Y a pas à dire, y a quand même des bon bricoleurs !!!
J’ai vu que vous aviez bobiné une self de choc, ce que je ne comprend pas, c’est pourquoi avoir sortir tout les fils de la self alors que vous auriez pu la bobiner en continu ??
Comment avez vous fabriqué votre roue caoutchoutée ??
Pour répondre à « Technitu » le bobinage en nids d’abeilles avec les fils sortants sur chaque bobine, était destiné à un montage bien spécifique. On peut apercevoir les dimensions des bobines.
Sur l’autre photo la self a bien été réalisée sans coupure, et beaucoup plus petite que l’autre, la feuille de quadrillage 5x5, fait office de référence.
Pour la fabrication de la « roue caoutchoutée » vous pouvez retrouver toutes ces données, en lisant le texte vous avez les liens qui vous dirigent vers les dessins et photos adéquats.
Bjr à tous,
Superbe réalisation hélas pas à la portée de l’amateur que je suis!
Il faut avoir un atelier de mécanique de précision à sa disposition pour réaliser un tel engin…Dommage…!
Cdlt
Domi64
Bonjour et tous mes voeux pour 2013
Je dispose d’ une bobineuse Micafil que je n’ utilise plus, cette machine est prévue pour faire du bobinage à fil rangé, comme le chariot est débrayable, il serait assé facile de lui ajouter un dispositif pour faire du nid d’ abeille.
Cette machine est équipé d’ un moteur conçu à partir d’ une dynamo de voiture et ce n’ est pas pratique, il faudrais mettre un moteur à vitesse variable.
Cette machine est très lourde et il n’ est pas possible de faire un envoi.
Si quelqu’ un s’ intéresse, il faut me contacter directement: gabriel(point)rouiller(arobas)websud.ch
Gaby RFL 1602
Je déterre je deterre, ces fils mais c’est intéressant voici une réalisation FACILE à faire qui a retenu toute mon attention car simple pour l’amateur ne faisant que quelques bobinages par an. youtube.com/watch?v=Lt0uHyzr4C0
En parlant bobineuse, je voudrais réaliser une machine pour bobiner les transfo torique… si la théorie est simple, en pratique, c’est un autre problème…
Mr Di-Stéfano, ex bobineur Magnétic de Toulouse m’avait montré son foctionnement . Il y a le circuit torique qui reste à l’horizontal et maintenu sur trois galets axe vertical. Un « cerceau à gorge » (style jante de vélo) a une machoire qui s’ouvre, permettant celui-ci de se trouver insérer dans le tore. Je fais grace des détails des accessoires qui maintiennent ce cerceau. A partir ce cet instant, il charge le cerceau du fil à mettre autour puis le cycle du bobinage s’effectue par rotation inverse de la jante . Dans ce cycle, le fil s’approche du tore et s’éloigne à une valeur maxi (fonction du diamètre du cerceau) et ainsi de suite. C’est ce détail qui me manque…
Je vais essayer de retrouver des photo que j’avais trouvé sur le web.
Merci d’avance si réponses.
Jacques DUDORET
Bonjour!
Ancien de chez Oréga, j’ai bien connu ce type de machines, quand elles étaient utilisées pour bobiner des déviateurs pour tubes cathodiques.
Le tore était une ferrite monobloc, et une dizaine de machines enroulaient le bobinage trame.
Le bobinage ligne, avec sa forme en selle était obtenu par d’autres méthodes, puis rajouté par dessus le premier.
En bref, je n’ai jamais connu le mouvement de va-et-vient de la canette, sur ces machines.
Elles utilisaient avec succès un système de rattrapage à ressort, destiné à absorber les écarts de tension du fil. (voir dessin ci-joint)
Cela facilitait grandement la réalisation mécanique de la bobineuse.
Par la suite, ces machines ont été ferraillées, puis remplacées par de beaucoup plus rapides qui bobinaient directement des demi tores aux bords rectifiés, et dont les deux moitiés étaient maintenues par clipsage lors de l’assemblage final.
Bonjour,
La photo que vous avez vinent de la revue Elektor… avez-vous le n° de cette revue?
Ci-après la photo de la SMC2 de jovil.com . Ce n’est pas évident de voir en détails le problème du fonctionnement du tendeur de ratrappage …
J’avais vu une fois sur la web le principe d’une machine à coudre où le fil se retendait en faisant remonter le dit fil. Il serait intéressant de trouver une machine d’occasion… mais où?
jacques DUDORET
Le système de tension est très bien représenté sur l’image.
Il faut avoir à l’esprit que le dispositif de régulation (dévidoir) n’est PAS SOLIDAIRE de la canette et se déplace dans une glissière le long de celle-ci en fonction de la traction du fil.
Le fil se dévide par le côté de la canette.
Le centre moyen du tore doit correspondre au passage de l’arc de la canette, et le dispositif de tension ne sert qu’à rattraper les écarts de traction dus à la forme rectangulaire de la section du tore pendant le bobinage.
J’avais été très admiratif lors de mon premier contact avec ces machines, à une époque ou les lampes cohabitaient encore avec les transistors…
Il y a des vidéos sur le site www.jovil.com où on distingue bien le principe de fonctionnement du tendeur … voici le principe utilisé : le galet tendeur se trouve à l’extérieur entre la bobine débitrice et le tore. J’avais récupéré un engrenage externe d’un « volant » moteur (embrayage d’une voiture)…diamètre 29 cm. Il suffit donc de maintenir ce « cerceau » par 3 roue dentée externes disposées à 120° . , de placer un guide-fil sur le champ de ce cerceau (sans jeu donc sur un mini roulement axe 4 mm, 8 mm de diamètre). Le support triple galet caoutchouc ne devrait pas posé de problème.
Jacques DUDORET
Il vous restera encore du boulot pour usiner un segment de la périphérie de l’embrayage afin de ménager l’ouverture d’introduction du tore, ainsi que la fermeture de la couronne.
De mémoire, la circonférence se refermait avec un rappel par ressort dès que le tore était imbriqué dans la canette.
L’opératrice dégageait la canette vide à la main, en fin d’opération, en contraignant manuellement le rabat pour retirer le tore terminé.
Il faut impérativement éviter le moindre jeu dans l’ouverture à bascule de la canette (passage du tore avant chargement initial du fil)
La trappe ne doit comporter aucune aspérité, et la navette latérale (tendeur/distributeur de fil)ne doit pas rencontrer de point dur en tournant.
Le moindre défaut se soldera inévitablement par une attaque de la couche d’émail du fil, dans le meilleur des cas.(souvenirs…)
D’après l’image GIF ci-avant, on distingue que le fil est chargé sur une « jante » et que le système de « vidage » est solidaire de cette jante!!!
Je viens de tester ce sytème et que la jante ne si vide pas : par contre, il faut une seconde couronne qui tournera à une vitesse différente : le dispositif est solidaire de la couronne dentée : on voit sur l’image de jovil.com une jante et une couronne dentée. Le dispositif de vidage se « ballade » au dessus et prélève le fil. J’avais vu sur le web un article montrant manuellement un pneu où était rangé le fil et à la main, le fil s’échappait à mesure que l’on trournait celui-ci à l’intérieur du tore. Pour simplifier le raisonement, c’est le principe de l’extraction d’une chambre à air sur une jante de vélo.
A suivre,
Jacques DUDORET