Bonjour!
Je suis a la recherche de complices electroniciens, ayant deja reflechi a la construction d’un lampemetre pilote par PC.
La configuration du lampemetre se ferait depuis le PC par une liaison serie, USB ou RS 232, avec un soft ecrit sur mesure.
A l’interieur du lampemetre, il ne resterait qu’un peu d’electronique, les convertisseurs A/D seraient inclus dans un PIC par exemple, et des petits relais pour les differentes commutations.
Avec ce principe, il serait possible de contruire un engin peu couteux, et performant.
En ce qui concerne l’ecriture du soft sur PC ou dans le PIC, pas de probleme, c’est assez facile.
Le plus difficile, sera de definir les differentes mesures a effectuer, et la facon elegante de les recuperer.
Voila, le debat est ouvert.
Si vous avez des idees, ou si vous souhaitez participer au projet, y’a plus qu’a…
excellente idée !
j’ai réalisé il y a quelques années ce genre de lampemètre. Il était adapté exclusivement aux lampes européennes. Il était piloté par PC (j’avais écrit le soft en … Basic !), Il nécessitait une carte d’interface sur le bus ISA, et ne comportait pas de contrôleur, mais toutes les alimentations programmables.
Comme le bus ISA est un tantinet obsolète, j’avais déjà réfléchi à moderniser l’engin. J’en suis arrivé aussi au PIC contrôlant les alims programmables, reliée au PC par une liaison série.
D’autre part, j’ai déjà développé (pour mes besoins pédagogiques) une carte à base de PIC qui se branche sur un port COM et qui fournit une interface parallèle 8 bits: 8 entrées séparées, 8 sorties séparées, avec signaux supplémentaires de contrôle dans le but, en ajoutant une carte fille spécialisée, soit de faire des interfaces isolées, soit des CAN, soit des CNA.
Les commandes sont déjà écrites, et sont relativement simples à utiliser. Ce sont des fonctions C++ qu’il suffit de mettre dans un prototype .H
J’avais mis ce projet en stand-by, mais c’est peut-être l’occasion de s’y remettre…
Bonjour,et merci pour la reponse.
A deux on reflechit mieux.
En ce qui concerne les PICs, ou autres µp ou µC, j’ai des heures de vol.
Comme j’ecris souvent des softs ou le temps est critique, je suis reste a l’assembleur.
Mais le C ne me derange pas.
Cote PC, on fait du tres bon boulot avec les versions recentes de VB.
Sur les ordinateurs recents, c’est un langage suffisamment rapide.
Si quelques accolytes veulent se joindre au projet, on pourrait demarrer le cahier des charges assez rapidement.
Les idees de tous seront les bienvenues.
Pour les gens qui auraient des difficultes avec la programmation, pas de probleme, on s’en occupe.
ok, on est d’accord, les fonctions C++ que j’ai écrites étaient utilisées pour le soft d’appli côté PC, mais je programme également le PIC en assembleur.
D’autre part, je ne sais pas s’il faut penser « machine récente », car c’est peut-être bloquant; en effet, il faut penser à tous ceux qui ont des machines plus anciennes dans leur atelier. Je vois mal être obligé soit d’amener le PC de la famille (à moins d’avoir un portable) dans l’atelier ou le contraire, amener le lampemètre dans le bureau. L’idéal (à mon sens) serait d’avoir une machine dédiée (quite à la mettre en réseau), ce qui permettrait d’avoir un lampemètre autonome. D’ailleurs, il est facile d’utiliser de « vieux » PC suffisament performants pour cet usage et qui sont (soi-disant) dépassés.
Par exemple, actuellement, j’ai un vieux 486 qui commande un programmateur d’Eproms et c’est parfait ainsi: la carte d’interface est branchée en permanence, souris, clavier branchés et tout ça dans un carton. Quand j’ai besoin de programmer une Eprom (ce qui arrive assez rarement, tout compte fait), je sors tout, je connecte le PC dédié à mon PC de travail, un coup de Laplink pour transférer le fichier hexa et le tour est joué…
Bonjour!
En apparence, cette histoire n’interesse personne.
Aucune importance, je compte m’y mettre quand meme.
Si le projet vous interesse toujours, Monsieur Pierre Genet, alors je suis preneur.
En effet, avec les composants modernes que l’on a maintenant, on doit pouvoir faire quelque chose de sympa.
Avec un PC, on doit pouvoir faire un traceur de courbe automatique par la meme occasion.
Sur la plupart des lampemetres, les mesures sont tres approximatives.
Je ne suis pas franchement électronicien mais je m’interresse à la fois à la TSF et ampli hifi à lampes ainsi qu’à l’informatique.
Votre idée de lampemètre gèré par un PC, je la trouve très séduisante et je suis preneur. Malheureusement je ne serais pas d’une grande utilité pour participer à la conception, par exemple je ne vois pas comment gérer de la haute tension avec un PC !
Comme je l’ai précisé plus haut mes connaissances sont assez limitées.
Voila vous savez tout, sachez que je suis très interressé par votre projet.
Le but de l’operation, c’est de laisser a chacun la partie qui l’interesse.
En ce qui concerne la partie informatique/microcontroleur, pas de souci, c’est comme si c’etait fait.
Chacun participerait a hauteur de ses connaissances, ou de son interet.
Par contre, cela devient interessant au niveau de la construction du lampemetre en lui-meme.
