Bonjour à tous,
Beaucoup de tubes ont une petite étiquette collée sur le culot. Le numéro noté dessus, permet-il de faire un lien avec la référence de la lampe ? Exemple dessous avec un 1883 dont le marquage sur le verre est effacé.
Merci !
Bonjour à tous,
Beaucoup de tubes ont une petite étiquette collée sur le culot. Le numéro noté dessus, permet-il de faire un lien avec la référence de la lampe ? Exemple dessous avec un 1883 dont le marquage sur le verre est effacé.
Merci !
ce sont souvent des N° de nomenclature du fabriquant du poste
pas grand chose a en tirer
Bonjour,
même avis : Ce que mentionne ce genre d’étiquette ne sont que des numéros de nomenclature , ou code-date pour la garantie, ou références internes sans utilité pour l’usager…Mais il y a parfois , en plus des inscriptions sur le verre, des inscriptions sur le culot (et pouvant être masquées par la dite étiquette, à décoller soigneusement)
Un technicien expérimenté peu déterminer si la lampe est utilisable où usagée à son aspect ?
La question n’était pas de savoir si la lampe était fonctionnelle mais si on pouvait l’identifier à partir de l’étiquette collée sur le culot.
Je me rappelle vers 1968. On réparait un poste Philips équipé de tubes de la série Transco. Il a fallu changer la redresseuse, pompée, mais dont la référence s’était effacée. On a placé une AZ1 qui malheureusement n’ a pas tenu des années ! En fait, il fallait une 1883. L’une est chauffée à 4 V, l’autre à 5 V et cela suffisait à réduire la durée de vie du tube. Les deux tubes se ressemblent et les culots s’adaptent.
un simple mesure au multimetre de la tension de chauffage aurait mus la puce a l’oreille
Bonjour,
de nombreuses valves à culot transco se ressemblent beaucoup, ont le même brochage, et des caractéristiques certes différentes mais voisines, de sorte que même sans y faire attention l’une peut remplacer l’autre et ceci peut « marcher » et tenir plusieurs mois voir quelques années (selon l’usage , et la durée d’utilisation, qui en est fait ) ces lampes sont assez tolérantes est supportent une utilisation « hors spécification » pendant un « certain temps » (pouvant être assez long)
Pour le cas des 1883 et AZ1 , on peux les départager par un observation interne comparative, si on dispose des deux (l’une est a chauffage direct, filaments en ruban tendus…L’autre à chauffage indirect, filament en fil, enfilé dans une cathode ) ou par la mesure des tensions (si on ne dispose pas des deux pour comparaison, mais si on dispose du poste et d’un voltmètre )
Par ces temps,On peut donc dire, Patrick, que ce sont des lampes « fût du canon »
entre elles quoi ! ! !
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Bonsoir !
On peut déjà savoir si une lampe est HS si le verre est devenu blanc laiteux au niveau du getter. C’est déjà un début…
Les lampes d’aspect « bonnes » seront à tester sur un poste ou un lampemètre si on en a un (même un basique permet déjà un tri correct). Le test dans un poste permet de voir immédiatement si une lampe amplifié ou oscille correctement la ou il faut, complété par des mesures tension/courant et un datasheet des mesures attendues.
Par contre, faut être sûr à 100% que le poste test fonctionne parfaitement et laisser la lampe en test une vingtaine de minutes pour éliminer les possibles défauts à chaud (une g1 de penthode BF devenant positive par exemple !). Il faut aussi se tenir prêt à débrancher le poste test au cas où on aurait une lampe franchement défectueuse: j’ai déjà eu une 6V6 qui flashait après une minute de test, plus des redresseuses avec des court-circuit inter-électrodes qui pouvaient potentiellement tuer un transformateur d’alimentation !
Bonne soirée !
Tony
Bonjour,
Pour l’état des lampes :
oui, on peux déjà éliminer d’office :
-les lampes cassées ou félés (évidemment)
-les lampes devenues d’un blanc laiteux au niveau du getter (contrôle visuel)
-les lampes présentant des morceaux d’électrodes ou des particules de métal fondu (contrôle visuel)
-les lampes ayant le filament coupé (test de continuité à l’ohmemètre)
Les lampes qui font « tchic-tchic-tchic » quand on les agitent ne sont pas forcément défectueuses ( ça peut être simplement le scellement qui est détérioré, à recoller …ça peut aussi être des particules de métal fondu, voir plus haut, à rejeter )
Pour l’identification d’une lampe dont le marquage est illisible :
-Tenter une recherche avec un début de référence et le caractère joker « * » …Ou par la forme de l’ampoule , la structure interne, et le culot :
Voir sur des sites tels radiomuseum point org (ou d’autres site montrant leur aspect, et proposant une recherche même avec une référence incomplète )
-Si la lampe équipe un poste d’un modèle courant, et que les autres tubes sont présents, tenter une recherche « par jeu usuel » (par déduction et en s’inspirant de celles déjà présentes) ou par le schéma et la nomenclature de la documentation de service (si une doc de service existe)