, je retapais ma maison et l’astuce m’intéressait).
Il faut aussi dire, que j’avais un peu beaucoup tâté la viscosité avec la main…
C’est alors que le compagnon me répond : le secret? et ben on pisse dedans.
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