Voici typiquement le genre de discussion qui pourrait se transformer facilement en un petit article pour le magazine Radiofil.
Quelques belles photos, quelques rappels sur les modes de l’époque, quelques documents techniques et publicitaires, et voilà un petit dossier de 3 pages qui ferait le bonheur des lecteurs.
Qui se lancerait dans l’aventure ?
Je suis persuadé que le rédac’chef ou un membre de son équipe verrait ça d’un bon oeil, car le stock d’articles à paraître a atteint un niveau inquiétant.
S’il y en a qui n’osent pas se lancer seuls, il y aura surement quelqu’un pour conseiller ou aider à rédiger.
Et pourtant si TSF a signifié, au début, Télégraphie sans fil, cela a aussi voulu dire Téléphonie sans fil. On peut synthétiser par Télécommunication sans fil : c’est toujours TSF. TSF à transistors ne serait pas choquant. Moins en tout cas que les appellations vues sur des sites de vente aux enchères, pour lesquelles si c’est portable, c’est un transistor. Et on nous propose donc un transistors à lampes. Toujours dans les approximations, il y a des transistors qui ne fonctionnent pas à l’électricité, mais à piles !
Bonjour les amis
Quel plaisir quand le forum est en effervescence constructive !
Merci Jean-Michel pour cette intervention pertinente. La Rédaction du magazine confirme son intérêt, alors amis adhérents si vous voulez attaquer le sujet, vous serez la bienvenus.
Par leur aspect, le Radio Rêve et le Delaitre présentés un peu plus haut, peuvent entrer dans le catégorie des « transistors à lampes » car en fait ce sont des récepteurs à lampes qui ont un aspect de « transistor ». Dans ce domaine assez trompeur, il y eu aussi certains postes à transistors qui ont carrément récupéré la caisse et toute la déco d’un ancien modèle à lampes comme mon Technifrance TR83 de 1961:
qui a été adapté dans la caisse du C54 à lampes datant tout de même de 1955:
(photo issue du Grand Livre)
Ces deux postes étant d’aspect identique, la réversibilité d’un récepteur « transistor à lampes » ou « lampe à transistors » prend ici toute son importance. En ce qui concerne leur alimentation et en tenant compte de ce qui a été dit un peu plus haut, le modèle à lampes C54 devient très intéressant car c’est un poste qui peut fonctionner à piles ou à l’électricité (quand il est sur secteur) .
Ces cadrans ronds placés à droite, à gauche et peut être au milieu, faisaient effectivement « simplistes » surtout pour les récepteurs à lampes mais je trouve que c’est vraiment l’absence de l éclairage du cadran qui a fait perdre le charme de ces récepteurs à lampes.
Je suppose que pour le constructeur c’était intéressant en terme de prix de revient. Moins de complexité mécanique, moins de pièces, moins de temps de montage.
tout a fait c’etait le but
le pas cher du tout un CV a commande directe
un peu plus cher un CV a démultiplication concentrique l’aiguille sur l’axe du CV et le bouton sur l’axe du démultiplicateur
a près a droite ou a gauche cela reste un mystere pour moi, pourquoi et comment ce choix ??