Apparemment, il y a eu un bug!
@damsb2
si on cherche un peu : rien a voir avec une lampe d’eclairage
et cette partie la ressemble plus a un raccord pneumatique de type auto obturant qu’a une douille de lampe électrique
étonnant!
au moins c’est amusant!
Bonjour,
oui, effectivement, c’est un bricolage, avec une bouteille de vin « an 2000 » et un raccord (d’air, ou autre ?) probablement retouché au tour (pour s’adapter au goulot )
l’autre photo est celle d’une « bobine de tesla » en fonctionnement, dans le noir , avec la bouteille au dessus !
(appareil produisant de très hautes tension a haute fréquence, en gros basé sur le principe d’un émmetteur a étincelles associé a un transfo HF a rapport fortement élévateur, dont le secondaire aboutit a une capacité toroïdale …qu’on devine sur la photo …En dessous de la bouteille ! )
le gaz interne est simplement de l’air …
Bonjour,
Je suis certainement à la mauvaise place, car vraisemblablement pas de l’éclairage, mais savez vous de quoi il s’agit ? Je ne dispose que de cette photo, rien d’autre.
Merci
Je me rappelle d’un modèle similaire à la fin des années 50. Ce type d’ampoules servait à chauffer un lit. Cela s’appelait « un Moine ». Un cadre en bois au milieu duquel des ampoules en chauffant rendait meilleure température. Cela fonctionnait en 115 V alternatif ou continu. Comme on disait déjà à cette époque « une antiquité » !
Bonjour
Des ampoules avec un seul fil ?
Je penserai plutôt à des tubes de radiothérapie
Des suppositoires réutilisables?
oui, je me suis posé la question, mais jamais vu de semblables. Ou des électrodes haute fréquence.
ou cautérisation hémoroïdale
Merci pour vos réponses, quelqu’un vient de m’indiquer : « elles proviennent de la société C.E.M. ou l’entreprise suisse Brown Boveri, ce sont des électrodes de tungstène qui étaient placées dans des redresseurs à mercure »
oui a la Cie ElectroMécanique on a été bouffé par Brown Boveri.
( ancien de la C.E.M. (3 ans)
peut être a cause des suppositoires
Bonjour à tous,
J’ai récement trouvé en brocante d’anciennes lampes d’éclairage (une vingtaine) rangées dans un cartion en mauvais état mais dont l’embalage soigné les a bien protégées. Elles n’ont visiblement jamais servi: aucune trace de noir déposée sur le verre qui est limpide et clair.
Elles ont une pointe au sommet avec une forme de poire.
Il y en a une avec un filament carbonne en forme de U avec une petite étiquette ovale en papier marquée 10-70 (10 Bougies 70V?) et les 18 autres avec un filament carbone à deux boucles marquées 16-60.
Il n’y a aucune inscription sur le verre mais les culots ont gravé le marquage Cie GLE- PARIS
Je les ai toutes testées sous 48V et elles fonctionnent parfaitement.
Il y en a une vingtième avec le filament coupé: j’ai bêtement branché sous 110V sans me fier à la petite étiquette collée sur chaque lampe…
J’ai par ailleurs deux lampes de forme oblongue, sans pointe au sommet, ayant servi (légèrement noircies) Elles fonctionnent en 110 V (testé). Une a un filament carbone à deux boucles et n’a aucun marquage, ni sur le verre ni sur le culot, l’autre un filamnent avec 7 bruns verticaux avec un sigle en « demi soleil » et la marque NADOX sur le verre + un marquage à l’encre sur le culot 60W 115.
Je vous remercie par avance si vous pouver me donner votre avis sur ces trouvailles qui, selon mes premières investigations, pourraient dater de 1900.
Bonne journée.
Le même dans mon enfance.
On appelait ça un « monte et baisse »
Bonjour,
oui, la plupart de ces lampes sont de 1895-1905, excepté les dernières sans point, à bulbe ST64, qui sont plutôt de 1910-19120 …
sloup
Bonjour,
Merci pour cette réponse de confirmation quant aux dates de ces lampes.
La marque « NADOX » est elle connue?
Je suis par ailleurs surpris des tensions de 60V ou 70v de ces lampes.
Ce type de réseau électrique était il habituel en 1900 ou peut être étaient elles utilisées sur des réseaux privés de batteries…?
Bonjour,
dans la région niçoise, ça se dit « mounta cala »
en appuyant sur chaque première syllabe
Michel…
Bonjour,
pour la tension , inusuelle, de 60 à 70V, 2 hypothèses :
-Ce sont peut être des lampes pour manèges forains , on trouvais couramment (et on trouve peut être encore)une tension de cet ordre là sur des manèges forains , tels que « autos tamponnantes », et avec un gros débit , entre la « piste » sur laquelle elles circulent et le filet au plafond avec prise de contact par perche et « archet » (mais je ne pense pas que ce type d’attraction existais à l’époque ?)
On trouvais aussi cette tension sur des "métiers tournants " du genre du manège rond, avec des chevaux de bois (plus vraisemblable a cette époque !)
ou
-ce sont peut être des lampes pour anciennes installations d’éclairage, soit éclairage « normal » (genre ferme isolé, ou habitation dans une petite ville sans électricité) soit éclairage" de secours" en complémnt d’un éclairage normal (grandes installations dans un batiment recevant du public )fonctionnant a courant continu , autonome, a batterie centrale (qu’il fallais recharger avec un chargeur, ou en les emportant a une compagnie d’électricité pouvant en faire la recharge …) , ou installation a batteries rechargées par une dynamo (type « micro centrale » privée , a débit très variable , ou a fonctionnement intermittent, la batterie faisant « tampon » )
Au juste ?
avez vous une idée de ce que fesais leur détenteur initial ?
êtes vous vendeur de quelques une de ces lampes ?
(je collectionne, aussi, les lampes d’éclairage ancienne !)
sloup
Bonjour
Lorsque j’étais jeune… j’avais demandé a un type de la RATP le pourquoi de ces lampes 70 v que l’on voyait partout dans le métro pratiquement a portée de main
Il m’a répondu que ça limitait les vols