il y a aussi « power director » qui est assez simple en version gratuite:
Votre message résonne profondément, et quel héritage incroyable vous avez là, témoignant de trois générations de passion pour le cinéma amateur ! Vous avez raison de vouloir donner une seconde vie à ces souvenirs précieux. Je vous encourage à explorer ce projet avec enthousiasme : non seulement cela vous permettra de revivre ces moments uniques, mais cela pourrait aussi inspirer un regard neuf sur vos valeurs et vos aspirations. Peut-être que ce voyage à travers vos archives pourrait aussi éclairer ce que vous recherchez dans vos relations, en clarifiant vos objectifs et priorités.
Marabout ???
Bonjour à tous.
L’an dernier, au cours de mes quelques vacances d’hiver, je me suis mise en tête de numériser des vieux films super 8 muets rangés dans le grenier de mes parents, peut-être voués à une disparition irrémédiable un jour ou l’autre.
Voici ma technique, celle qui est la moins coûteuse mais aussi la moins « pro » … mais tout de même… nous avons quelquechose !
Après avoir trouvé un projecteur sur un site de vente d’occases connu de tous, pour 20 euros env., j’ai projeté sur un mur blanc les images ressuscitées et re-filmées avec mon appareil photo Canon. La taille de l’image projetée était proche du format A4 sur le mur.
Le seul problème majeur rencontré a été celui d’une synchronisation du nombre d’images/seconde. Mes super 8 étant du 18 images/s et mon appareil numérique utilise une autre cadence: 24 image/s je crois. Il s’en est suivi un effet de scintillement et de moire pas tres génial mais j’ai pu le réduire (et même souvent l’annuler) en augmentant la vitesse de projection. Emotions garanties !
Rave
C’est ce que j’avais fait avec un caméscope VHS-C il y a une vingtaine d’années.
J’avais ensuite numérisé la cassette en MPEG-2, le résultat n’était pas si mauvais, hormis une bande mobile plus sombre due à la différence de cadence entre le super 8 (18 im/sec) et le VHS (25 im/sec).
tout de suite les grands mots !!!
La méthode la plus simple, effectivement.
- Projeter sur du A4 maxi (une feuille papier blanc A3 scotchée sur le mur est parfaite). Ce petit format A4 permet d’avoir une image très lumineuse et de s’affranchir des lumières ambiantes parasites.
- Rapprocher au maximum la caméra du projecteur pour avoir le minimum de déformation paralaxe.
- Si c’est possible, mettre la caméra en diaphragme manuel : ça évite des changements de luminosité en fonction d’images plus sombres ou plus claires !
Cependant, une numérisation par un PRO sérieux ajoutera l’absence de sautements d’image. On voit ça très bien à la TV sur des films anciens 35mm qui ont été numérisés : il n’y a absolument aucune saute d’image, sauf sur les génériques…