bjr,
Depuis quelques années des problèmes de vision ne me permettent plus de lire aisément une revue papier ou un livre!
Par contre si le document est au format PDF ou epub je peux le lire aisément sur l’écran de mon PC ou de ma tablette…
c’est une des raisons pourquoi je n’ai pas renouvelé l’abonnement.
Je pense que je ne suis pas le seul dans ce cas aussi si je peux me permettre une suggestion:
Serait il possible de proposer la revue « Radiofil » dans un de ces deux formats?
Cela réduirais aussi le travail et le prix de l’abonnement
j’espère que ma proposition aura un écho aupres des rédacteurs…
(cette idée m’est venue en voyant le DVD des archives de Radiofil au format PDF :mrgreen: )
cdt
domi
L’avantage de la revue papier tient dans le fait que si le PC subit un « crash » on perd tout, peu pratique à lire et fatiguant, tandis qu’avec du papier… ça se conserve (bien en reliure), ça peut suivre dans l’atelier, le salon ou en vacance sur la plage.
un « crash qui perd tout » c’est pour les débutants en informatique!
pour ma part les documents sont copiés sur plusieurs disques en parallèle…et je ne parle pas du gain de place!
Quand à dire que c’est plus fatiguant …parlez en à tous ceux qui comme moi souffrent de glaucome : il n’y a que le pc ou la tablette qui permet de lire sans fatigue!
Enfin pour le coté pratique, pour nous, la tablette est le support « nomade » par excellence!
cdt
domi
Bonjour
Rien n’empêche de re-débattre à moins que le règlement de l’association prevoit une clause de non recevoir permanente.
De plus cette question a été débattue sur une question posée en séance sans que l’ensemble des adhérents en ait connaissance.
Les absents auraient ils toujours tort?
@±±
Bonjour,
J’ai été le secrétaire de Radiofil de 2013 à 2018, j’ai continué à gérer les notices mesures ainsi que les anciens numéros de Radiofil magazine jusqu’à l’AG de 2019.
A l’AG de Pleumeur Bodou (2015, je crois), une demande a été formulée à l’administration par un adhérent présent à cette AG et pour un adhérent non présent mal voyant afin qu’il puisse recevoir le magazine en PDF pouvant être exploité par une application Braille. Cela a été accepté en séance.
Depuis cette AG et jusqu’à mon départ de l’administration de Radiofil, j’ai adressé à cet adhérent et tous les 2 mois, le magazine en PDF. Bien entendu il était abonné au magazine papier.
Bien sincèrement
J’avais envisagé ce type de distribution vers les adhérents, voir le fichier joint, mais hélas cette proposition n’a pas été retenue à cause du manque à gagner sur la vente des anciens numéros !
Cette question a déjà été posée, mais refusée pour une raison toute simple.
Non pas que je traite les adhérents de malhonnêtes, mais la diffusion numérique de la revue, même restreinte se retrouvera toujours diffusée (de manière amicale) à Pierre, Paul ou Jacques. Alors pourquoi adhérer à Radiofil si le PDF du dernier magasine est susceptible de se trouver « sous le manteau »???
Je prend l’exemple véridique du site « Radiomuseum » où certains identifiants appartenant à un seul utilisateur se retrouve transmis à x personnes, au détriment de ce site, où les droits d’accès sont payants.
Aujourd’hui ce qui fait que Votre association à pignon sur rue, ce sont les membres, sans eux, plus d’association, il faut bien se mettre cela en tête.
Certes, il ne serait « peut être » pas diffusé à 1000 personnes, mais se retrouvant dans les mains régulièrement de personnes qui ne feront pas parti de l’association, l’impact sera sérieux pour Radiofil. Impact « moral » et je ne parle pas d’impact « Financier ». Il faut arrêter de faire l’amalgame « »« adhésion=pognon »"".
A l’heure actuelle, nous sommes environ 2200 adhérents, mais régulièrement beaucoup (trop) n’y sont plus adhérents, car rappelés par le Saint patron. Combien seront nous dans 10 ans, si la jeune génération ne s’invite pas parmi nous??
