Philips 521A comme neuf - scellée

C’est comme réparer des postes de radios anciens qui ne captent plus rien : ca ne sert à rien, mais ca m’amuse… ce qui est déjà pas mal :slightly_smiling_face:

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En grandes surfaces de bricolage on peut trouver du plastique à modeler qui fond à faible température : dans un verre d’eau très chaude. Ca se présente comme des carrés de chocolat, en différentes couleurs.

Bonjour,
@Andre-Yves avez-vous la combinaison des barrettes du transfo d’alim pour 240 V de ce poste ?
La doc parle d’un « disque-schéma se trouvant à l’intérieur de la paroi arrière ». Je n’ai pas trouvé cette info sur le grand livre.
Merci d’avance

Bonjour, je n’ai plus le poste mais il me semble qu’il existe une fiche recapitulant led combinaisons pour les postes Philips de l’époque. Je vais chercher.
A-Y

Cet ancien sujet du forum peut aider:

Patrick.

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Super. Merci beaucoup.
Il était sur 225 V mais j’ai pu m’en sortir avec un variac et en surveillant les tensions filaments.
Je viens de le remettre en route pour tester l’am8.

Franchement, je me demande qu’est-ce qui pouvait justifier autant de tensions sur un appareil.

Comme toujours chez PHILIPS, comment faire simple quand on peut faire compliqué !

A +.

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Bonsoir,

Comment souvent des critiques sur les choix techniques de Philips, qui sont incompris de nos jours, 90 ans plus tard.

Les postes Philips étaient vendus dans l’Europe entière, avec des tensions secteur très différentes à cette époque, changeant souvent d’une ville à l’autre ou d’un quartier à l’autre dans le cas de Paris.

Il était donc plus facile de construire des transformateurs standard adaptables à ces multiples tensions plutôt que de produire 10 ou 15 versions du même poste.

D’autres part en utilisant ce système de mise en parallèle de 103 à 155 V ou en série 196 à 253 V des enroulements et une adaptation « fine » de la tension, on garantissait au poste un bon fonctionnement sur la plupart des réseaux électriques de l’époque.

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Ils auraient pu en faire leur slogan commercial… Quand je vois arriver un Philips que je ne connais pas, j’ai toujours peur de ce que je vais découvrir…

Et souvent ça commence par l’intervention délicate de la sortie du châssis sans rien casser (surtout sur les postes années 45/55). J’en ai eu des particulièrement vicieux avec des courroies solidaires de la façades …
Je plains les revendeurs Philips/Radiola, ça devait être bien chronophage les SAV :smiley:

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C’est vrai, ça semble parfois compliqué, on en bave, même lors du premier démontage, mais, finalement, quand on a fini par découvrir les « finesses » indispensables , tout devient beaucoup plus aisé. Personnellement, je crains beaucoup plus, l’exploration des câblages en fil rigide gainé des postes de la marque des années 35/40.

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Pas nécessairement, ils avaient toujours les mêmes modèles à réparer, je l’ai vécu à une autre époque entre 1977 et 1980 avec les magnétophones à casette et radio-cassette Philips que je réparait au quotidien, puis plus tard les magnétoscopes de toutes marques.

On prends beaucoup de temps pour le premier exemplaire d’un modèle, mais ensuite cela prends beaucoup moins de temps pour les suivants.

Le problème dans ton cas c’est que tu as tellement de modèles différents possibles à remettre en état que c’est à chaque fois une découverte.

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C’est tout à fait ça :slight_smile:

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