Doctsf (Modèles & Marques)
AnnoncesAvec quelques explications claires, c’est pas bien compliqué:
http://www.radioman33.com/pages/documentations/l-alignement-des-postes-de-tsf.html
Bonjour à tous.
J’ai pas de photos de mon SONORETTE 33 sous la main, je pourrais en faire une de l’intérieur la semaine prochaine pour vous montrer la modification avec les tubes de série P. Cependant, j’ai une remarque a formuler par rapport à ce qui à été dit plus haut.
Sur une TSF donc un appareil à tubes, il est plus que probable qu’un dépanneur soit intervenu dessus durant son fonctionnement a l’époque chez les gens non ? Je ne suis pas suffisamment vieux, pour avoir connu les radios a tubes dans les maisons, mais prenons la première télévision NB de mes parents, achetée en 1964 et ayant fonctionné, jusqu’au début des années 80, et bien il me semble que le dépanneur passait dessus tous les 3 ans environ, pour des lampes, une THT ou des condensateurs, Cela devait être la même chose pour une radio, bien que l’appareil soit plus simple.
Cordialement.
Pierre.
Pour compléter la question de Pierre tout à fait interessante je me demandais aussi si parmi les anciens de ce forum il y avait d’ex-depanneurs radio ou même tv tels qu’on les connaissait encore dans les années 80 (lorsqu’on faisait réparer son tv à domicile)
On a souvent le temoignage de tel ou tel employé d’usine de montage de grandes entreprises mais très peu celui d’artisans avec échoppe assemblant des récepteurs ou qui se déplaçaient chez des clients installer ou réparer un poste avec leur petite valise remplies de tubes.
Leurs temoignages sur ce metier disparu pourraient constituer un bon article pour la revue radiofil.
Quand je pense à ce métier, j’ai toujours l’image du rôle tenu par jl trintignant dans le film « le train » avec r. schneider
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Ah oui, le temps des dépanneurs faisant du dépannage à domicile …Avec des valises , genre « Valitec » spécialement conçu à cet effet
Avec des cases pour les tubes, des boites pour les composants, et des logements pour le multimètre, les tournevis et fer à souder …
(j’en avais vu une récemment dans un dépôt vente …un modèle plus simple, pour radio, sans la glace miroir et avec moins de place dedans)
sloup
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Bonsoir
Oui, moi 
et j’avais la même valisette que celle présentée par Sloop . Je m’en suis servi de 1970 aux années 90 !
Du temps des tubes, je dépannais 95 % des téléviseurs à domicile et j’avais aussi avec moi un classeur rassemblant les schémas (secs) de la plupart des téléviseurs courants.
Je changeais aussi THT et tripleurs à domicile 
Pour le fer à souder, j’avais le fameux « Engel » instantané, mais en 60 W (j’avais trouvé que le 100 w « brûlait » trop). J’avais aussi (plus tard) un 30 W à gaz (très pratique).
Bien sûr, j’avais le classique Métrix 462, remplacé plus tard par un Fluke 77.
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Je l’ai pratiquer aussi le dépannage a domicile avec la valise, le fer Angel, bobine d’étain, installation et dépannage a domicile en remplaçant des interrupteurs, des modules etc sans oublier les antennes 
Tout en commençant réellement le métier début 1990
@kiki37 @totophe73 Je pense qu’on est nombreux à se poser plein de questions sur ce metier. Comme je le disais, ça meriterait un article dans la revue avec si possible des photos d’époque de cette fameuse valise par exemple ou de la boutique ou l’atelier s’il y en avait.