J’aimerais bien profiter d’un microcontroleur pour effectuer un releve automatique des courbes d’une lampe, par exemple, et les rapatrier dans un fichier image directement sur PC.
Ce serait sans doute plus utile, et plus parlant que quelques points releves manuellement sur un lampemetre traditionnel.
Quoi mesurer, et comment.
Mesure du vide, par exemple: quelle serait la meilleure methode avec les composants modernes ?
Si vous ne souhaitez pas participer phisyquement, vos idees seront appreciees.
Pour la gestion de la haute tension, il suffit d’envoyer la valeur numerique de la tension souhaitee depuis le PC, a un convertisseur Digital/Analogique sur le lampemetre, et de comparer cette tension avec la sortie d’une alim a decoupage (sur le lampemetre).
L’erreur entre les 2 tensions servirait a l’asservissement de l’alim a decoupage, pour que celle-ci s’aligne sur la tension souhaitee.
Les courants et tensions mesures sur le lampemetre seraient envoyees sur le PC etre passes par une conversion Analogique/Digitale.
Une simple liaison RS232 ferait parfaitement l’affaire.
Merci a tous les contributeurs, surtout pour leurs idees.
J’ai cherché longtemps sur le net, et j’ai trouvé plusieurs montages intéressants et accessibles; mais cependant avec une difficulté de taille pour moi: il fallait développer un logiciel; et ça je ne sais pas faire. Car ceux qui sont passés par là - avant nous - ne publient pas le logiciel qui fait fonctionner leur engin … ???
Je suis en train de terminer un pentemètre manuel dont j’ai trouvé le shéma sur le net; mais je suis d’accord pour participer à une machine plus évoluée; si je peux être d’une utilité quelconque.
Je suis aussi intéressé par la réalisation d’un lampemètre sur PC, ça permettrais je pense de le construire dans un boîtier beaucoup plus petit,. et pourquoi pas intégré dans l’ordinateur ancien ou très souvent il reste beaucoup de place de libre.
Affaire sérieuse à suivre.
J.Claude F5GES
j’y ai déjà pensé mais faute de temps j’ai laissé tombé mais c’est vrai qu’à plusieurs sur un projet ça motive beaucoup plus et du temps, on peut s’en libérer.
De plus, je trouve sympa le fait de développer un projet par le bias du net.
Au niveau interface, la liaison série RS232 me parait viable puisque tous les anciens PC en sont équipées, même les MAC si besoin les microcontrolleurs si une version autonome est envisagée.
Pour les PC récents, certains en sont dépourvue mais ce n’est pas un réel problème : il suffit de monter un convertisseur USB-RS232.
Quelques idées pèle-mèle :
Du point de vue technique, en effet la haute tension est délicate à manipuler interfacée à un ordinateur mais une protection de la partie communication suffit à isoler le tout (opto-coupleurs)
3 alimentations programmables seraient nécessaires :
avec les limitations d’intensité réglées en consigne
une alternaltive pour le chauffage
une continue pour la HT
une autre alernaltive pour les valves
avec retour d’informations (tension, courant)
Pour toutes les lampes, vérification des court-circuits
les mesures proprement dites sur les lampes sont principalement l’intensité anodique et le courant de fuite de grille pour une triode de base.
Pour les pentodes, il faut rajouter la mesure de l’écran ?
Pour les valves, tensions et courant de sortie
temporisation pour attendre la montée en température du tube
matrice de commutation côté platine supports :
→ les contacts analogiques ne seront pas suffisants : relais
base de données côté logiciel facile à implémenter à partir de table récupérées sur des lampemètres existants
« garde-fous » côté interface en cas de bug logiciel.
Bonsoir, et merci pour l’interet que vous manifestez pour ce sujet.
J’ai bien cru que j’allais devoir ne compter que sur la bonne volonte de Pierre Genet.
Pour ce qui est de l’alim HT, le plus simple a mon avis, serait d’avoir une alim avec plusieurs tensions fixes, regulees par un transistor ballast avec limitation de courant.
50V, 100V, 150V, 200V, et 250V, commutees par le PC
Une alim a decoupage flottante de 0 a 50V serait en serie avec une des tensions fixes au choix, ce qui permettrait d’aller de 0 a 300V sans probleme.
Il est en effet nettement plus facile de faire une alim « propre » quand la plage de tension n’est pas trop large.
De plus, cet arrangement permettrait de tracer la courbe de la lampe automatiquement, en generant une tension grille programmable de -50 a +10V.
Pour le chauffage, en courant continu, on eviterait le transfo multi-tension difficile a trouver, en utilisant le meme raisonnement que pour la HT.
Mais ce ne sont la que des idees, qui ne demant qu’a evoluer en fonction des propositions de chacun.
pour les relais, je ne sais pas trop encore mais à la louche, vu que c’est le support Noval qui a le plus de broches à ma connaissance, et sachant que la plupart si ce n’est tous les tubes d’un même modèle (à vérifier) ont le même cablage pour le chauffage filament, on doit pouvoir réduire ce nombre raisonnable à 7.
J’ai un autre lien perdu dans un autre ordinateur, que je n’ai pas sous la main, mais le plus intéressant, c’est le russe. Il y a plus de 3 ans que j’en rêve, alors en attendant le numérisé, j’ai construit un pentemètre manuel.