Soudage sur circuit à pastilles

Technique
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Bonjour à tous,
Je m’apprête à reconstituer un circuit imprimé en utilisant une plaque dotée de pastilles carrées et je me pose la question du côté le plus judicieux pour l’implantation physique des composants afin de faciliter ensuite la reconstitution des pistes à l’aide de monobrin.
Meci à l’avance pour vos précieux conseils.
Cordialement
Michel

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Bonjour, normalement on place les composants du côté où il n’y a pas de cuivre, ça permet d’avoir de la place en dessous pour réaliser des pistes en créant des ponts par points de soudure entre les pastilles carrées.
Mais rien n’empêche de mettre les composants côté cuivre, c’est plus facile car il n’y a pas à retourner sans cesse la plaque pour bien mémoriser où se trouve chaque composant lors du travail de câblage.
L’une et l’autre des méthodes a ses avantages et ses inconvénients; en fait c’est à vous de décider en fonction de la complexité de votre montage.

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Merci beaucoup pour cette réponse rapide !Je vais choisir le côté non pastillé comme je dois implanter un petit transfo moulé,les soudures seront plus aisées.
Cordialement
Michel

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Attention, les pastilles tiennent à peine à la chaleur, il faut utiliser un fer de faible puissance pour les soudures…

Vous pouvez utiliser les fils des composants pour faire les « pistes » du circuit, pas besoin de les couper à raz du circuit.

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Il faut peut-être aussi préciser que ce genre de montage n’est pas recommandé pour tous les usages.

OK pour de la BF, de la logique, des alims (avec des « pistes » dimensionnées en fonction de l’ampérage à véhiculer)…

Par contre pour des applications HF, ça peut poser des problèmes - les circuits imprimés sont calculés (implantation des composants, blindage, plages de masse réalisées avec le cuivre du CI, etc.). Une plaquette à pastilles ne permet pas facilement tout ça…

Quelle application envisagez-vous de monter ainsi ?

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Bonjour et merci à chacun pour les conseils !
Il s’agit d’un circuit correcteur BF,relevant les secteurs grave et aigu pour assurer la linéarité de restitution d’enceintes large bande particulières fabriquées par un dénommé Mas où l’ébenisterie participe à l’émission des harmoniques par une rosace faisant office d’opercule.
Cordialement
Michel

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