Bonjour,
En cherchant des informations sur une méthode permettant de tester les tubes cathodiques, je suis tombé sur cet article
De ce que j’en comprends (et je n’y connais pas grand chose), il suffit de :
- Alimenter le filament avec une tension de l’ordre de 3 à 6v (limitée à 1 ampère), attendre sa chauffe
- Mesurer ‹ la résistance › sur chaque couleur avec un ohmmètre - une lecture de l’ordre de 700ohms indiquerait que le canon est bon.
==> Que pensez-vous de la méthode ?
- Alimenter en alternatif serait-il obligatoire ?
- Utiliser un ohm mètre à aiguille serait-il obligatoire ?
Je pose cette question car j’ai un moniteur couleur qui fonctionne correctement mais l’une des 3 couleurs (le vert) est manquante et je ne sais pas trop où chercher ; je souhaiterais, dans un premier temps, éliminer l’hypothèse « 1 canon défectueux ».
NB : Je suis absolument certain que les 3 couleurs sont bien présentes en entrée du moniteur.
Bonjour
Essaie de remplacer le signal arrivant sur le canon correspondant au vert par le signal arrivant sur un autre canon (en bidouillant les connexions si c’est possible)
+1 pour la méthode de kiki37.
A essayer même/surtout sur un TV qui marche ça aide a comprendre plein de trucs ou au minimum
a se poser les bonnes questions
Ok - Bonne idée/approche, tellement évidente que je n’y avais pas pensé !
==> Je teste (demain ?) et je vous dis.
Ceci dit, sur le fond, que pensez-vous de la méthode proposée dans le lien ci-dessus ? Eventuellement, en la ‹ modernisant › avec une alim de labo réglée sur une tension précise et une limitation de courant tout aussi précise ?
[NB : C’est un moniteur que je n’ai pas touché depuis que ‹ la panne › s’est déclarée, en mai 2020 …]
Et bien, aussi étonnant que ca puisse paraître, la panne de ce moniteur a disparu.
Les seules interventions effectuées sur la partie moniteur de cet appareil (Alimentation + HT, contrôle vidéo [carte ampli RVB avec un TDA3505], carte culot) se sont limitées à la dépose de tous ces PCBs, contrôle visuel attentif (rien trouvé de suspect) et remontage. Je conclus donc à un mauvais contact dans un des connecteurs, j’ai laissé l’appareil fonctionner 15/20 minutes sans rien constater de particulier.
A noter que le ‹ PCB culot › était sécurisé par un collier rislan pris dans le dérivateur et un point de colle chaude. Était-ce une pratique courante dans les années 85 ?
A noter qu’au passage, l’interrupteur M/A a rendu l’âme. Je ne pourrai malheureusement le remplacer car les boutons plastiques des potentiomètres de réglage, en façade, sont très solidement fixés (sans vis) aux axes des potentiomètres. Insister plus risquerait de marquer la façade ou de les endommager et il est nécessaire de la déposer pour ôter/remplacer cet interrupteur.
Ceci dit, mes questions théoriques de départ sont toujours ouvertes, tous les tubes n’étant pas couleur …
quel "dérivateur " ? Ne serait-ce pas plutôt "déviateur " ?