En revanche, même si je suis fermement opposé à la diffusion en numérique, les nouvelles technologies informatiques « pourraient » peut-être palier au problème de « copies à tout va ».
Vous aurez surement remarqué sur votre application bancaire sur votre smartphone, que l’on ne peut faire de copie d’écran! Il pourrait exister une interface sur la quelle via une connexion avec droits relatifs à une adhésion valide ou non, ouvre le droit à consulter le document sans limitation, si cela existait, là, on pourrait diffuser le magasine sous forme dématérialisée.
Pour répondre à Radioman, je comprend parfaitement votre problème et suis navré que les possibilités actuelles ne puissent vous satisfaire pleinement.
Jean-Pierre, quand tu dis que « quelques amis ont pu en bénéficier »…j’espère que c’était seulement des articles anciens et non des revues entières, donc, si cette façon de faire se généralise, un jour il n’y aura PLUS de Radiofil. J’espère que tu en as conscience?!?
Pierre-Alexandre Nancé, Président Radiofil
bjr,
on est en pleine rêverie là:
il n’ y a pas des millions de personnes interessées par cette revue!
perso je suis abonné à « Elektor » en pdf et tous les mois je reçois mon lien sécurisé pour le télécharger :mrgreen:
Le fait même de transmettre la revue à quelques amis ne peux que contribuer à la faire connaitre, et si ils sont interessés ils rejoindrons l’association à leur tour…
Mais ici, on a l’impression que « la messe est dite » avant d’avoir commencé…!
Dommage…
cdt
domi
Non ce n’est pas de la rêverie. La question en avait déjà été débattue en AG. La majorité des personnes présentes se sont prononcées en défaveur de la parution numérique de la revue. Je vous ai évoqué les raisons.
Point du tout, je vous ai énoncé mon point de vue et celui de la majorité des Radiofilistes.
Pour vous, la messe est dite parce que cela ne va pas dans votre sens, je ne suis pas contre une certaine évolution, mais il faut qu’elle soit pérenne, ce qui ne serait pas le cas.
Pour faire connaitre l’association,nous distribuons des revues, ce qui prouve que nous ne sommes fermé à tout. Il faut savoir donner et c’est ce que nous faisons.
Je pense que le bureau de Radiofil se trompe sur toute la ligne et à vouloir rester entre nous, il n’y aura plus personne dans 10 ans car les « jeunes » ne s’intéressent aux « choses » anciennes que par internet qui est leur seule porte d’entrée, je suis enseignant et je sais de quoi je parle.
Je ne vois pas pourquoi les malvoyants ne pourraient pas avoir une version numérique de notre revue, c’est limite discriminant et à la limite de la légalité. C’est mettre de coté des personnes d’un certain age qui ont peut être contribué à sauvegarder du beau matériel et contribué à la revue il y a longtemps, il ne faut pas oublié d’où l’on viens ici.
Il ne faut pas voir le mal partout, ce n’est pas parce qu’un fichier pdf est envoyé à quelqu’un que celui-ci va le faire tourner comme si c’était le dernier film de Besson, on en est loin.
Je signale à notre cher nouveau président que beaucoup de revues connues et qui vendent à beaucoup d’exemplaires ont une version numérique pdf. Je prend mon exemple, je suis abonné à Science et Avenir, j’ai reçu un code d’identification, j’ai téléchargé l’appli et j’ai dans celle-ci la version pdf que je ne peut pas récupérer pour donner à un copain et puis le piratage de revues est assez marginale en France.
On se passe bien les versions papier entre nous…
Vouloir refuser une diffusion numérique sous prétexte que ça va faire baisser les ventes d’anciens numéro me fait doucement rigoler et m’indique que certaines personnes ont une méconnaissance d’internet et de ses outils.
Je m’explique : iI existe depuis longtemps des dispositifs qui permettent de diffuser sur un site un fichier pdf consultable à volonté sur le site internet, en l’ouvrant, il se charge dans le cache du PC et une fois que l’on ferme la page ou que l’on sort de la page, le fichier pdf s’efface du PC, une des fonction empêche le téléchargement, c’est très simple à mettre en oeuvre et beaucoup de sites l’utilisent.
