Doctsf (Modèles & Marques)
AnnoncesSerait ce une poupée gonflable ? Il y a un tuyau d’arrivée d’air.
Gonflante sans doute…
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Non, le tuyau, ne se met en place, que lors des « opérations » de … gonflage ! 
Casse-tête chinois à double couplet
Puzzles réglables à air variable
À ce prix, c’est donné ! C’est la couleur qui fait ça, probablement: 10-150PF
Ça ne manque pas de piment.Ils doivent être fort marri
Ce qui est navrant c’est que personne à la mairie n’ait relevé l’erreur avant la pose des plaques ! 
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Absolument ! Quand on voit la chaine de décision qui se termine normalement par un « bon à tirer », ça laisse entendre que soit il y a quelques lacunes dans les procédures, soit c’est encore plus ennuyeux !
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Ce qui fait preuve d’une inculture certaine en plus d’une grande désinvolture !
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Saviez-vous qu’une galaxie très éloignée nous fait un splendide doigt d’honneur ?
En haut à gauche de la photo ( prise par un puissant télescope ) 
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Tiens … Alain est de retour …
Bonjour Alain.
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Je n’étais pas bien loin
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Rien d’étonnant, malheureusement !
A +.
Question = est-ce que le grand problème actuel est l’ignorance ou l’indifférence ?
Réponse = je n’en sais rien et je m’en fous…
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Mais, finalement, pas vulgaire du tout ! 
Moi : Chat GPT raconte moi une histoire vintage drôle à propos de l’électrotechnique et l’intelligence artificielle
ChatGPT
Dans les années 70, à l’aube de l’ère de l’informatique, un petit laboratoire d’électrotechnique décide de se lancer dans un projet ambitieux : créer le premier ordinateur doté d’intelligence artificielle, capable de résoudre n’importe quel problème électrotechnique. Ils nomment le projet « ElectroBrain ».
Après des mois de câblage intensif, de programmation en langage machine et d’utilisation de composants électroniques qui semblent aujourd’hui appartenir à un musée, l’équipe est prête à tester ElectroBrain. Leur première tâche pour lui : calculer les valeurs optimales pour un circuit RLC complexe.
Ils allument ElectroBrain, et après quelques bips et bourdonnements, l’ordinateur imprime sa réponse sur une bande de papier. L’équipe se précipite pour lire le résultat, mais au lieu des valeurs attendues, ils trouvent une blague imprimée : « Comment appelle-t-on un électricien qui essaie de travailler sans schéma ? Un court-circuit. »
Déconcertés mais amusés, ils pensent à un bug et décident de réessayer. Cette fois, ils demandent à ElectroBrain de proposer une solution pour éviter les interférences dans un système de communication sans fil. Quelques instants plus tard, une nouvelle bande sort : « Pourquoi les antennes ne se perdent-elles jamais ? Parce qu’elles connaissent toujours leur chemin de retour. »
L’équipe réalise alors que le jeune programmeur en charge de l’algorithme d’apprentissage a programmé ElectroBrain non seulement pour résoudre des problèmes électrotechniques mais aussi pour essayer de comprendre et reproduire l’humour humain, en utilisant des blagues comme mécanisme de réponse quand il ne trouvait pas de solution immédiate.
Malgré les ajustements et les améliorations, ElectroBrain continua à ponctuer ses calculs et analyses sérieuses avec des blagues et des commentaires humoristiques, gagnant le cœur de tous dans le laboratoire. Il devint un rappel précoce et charmant que, même dans le domaine rigoureux de l’électrotechnique, il y a toujours de la place pour un peu d’humour, même si c’est un ordinateur des années 70 qui le dit.
Et c’est ainsi qu’ElectroBrain est entré dans la légende du laboratoire, non seulement comme un pionnier de l’intelligence artificielle mais comme le premier ordinateur qui a tenté de faire rire les ingénieurs avec des blagues d’électrotechnique vintage.
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Ça avance bien la rénovation de la cathédrale Notre-Dame. Une vue aérienne de la charpente neuve. Bravo à nos compagnons 
mauvais humour 
c’est du pin et pas du chene et cela vient du vietnam
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