En 1965 il y avait combien d’abonnés au téléphone en France ? En 2024 il y en a combien ?
En 1965 cela coutait combien de téléphoner 1 minute de Paris à Marseille ? Combien de Paris à New-York ? Combien cela coute en 2024 de parler 1 ou 2 heures depuis Paris avec Sydney ou Pékin ?
Le RTC c’était peut être mieux que la fibre mais pour moins de personnes et pour beaucoup plus cher.
Hé oui il ne faut pas refuser le progrès meme s’il y a parfois quelques « bugs »!
Je discute régulièrement avec mon petit-fils qui est en Indonésie: on se voit en vidéo avec une qualité d’image et de son surprenante…
On passe par wattsapp et c’est gratuit… juste tenir compte du décalage horaire!
Et le 48V, il était fait comment ? Faut réfléchir, même avant de radoter !
Michel (F1GOC)
Bonsoir
En cas de coupure secteur il était maintenu par des batteries de batteries, comme expliqué plus haut
Bonjour,
C’est très simple. J’avais, gamin à l’époque, l’occasion de voir régulièrement un central Rotary, celui de BELle épine. Le 48 V était fourni par redressement du secteur, avec une batterie 48 V assurant le fonctionnement lors d’une panne en attendant le démarrage et la montée en régime d’un groupe électrogène diesel. Le central lui même était au 1er étage, au dessus du bureau de poste, les batteries et le groupe à la cave. Il était préférable que la panne ne soit pas trop longue, le groupe ne parvenait pas toujours à prendre le relais.
Je vois que Sloup a déjà donné une bonne réponse. Il est optimiste sur l’état d’entretien des batteries et du groupe. Dans les années 50, il fallait faire avec ce que l’administration fournissait.
bb
Bonjour,
Et pour revenir au sujet, mon premier modem a été un LCE 2400 bps. Ce n’était pas encore Internet, mais Calvacom. J’ai aussi utilisé celui du Minitel, (75 montant/1200 descendant, qu’on pouvait retourner en 1200/75) mais les signaux étant au format TTL, il fallait un adaptateur pour passer aux 12 V du RS 232, j’ai retrouvé récemment ce dernier dans mes vieilleries ! Si je retrouve le schéma (c’est pas gagné) , je ferai une fiche.
bb
la raie manta n’était pas gratuite et je me souviens tres bien du coût, et pour profiter de l’adsl il fallait résider à moins de 6 kms d’une « salle de transmissions » ce qui n’était pas trés répandu en rase camapagne. moins de 3 ans plus tard, le FAI offrait un modem wifi avec la clef wifi usb pour 1 nouvel abonnement de minimum 12 mois
J’ai eu celui ci pour ma part en « visible » des 2001 ou 2002. Avant cela, le modem 56k (celui qui faisait un bruit de fax) était une carte PCI dans la tour du PC.
F@st800… C’est moi qu’il a étudié le schéma et le circuit imprimé ( il y a eu plusieurs version en fonction de l’évolution du « chipset » Il y avait aussi le F@st840 prévu pour l’ADSL sur ISDN et les 900, 940 avec prise Ethernet
Ma première liaison télématique j’ l’ai réalisée, début des années 80 avec un gros bazar qui opérait à 1200 bauds, ça n’allait pas bien vite, mais on s’envoyait des fichiers entre TRS80, Apple II et Commodore, tous trois localisés à Paris 17è. Ensuite US Robotics, ça allait déjà beaucoup plus vite, rapidement remplacé par la carte Djins de France Télécom en avant première de l’ADSL. Il doit quelque part me rester quelques uns de ces appareils, dont mon premier ordi, le TRS80 qui avait en son temps été largement upgradé, notamment en terme de mémoire de stockage. L’informatique était passionnante à cette époque pleine de découvertes, aujourd’hui c’est tout le contraire, mais c’est là une autre histoire.