Par exemple, quand ce métier a-t-il commencé à disparaître, comment se sont reconvertis les jeunes, quelles étaient les périodes les plus fastes, les pannes les plus fréquentes, les châssis maudits, les opérations les plus rentables, les tubes ou les pièces les plus changés, le matériel indispensable chez le client, l’équipement de l’atelier, était-ce la continuité d’une activité radio … Des reponses à toutes ces questions agrémentées de quelques anecdotes feraient certainement un bon article. Ecrit à plusieurs s’il y en a d’autres …
Le dépannage à domicile est devenu impraticable à partir des châssis TVC 14 (Philips) et ICCx (Thomson)
1960 à 1990
Tubes de puissance THT et THT eux-mêmes, tubes de puissance trame (E/PCL82/85), de puissance BF (E/PCL82/86)
tubes des rotacteurs (ECC189, ECFx) et bien sûr des tuners à lames (E/PC86/88) qui tenaient rarement plus d’un an !!! (en plus enfermées dans des capuchons blindés … brûlants)
Le châssis « S » noir & blanc de Continental Edison : circuit imprimé à double face …et à tubes ! (les traversées de châssis lâchaient à qui mieux mieux …)
Le châssis CAB10 de Thomson … 
fer à souder et tubes de rechange et … condensateurs de filtrage 
et … des fiches coaxiales d’antenne !
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Effectivement il y a beaucoup a dire 
Je vais être différent de KiKi37 et c’est bien normal car je n’ai pas vécu la même période mais malgré tout les anciens téléviseurs passaient encore a l’atelier car les gens étaient conservateurs.
Le CAB10 alors la oui je crois que tout les dépanneurs TV ont pestiférés ce châssis a chagrin, cela a été une catastrophe chez Thomson. L’ICC17 ( encore Thomson) avec ces pannes récurrentes d’alim de veille et de kit de réparation tht qui ne tenait jamais 
Par contre l’ICC 19 était très fiable. Plus ancien dans le temps l’IKC2 avec son alim qui chauffait a outrance. La boutique où j’ai commencé à travailler était station technique Philips mais cela nous empêchaient pas de prendre toutes les marques a dépanner. Je n’ai pas de photos a rapporté malheureusement, sur une période jusqu’en 2007 j’en garde un très bon souvenir malgré les déboires,A l’apparition de M6, ARTE canal j et autre en analogie sur le Telecom 2B ont vendaient du fuba, le terminal était une vraie chaufferette et la partie alim au bout d’un certain temps tombait en panne et le circuit imprimé était noir carbone 
on étaient 4 en tout dans la boutique j’étais le dernier arrivé. Mes meilleurs années en tout cas, d’autres marques qui me viennent à l’esprit qui n’étaient pas très bon non plus c’était PRINZ et SALORA sur certains modèles. Encore un autre L’IDC2 encore Thomson avec cette saloperie de panne audio intermittante, il y avait des craquement dans le son et parfois le son coupé, avant dans trouver l’origine de la panne le cerveau a bien fumé toutes ces pannes étaient noté en rouge avec leurs solutions de dépannage.
Je dirai plutôt que la déclinaison c’est sérieusement fait sentir sans doute vers 2008 ou aux alentours.
A l’atelier il y avait des centrales Weller, principalement du fluk en multimètre et du hameg en scope
Christophe
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Merci pour vos retours. Je pensais qu’a partir des années 2000 on avait dejà à faire à des téléviseurs kleenex …
Dans le domaine dépannage il y a ce don je ne suis pas d’accord est de décrédibilisé les TVC de Thomson , comme tous les autres ils ont fait des « loups », il était l’époque des magasins « DO » où chaque marque critiquait celles des concurrents et les techniciens étaient conditionnés pour les dénigrer
Je ne critique pas la marque, j’ai cité quelques modèles de châssis a chagrins comme je l’ai décrit a d’autres marques, si sa peut vous faire plaisir il y a eu chez Philips des trc qui se rincaient très vites et si je ne me trompe pas c’était la série FST vision, chez Thomson il y a eu des très bonnes réussite comme le A1 qui fut je croit le dernier châssis a tubes ( plus transistors) fabriqué avant le tout semi conducteur. Il était pour ainsi dire increvable. Kiki37 me confirmera. Je n’étais pas conditionné, si vous avez bien lu on était station technique Philips mais on prenait toutes les marques ainsi celles des supermarchés comme bluesky, tokai, goldstar etc…
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les IKC1 et IKC2 étaient des « bas de gamme » , châssis destinés à être vendus en « kit » (d’où leur appellation International Kit Châssis) à différents constructeurs européens.
