Doctsf (Modèles & Marques)
AnnoncesFin des années 1950 , début des années 1960 , jusqu’ en 1970… enquête statistique
https://www.cairn.info/revue-le-temps-des-medias-2004-2-page-118.htm
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Article intéressant.
Il confirme indirectement un peu ce que m’avait dit mon père, à propos de sa première radio achetée en 1961 : il en avait fallu 3 pour en avoir 1 qui marche. Ce n’était pas aussi fiable et éprouvé qu’un poste à lampes, au début. ça a sans doute été un frein.
J’aurais apprécié, mais ce n’est hélas pas le sujet, qu’on se penche sur ce qu’aurait été le portable à lampes sans l’arrivée du transistor. Quand on sait le progrès entre la série 92 et la série 96 qui lui a succédé en matière de dépense énergétique, peut-être les portables à lampes auraient-ils fini par ne plus consommer grand chose.
bonsoir
Fin des 50’s , début des 60’s en même temps qu’ apparaissait le transistor dans les radios à l’ attention du public ,on a vu apparaitre le nuvistor , qui aurait pu concurrencer le transistor et pérenniser les radios à lampes , mais qui n’ a pas eu le succès escompté par la firme qui en a fait la promotion !
http://michel.terrier.pagesperso-orange.fr/radiocol/detail/nuvistor.htm
Quant à la " fiabilité " des premiers récepteurs à transistors mis sur le marché à la fin des années 50 bah , ça dépendait peut être de la marque .
Pour ma jeune soeur handicapée , mes parents lui avaient acheté un " translitor seven " de chez Pizon , qui n’ est jamais tombé en panne .
C’est vrai que les frangins Pizon faisaient du matériel sérieux, mais aussi coûteux. Un de mes postes à transistors préféré, si ce n’est mon poste à transistors préféré, est un translitor 1000. Grande qualité, aussi frais que sorti de l’emballage. Peut-être légèrement gourmand en piles.
Celui que mon père s’est vu remplacer plusieurs fois était un sonneclair, vendu aussi sous les marques grammont et Ribet Desjardin si je ne m’abuse.
J’en ai plusieurs versions en plus du sien, qui fonctionnent en effet assez bien, mais qui n’arrivent pas à la cheville d’un translitor 1000.
J’ai plusieurs de ces premiers « transistors » dans ma collection, et ils fonctionnent tous, ou à peu près, 60 ans après.
Ces premiers appareils étaient relativement simples de conception, deux gammes d’ondes, un cadre ferrite, 1 transistor oscillateur, 2 MF, et pour la BF, un push pull avec 1 driver et deux tr de sortie.
C’était du classique qu’on retrouvait sur la plupart de ces récepteurs.
Après, avec les OC, c’est devenu un peu plus compliqué. Et encore plus avec la FM. Mais la plupart fonctionnent encore.
Pizon Bros, j’aime bien. J’ai je pense toute la série, ou il ne doit pas m’en manquer beaucoup, du Translitor Six, en passant par les deux modèles de Translitor Seven, et jusqu’aux Translitor FM
salut Yves
Aussi celui ci : palm beach , mais à lampes 
Je n’ai pas le 1500, ni même le 1200. Sur le marché de l’occasion, on ne peut trouver que ce dont quelqu’un d’autre se sépare.
Pour les GO, ou ce qu’il en reste, mon pizon préféré reste néanmoins à lampes, celui avec une drôle de batterie combinée sortant 1v5 et quelque-chose comme 35 volts.
Pour la FM le 1000 est très bien, je ne désespère pas de recevoir un jour un 1500 par la poste.
Bonsoir Claude, et tous,
Oui, le Palm Beach, je l’ai aussi, et aussi le « Clipper », aimablement cédé par notre ami JP Tonnelier à l’époque où j’en cherchais un.
Quand au Trav-Ler, je l’ai en 7 exemplaires, et le Sky Master alors pour celui-là, je ne les compte plus, je dois en avoir une bonne dizaine. Quand on aime… 
Ce que j’aimerais, c’est que quelqu’un nous ponde un livre sur la saga Pizon Bros, comme certains l’ont fait pour Optalix, ou encore pour Pygmy. C’est une marque qui m’intéresse, et j’aimerais bien en connaître l’histoire.
Peut-être pourrais tu l’écrire, cette saga.
Pizon a été une marque très prolifique notamment en portatifs à lampes. Je dois avoir un scarlett, et le rio.
Je pourrais si j’avais les éléments. Mais qui pour fournir les éléments ?
Le forum et ses intervenants, et les copains des intervenants, parmi lesquels on pourrait retrouver des anciens de chez Pizon. ça s’est déjà vu.
Tout est possible, et amha plus le temps passe plus ça va devenir compliqué : les retraités de Pizon ne seront pas éternels. Autant de raisons de sauter le pas.
Nul n’est mieux placé qu’un passionné de la marque pour en retracer l’histoire, il faut juste oser. Il faut absolument mettre par écrit toutes les petites histoires, les petites anecdotes, les documents, éventuellement les interviews. Il faut faire les choses tant qu’on le peut.
Même une chose qu’on peut juger insignifiante peut être finalement précieuse, et rien n’est plus facilement perdu.
Après tout, ce n’est pas plus étrange que de vouloir émettre en GO.
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Mon premier transistor était un TJN2. Il était blanc et tout petit.
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Bonjour
Les principaux constructeurs français de radio à lampes ont fabriqué des appareils à transistors dès la fin des années 1950 , avec les « germanium » au début peu sensible les « siilicium » ont redoré leur blason
Cdt
J’ai aussi eu un TJN2 avec son joli chapeau bleu , il etait dans une boite de jeux que l’on m’a offerte mais plus tard… le premier transistor que j’ai acheté chez Radio Prim était un OC 72 …c’était .mon cher tranistor
bonjour,
ce sont des transistors a effet de champ 