Le DESMET de St AUBIN

:bonjour: à tous et à toutes.

Je suis en train de restaurer ce petit DESMET 990 U ramené de St AUBIN (merci Jean-Michel :wink:), la peinture blanche qui recouvre la caisse en Bakélite est en train de s’écailler et part en lambeaux, j’ai donc décidé de tout enlever et laisser la Bakélite telle qu’elle.
Le tour de cadran a déjà été fait (posé en haut), il me restera la caisse.

A +.

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Sacrilège!
Une authentique relique ayant appartenu à St Aubin, et tu le dénatures sans vergogne!

Gare aux flammes de l’enfer! :face_with_raised_eyebrow:

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Son prénom, n’était-ce pas Marie?

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Je ne risque plus rien vu que j’écoute du Métal :wink:

A +.

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Voilà, la peinture blanche a disparu. Ç’a mis quelques jours, car il a fallu passer 2 couches de produit par face de la caisse pour tout enlever. L’intérieur, pas besoin, la peinture est partie avec un simple coup de Sopalin tellement c’était écaillé (dû sûrement à la chaleur à l’intérieur de ce poste tous courants).
C’est quand même + simple d’enlever de la peinture sur de la Bakélite que sur du bois, car elle s’infiltre dans les fibres, ponçage en plus.

A +.

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Le voilà remonté. J’ai laissé les boutons en blanc pour faire contraste.
Cordon secteur changé, car il partait en lambeaux.
Le poste fonctionne, mais avec de la ronflette, je verrai ça + tard.

A +.

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Bravo, il est bien plus beau maintenant !
Je savais qu’il serait en de bonnes mains…

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Un coup d’eau bénite sur les contacts, et il fonctionnera comme un neuf ! :smile:

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Est ce à dire qu’il sonnera les vêpres ???

ST Aubin Marie était un faussaire, c’est comme ça qu’il est mort place de grève ébouillanté.

Ils ont fait quoi de la barbaque, une fois cuite?
Me dites pas qu’ils l’ont jetée!!! :rofl: :rofl: :cold_face:

Désolé pour le HS @Gilles_MEZONNIAUD

D’après Jean Teulé certains charcutiers peu fréquentables achetaient le supplicié qui finissait en chair à saucisse.

C’est dans son livre « Je, François Villon »
Si l’on en croit ce qu’il raconte, certains bouchers/charcutiers achetaient effectivement les cadavres des suppliciés. C’était illégal, et si le commerçant se faisait prendre il était condamné à être cuit vivant dans une grande marmite, départ à l’eau froide, histoire de le sentir passer…