L’IKC2 était un IKC1 "gonflé " pour les tubes de plus grande taille, d’où l’échauffement et son manque de fiabilité
Non.
à l’époque, on avait des stages dans plusieurs marques par leurs technico-commerciaux avec les aides de FEDELEC et de la Chambre des Métiers d’Indre et Loire et on discutait beaucoup entre nous sans à-priori : on faisait juste état de nos expériences
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Bonsoir tout l’monde,
Je vais essayer de redire ce que j’ai déjà écris dans d’autres posts pour compléter, en redisant que, depuis 1963 jusqu’à 1968 j’ai ‹ bourlingué › dans plein de boutiques qui me payaient (salarié) comme dépanneur, la dernière étant Locatel pour les couleurs (avec voiture mais sans outillage puisque j’avais le mien).
En 68 l’armée . . . puis en 1969 retour chez Locatel, mariage le 1er juillet et, jusqu’en fin septembre encore salarié Locatel.
A partir de 1971 et jusqu’à fin 1981 alors qu’on était partis pour nous installer à Niort comme artisan dépanneur toutes marques en créant Télé-Service 79 où nous ne faisions pas du tout de ventes mais complétions le dépannage grand public (radios, TV, TVC, magnétophones) même professionels et autres bidules (jeux de lumière pour Boîtes de nuit, générateurs de fumée, table de mixages etc) par les radio-téléphones (installation et réparations) ainsi que des matériels médicaux (audiomètres, oreilles artificielles de mesures, rayons X et autres thermomètre ou ECG), en dehors des engins nouveaux comme les magnétoscopes (U matic, VHS, etc) et caméras de TV et TVC, voire de portier ou télésurveillance aussi.
Je vais aussi chercher des photos pour pouvoir vous les passer pour faire ce que vous en voudrez (valises de dépannage complètes encore), outillages en tout genres et des compte-rendus de dépannages ou stages effectués obligatoire pour ne plus avoir peur (notament des CAB10 et D11 que j’adorais alors, et qui, malgré les rumeurs étaient des sacrés bons modèles ! ! !), ainsi qu’un D11 que j’ai encore (en panne) dont on verra ce que je ferai ensuite.
Bonne soirée à tous
Le vieux Tryphon
Exactement Jacques, simplement des rapports et des constatations
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C’est une certitude, point de rumeurs sur le CAB10 car au moins cela faisait tourner l’atelier de dépannage. Le D11 c’est autre chose…
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Le D11 était un excellent châssis (il fallait bien rattraper la « bourde » du CAB10 )
Le CAB 10 était techniquement bon et il aurait bien fonctionné avec des composants de meilleure qualité et mieux dimensionnés, c’est à dire dimensionnés « techniquement » et non « commercialement » (prix de revient en fabrication)… Mais comme disait un ami/patron : « c’est un bon châssis quand on a un atelier de dépannage »
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Je confirme = trés bon téléviseur noir et blanc, châssis basculant très accessible 
Qui aurait cru à l’époque qu’une camelote comme Goldstar deviendrait plusieurs décennies plus tard un leader du marché ? Eh oui, Goldstar, c’est LG !
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Salut kiki,
à l’époque du CAB10, j’étais station technique régionale Brandt . . .
Je suis allé rendre visite à Mr. Gélin à l’usine de Saint Pierre Montlimar qui montait les CAB10 . . .
On a mis au clair des problèmes créés par la commutation dans les relais du 625/819 lignes . . . ainsi qu’un kit comprenant une équerre et un support pour un relais bien plus ‹ solide › et sans les rebonds de contatcs de celui monté d’origine, qui, s’il était monté avec les condos prévus aussi, m’a fait réparer pour des années sans faille des dizaines de CAB10 de tous les ‹ constructeurs associés › aussi :
plus de thyristors en botte et plus de panne de balayage H . . .
Le D11 comme dit : c’est autre chose !
C’est clair que , tous châssis confondus, la plupart des pannes de balayage ligne était due à la commutation 819/625 lignes
Les TVC4 avec le « sabre » de commutation qui cramait avant qu’il ne soit remplacé par un relai costaud
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