Une autre méthode, c’est de faire une page en Flash (plus gourmande que la version du dessus), on tourne les page sur l’écran comme une vrai revue mais ça exclu les tablettes.
Une dernière chose, si on est à Radiofil, ce n’est pas que pour la revue (qui est très bien) mais c’est surtout pour faire connaitre et rendre pérenne des connaissances et des passions. Si le nombre d’adhérents baisse c’est qu’il y a un truc qui ne va pas, le renouvellement ne se fait plus, les anciens disparaissent ou ne peuvent plus lire la revue mais les jeunes ne viennent pas non plus et pour cause (le papier ne les attire pas).
Nos vieilleries ne les intéressent pas en tant qu’objet historique mais comme objet de déco avec une fâcheuse manie de retirer les belles loupiotes et de mettre à la place un module bluetooth avec un ampli en classe D merde in china qui finira à la poubelle (le poste) quand il ne plaira plus.
Il faut sensibiliser les jeunes à la sauvegarde de cette vieille technologie, vestige d’une industrie radio électrique florissante et ce n’est pas avec nos méthodes de 1980 et notre site de l’an 2000 qui vont les attirer.
Mes propos ont peut être choqués certains, je m’en excuse mais comme disait notre regretté Chirac, la maison brûle et nous regardons ailleurs (cette phrase s’applique à plein de situations).
Amitiés à tous
Bruno Piffret, adhérent à l’AEA puis à Radiofil depuis le début.
Bruno a bien présenté les possibilités d’édition numérique d’une revue. D’ailleurs, de nombreux ouvrages dont les romans sont publiés sous cette forme depuis des années et ne sont pas dupliqués. J’ai eu l’occasion d’utiliser une liseuse et un livre se lit très bien. Ceci dit, je ne lirai pas Radiofil magazine avec ce matériel mais en Pdf ou e-pub sur un PC, c’est autre chose.
En ce qui concerne la duplication, il y a autant de risques avec une revue papier. Certaines imprimantes sont équipées pour sortir directement un PDF sur une clé USB. La seule chose, il faut transformer la revue en feuille à feuille puis mettre dans le chargeur. L’inconvénient, c’est que l’on ne peut plus réassembler la revue dans son état initial. Si on souhaite la garde, on archive un paquet de feuilles.
Aussi, Pierre Alexandre, cela vaudrait le coup que le bureau de Radiofil se penche de nouveau sur cette demande. Cela ne coûte rien de faire une étude et de mesurer son impact par l’adoption de ce format. Après, c’est aux adhérents de trancher.
Bonjour à tous, actuellement en « baptême » je ne peux répondre de manière claire et détaillée.
Ce que j’avais évoqué, voir si dessous est valable et reste à étudier.
« Il pourrait exister une interface sur la quelle via une connexion avec droits relatifs à une adhésion valide ou non, ouvre le droit à consulter le document sans limitation, si cela existait, là, on pourrait diffuser le magasine sous forme dématérialisée. »
Il existe beaucoup de revues diffusées selon les 2 possibilités, papier et numérique, le système est sécurisé. Pour ma part abonné à des revues de modélisme ferroviaire qui proposent les 2 formats, j’ai préféré le papier bien que le prix de l’abonnement soit plus élevé.
Je pense que notre revue préféré devra évoluer vers du numérique protégé.
Ce n’est que mon avis, il serait simple de faire un sondage sur le forum afin de recueillir les avis.
En effet, votre cas rapporté ici me va tout à fait!
Pour ceux qui n’ont pas bien compris ma pensée:
*Diffusion en pdf « simple » = Non
*Diffusion en pdf "sécurisé = Oui
Au début de ce fil de discussion, je ne savais pas, mais me doutais qu’il devait exister une plateforme permettant d’envoyer la revue de manière sécurisée, maintenant je suis au courant.
« Swlradiostation » maintenant, nous avons des billes, cela va être ajouté au sujet de notre prochaine réunion via Skype. Nous prospecterons afin d’identifier un fournisseur, nous mettrons en place un sondage, soit via la revue et/ou par le forum. A savoir que tous les adhérents ne viennent pas sur la toile, donc afin de ne pas léser ceux qui ne sont pas internautes de pouvoir aussi donner leur avis.