Bien sur si on remonte avant l’ adsl , j’ ai encore des modems " OLITEC " bas débit qui datent des années 1980/90
Et en 77, j’ai transmis des codes à MAI en (EU) en 300 bauds avec un modem à coupler au combiné (par voie vocale) du téléphone ! ! !
Je ne sais plus où, mais je dois avoir encore ce « coupleur » dans mon brol !
Il y a aussi des 1200 bauds (sous forme de prise téléphoniques qui me restent et tout untas de 3com
Ca ne nous rajeunit pas ! ! !
Hello,
mes premiers essais de transmission numériques en « packet radio » vers le début des années 90 permettaient d’accéder à la « BBS » locale F1PKI en utilisant un TNC relié d’une part à l’ordinateur et d’autre part à un transceiver 144mHZ.
l’ensemble fonctionnait sous DOS avec le superbe logiciel « graffic packet »…!
A part " sous DOS " , j’ ai rien compris
Les OM auront compris!
avant d’accéder à internet les radioamateurs utilisaient les systèmes de transmission numériques.
Mon premier essai sur internet date de 95 ou 96 je m’étais connecté via modem au reseau « compuserve » qui commençait à faire de la pub en France.
mais c’était très lent et j’avais abandonné très vite!
quelques mois plus tard j’ai reçu une facture à payer venant des USA … que je n’ai jamais payée!
Bonjour Tryphon_Tournesol
Croire que c’était mieux avant et idéaliser la comparaison de maniére non objective oui (et ce n’est pas radoter).
Les lignes cuivres étaient aériennes à l’époque et fragiles. Quand une région était impacté, même si le poste téléphonique était alimenté par le central, les lignes se trouvaient arrachées.
L’alimentation électrique des centraux téléphoniques avec des batteries tenant entre 8 et 24 heures et secourues par des groupes électrogènes n’étaient pas pour autant d’une fiabilité absolue. Pas de redondance des groupes, réserve de gasoil peu importante, économie sur la maintenance et sous traitance de la maintenance au moins cher à partir des années 1995-2000, avec réduction des équipes internes spécialisées en « énergie ».
Aujourd’hui, les réseaux aériens sont de plus en plus enterrés, les matériels beaucoup plus fiables.
En cas de panne aujourd’hui, le délai de réparation n’est pas vraiment liée à la technique (cuivre ou fibre) et est surtout tributaire de l’absence de personnel dédié et compétent, avec une chaine d’intervenants qui ne traitent chacun qu’un bout de l’incident.
Mon premier modem était un gros boîtier avec des filtres à ferrite. Si mes souvenirs sont bons il marchait à 300 baud.
Ma ligne cuivre est enterrée tandis la ligne fibre est aérienne sur 80 poteaux dans les arbres. Pour le moment j’hésite à me faire raccorder à la fibre, question fiabilité d’autant plus que mon routeur 4G me donne un débit tout à fait satisfaisant.
Je ne sais pas pourquoi ils ont enlaidi la campagne avec des poteaux partout alors que les routeurs 4G sont moins susceptibles aux aléas climatiques.
Simon
A part les coupures de câbles (forcément localisées) il n’y avait aucun problème tels que logiciels, circuits imprimés oxydés, mise à jour imparfate !
Le fait de penser que toute personne disant « c’était mieux avant » est dans l’erreur indique en lui-même le manque de jugement de la pensée . . .
Toute affirmation (vraie ou fausse) mise en exergue pour contredire alors, devient une raison de ne pas être prise pour « sérieuse » ! ! !
D’ailleurs, raccorder un câble ne nécessitait alors pas un diplôme de technicien supérieur et (à l’époque) tout le monde savait (ce n’est plus le cas), quelquesoit son âge, raccorder deux fils électriques . . .
maintenant, combien de jeunes savent la même chose ? alors disons que en fonction des possibilités de l’humain actuel, :
avant, c’értait plus simple ! ! !
C’est sûr ! Le camarade Australopithèque s’emmerdait pas avec des modem’s à la con ! Il avait d’autres problèmes à résoudre !