Bonjour,
caporal : cabot, pas capot
à moins que j’ai eu une déformation locale
Michel…
Bonjour,
caporal : cabot, pas capot
à moins que j’ai eu une déformation locale
Michel…
Et aussi :
« Mettre le carnet de tir à jour »
Au retour d’une manoeuvre
Bonjour,
Ce petit livre dont les bénéfices de la vente sont destinés à la cellule d’aide aux blessés de l’armée de terre, est plein de ces expressions et des « us et coutumes » militaires !
DG
Les 2 se disent.
A +.
MDL, c’était pour les interpeller, en argot on disait « margi »
L’arbre en boule :
DG
Nous, notre « pitaine », à l’infirmerie, entre nous, on l’appelait « l’ancien ». C’était assez affectueux. Il était davantage médecin que capitaine.
N’empêche qu’il a fini médecin général.
Un jour, en manoeuvres à Münsingen (aussi appellée « la petite Sibérie »), il m’avait félicité pour avoir excellemment manoeuvré mon char AMX 13 VTT (véhicule transport de troupe sanitaire sur une base de char AMX 13), et il m’avait dit que le général présent lors de la manoeuvre, avait été impressionné.
Maintenant que je repense à ça, évidement je me dis que c’était dérisoire, mais à l’époque ça m’avait fait plaisir.
a Dakota,
Je vois qu’a quelques années près nous avons pratiqué les même lieus
1er cuir basé à Neustadt palatinat.
La petite Sibérie que j’ai bien connu avec mon Half track.
une nuit bloqué par la neige par moins 20 ou moins je ne me rappel plu.
J’ai fait Munsingen, enfin Trois ou quatre jours, en mars 1969 juste avant la quille, et j’ai connu les VTT, qu’elle saloperie!!!Au 29 GCP ( chasseurs portes) on ne rigolait pas a Vllingen …
Mais il y a un fil dedie!
Moi c’était Kaiserslautern (1967/68/69), 5 ème cuir avec des AMX13. J’étais conducteur de jeep et à -25°C, ce ne sont plus les pieds mais les rangers qui appuient sur les pédales .
Nous avons été quelques uns a crapahuter dans ce secteur comme bidasses , du casernement à Karlsruhe on nous propulsait à Mûnsingen pour canarder une baudruche tirer par un petit zing à environ 500 mètres d’altitude , un jour le pilote à eu la trouille un obus est passé devant l’hélice, tirer d’un 40 Beaufort , superbe lance patate antiaérien de notre armée au cours d’un exercice …oui mas c’était en 1952 …
@ Sicoire
moi en 48 je vois que tu me suis d’assez près.
Je crois que tous ceux qui étaient aux FFA ont du passer quelques jours au centre de villégiature de Münsingen.
Moi c’était en 1968, alors que j’étais au 2e Cuirassiers à Reutlingen.
Paradoxalement, j’en garde un excellent souvenir. Ces manoeuvres avaient duré 3 jours, et ça avait été pour moi, la seule occasion de piloter mon char AMX13 VTT de tout mon séjour aux FFA…
Mon stage de pilotage au CIABC (Centre d’Instruction de l’Arme Blindée et Cavalerie) de Carpiagne, entre Marseille et Cassis (à deux pas de la maison) avait duré je crois 1 mois et demie ou deux mois, de février à mars 1968, pour ensuite piloter un char pendant 3 jours !!! Donc, pour moi, qui passait mon service au secrétariat de l’infirmerie, ça avait été une belle récréation.
@ON5WF scène finale de « la Grande Vadrouille ».
Son SIGYCOP ???
DG
J’imagine que tu attendais avec impatience les sorties pour jouir ensuite de l’entretien du char?
Ce que j’appréciais particulièrement, c’est que je n’étais pas chargé de l’entretien du char. C’était le boulot de l’atelier de mécanique. Personnellement, je n’ai jamais touché à une clé à molette. J’étais aussi responsable d’une Peugeot 404 ambulance, et n’étais pas non plus chargé de l’entretien.
Ben non, moi les « centres de villégiature » ont été Mailly-le-Camp où j’étais opérateur radio (semblables à celles-ci) sur une jeep (assis sur le confortable siège arrière) et Baumholder
Tu étais en quelque sorte le « fayot » de service!!!
J’ai tiré avec ça en 1981!
Et à la mitrailleuse 12,7
On aime bien les anciens matériels en France, pas vrai?
@+