Chez Radiofil, nous ne sommes pas « obscurantistes », mais prenons le soin de conserver Votre association en ne faisant pas n’importe quoi de manière irréfléchie.
Alors là, ce n’est pas du tout mon point de vue! La vente des AN que j’ai d’ailleurs en charge, ne représente qu’une minuscule partie des recettes, voir dérisoire.
Sur une période d’un mois, je reçois à peu près 3 mails de familles d’un de nos membre qui vient de disparaitre. Tous ne font pas cette démarche, donc certains dont on croit qu’ils ne veulent pas se réabonner, sont en fait malheureusement décédés. Une partie des non-réa, vient du fait qu’ils trouvent la revue pas adaptée à leurs attentes, nous travaillons sur ce sujet.
Je ne pense pas que le papier ne leur plaise pas! Combien comme moi ont apportés leur revue dans leur atelier, dans le salon, au lit, sur la plage et même aux latrines!!! Vous me direz la tablette va aussi dans tous ces lieux, mais on ne peux écrire dessus, prendre des notes etc…
Le sujet de potentiels adhérents… Cela est une tâche des plus ardue qui ne se posait pas il y a 20 ans!
Etant jeune et ayant beaucoup de connaissances autour de moi du même cru, je suis dépité de voir la réaction qu’ils ont à notre égard de notre passion. Le meilleur exemple, doit venir de vous tous! Vous devez être parents et grand parents, quel regard ont vos descendants sur votre passion???
Le vintage fonctionne très bien, mais aujourd’hui peu de personnes voudraient collectionner comme nous le faisons aujourd’hui, c’est à dire, avoir une collection d’une centaine de pièces (ou plus!). Ce que veut le simple intéressé, c’est avoir un chouette « truc » qui s’appelait TSF en déco ou bricolé en enceinte connecté (je ne m’étends pas sur ce sujet car on pourrait en parler des heures).
Donc il faut bien se rendre compte qu’il y a un gros malaise dans une société ou les gens (pas tous fort heureusement) ne regardent plus sur le passé et prédestinent nos chères boites à ampoules à la déchetterie. J’ai reçu cette semaine un mail venant du fils d’un adhérent décédé, dont l’ultimatum était la déchetterie pour une 100 aine de pièces très courantes. Je l’ai envoyé vers un adhérent proche, qui va pouvoir sauver les protégés d’un amoureux de la radio, mais pour combien d’années?? Cet exemple va se répéter encore.
Il y a peu je me suis séparé d’une grosse partie de postes que j’ai acheté le « nez au vent » il y a presque 20 ans, 80% d’années 50, dans un état moyen.A l’époque je pensais avoir fait une affaire!
Le prix que j’en voulais rapporté à l’unité était de 3e, oui trois. Quatre personnes se sont présentées. Le premier pour un projet de photos (que vont-elles devenir ensuite…) Le deuxième, un jeune de mon age m’en a pris environ 150, ne semble pas connaitre les rudiments du dépannage, je lui ai expliqué ce que nous faisions ici, la concentration de savoir des adhérents etc, sans lui mettre un bulletin d’inscription sous les yeux avec le couteau sous la gorge bien sûr, aucune envie! Le troisième aussi de mon age, a commencé comme moi par une tsf de son grand-père, semble être autodidacte et ne souhaite faire partie d’aucun club. Et le dernier, pour faire de ces TSF des enceintes bluetooth.
Donc, il y a quand même un gros malaise à venir. Il faut savoir aussi anticiper les nouvelles technologies qui peuvent nous être utiles dans le dépannage, mais l’intérêt pour le poste à « lampes » diminue graduellement. Pour palier à cela, nous avons intégrés le poste à transistor de puis longtemps, la côte de ces derniers auprès des amateurs de déco est grandissante, mais aucun intérêt pour ce qu’il se passe à l’intérieur!
Voila ce que je peux vous dire au sujet de la vision que j’ai sur ce vaste sujet.
Pour revenir à la revue en PDF, je vous tiendrais informé de la suite à donner.
Pierre-Alexandre
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