la bande vhs, en version 5h c’est plus fin qu’un cheveux
parcontre j’ai pas tout suivi, mais si ça doit être transparent ou suffisemment clair pour laisser passer de la lumière… alors retirer la couche magnétique risque d’être sport sans esquinter le mylar
apres y’a l’amorce de fin de bande, mais je sais pas si elle fait la même épaisseur que la bande elle même.
En effet, en 1972, la marque japonaise Toshiba avait commercialisé la platine tourne disque SR 50 équipée d’une cellule phonocaptrice Hi-Fi à lecture optique (optoélectronique), le modèle C 100 P qui utilisait malgré tout une pointe diamant et un cantilever (stylet) montés sur une suspension classique, tout comme n’importe quelles autres cellules phono, qu’elles soient du principe céramique, piézo, à aimant mobile ou à bobine mobile.
La différence fondamentale se situait évidemment après cet équipage mobile de la tête de lecture, ainsi les vibrations issues du cantilever étaient captées par une cellule optoélectronique.
Ce système optique nécessitait un préampli adaptateur spécial qui était intégré à la platine, et celle-ci devait être raccordée sur une entrée haut niveau (ligne) de l’ampli.
Ce principe n’a pas eu le succès escompté et a disparu aussi rapidement qu’il était apparu.
Il y a quelques années, la marque DS Audio a repris ce principe de lecture optique des disques vinyle en commercialisant des cellules phono entre 1500 et 2000 €, mais je ne sais pas ce que ça vaut !
J’en avais vu du vraiment très fin utilisé pour rubaner certains câbles électriques du temps où j’ai bossé dans le secteur, mais pour en dénicher maintenant…
De toutes façons, je dois finir le bois, puis les bricoles en cours, (les grands enfants s’impatientent…) avant de pouvoir mettre le nez dans cette future élucubration.
Ca me laisse donc assez de temps pour examiner les différentes sources possibles conduisant à la membrane idéale.
La retraite, c’est le moment de la vie ou l’on devrait pouvoir fainéanter un peu, mais ou l’on s’aperçoit que l’on n’a jamais le temps de le faire…!
J’ai retrouvé l’article de Science & Vie (juillet 1982). Il s’agissait d’un photophone à réaliser. La membrane du micro est en « prestaline » (mylar adhésif). Je pense que ça ne doit pas être évident à tendre sur un support carré tel que décrit. Peut-être plus facile sur un support circulaire (comme un bout de tube en PVC) en utilisant un élastique. À défaut de prestaline, un morceau de couverture de survie pourrait éventuellement faire l’affaire.
Un truc bizarre sur le bricolage Tandy: la potorésistance est en série entre l’alim et C4.
Résultat des courses, quand la capa se charge, elle reste définitivement chargée, et le bazar devient muet.
Manque une résistance de tirage ~100k entre la cellule et la masse.