Ancienne lampe d'éclairage

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Bon, les gars ? si on en revenais aux anciennes lampes d’éclairage ?

(Ou, par extension, et pour étendre le sujet a un domaine plus large et intéressant les « radiofilistes », aux anciennes lampes de signalisation aussi …dont toutes ces petites lampes sphériques ou cylindrique a culot E10,Ba9s, Ba15s éqquipant les cadrans et les voyants lumineux de récepteurs radio, amplis, emmetteurs, tableaux électriques … Avant qu’elle n’aient été détrôné par les LED !)

Bonjour,

Pour l’histoire des résistances de filaments très faibles sur les tungstènes, on avait résolu le problème sur les projecteurs cinéma Super8 et 16mm équipées de 12V ou 24V halogène : un préchauffage de la lampe (faible éclairage ne necessitant pas de ventilation) qui permettait une mise en pleine lumière moins douloureuse pour l’ampoule et bénéfique à sa durée de vie ! Les lampes cinéma étaient des lampes survoltées à très faible durée de vie…

Les appareils qui n’en n’étaient pas équipées claquaient les lampes plus souvent…

deux jolies petites lampes provenant vraisemblablement de coffrets de jeux scientifiques du début XXe.

Par les taons qui volent ce serait juste nan ?

Restons, comme le demande slouptoot dans les lampes éclairantes ! ! !

Ceci ne se fait pas que sur les petits projo de cinéma d’amateur, mais aussi a plus grande échelle en éclairage scénique, du moins avec des projecteurs traditionnels équipé de lampes PAR56, PAR64 (300 à 650W), ou « bipin » (650 à 5000W) piloté par des gradas en DMX512 ou en 0-10V , les lampes étant au tungstène, et les courants de démarrage a froid étant considérables a cette échelle de puissance … Il est souvent prévu que le zéro ne commence pas à zéro, mais avec un minima de tension, par une légère conduction des gradas pour amener les filaments au rouge sombre (Minima paramétrable, sans effet visible sur les musiciens ou comédiens sur scène, et sans avoir besoin de ventiler …mais qui permet de rallonger la vie des filaments et de préserver les triacs des gradas )

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Cette manière de faire était très utilisée en liaison avec les lampes à incandescence de toutes tailles. Par exemple, sur les consoles des gros ordinateurs.

J’avais lu quelque part, mais est-ce vrai, que c’était surtout important sur les halogènes cinéma basse tension avec les spires très proches (lumière ponctuelle) : au démarrage à froid sous tension max alternative, le courant transitoire très important engendrerait des effets électromagnétiques entre spires les fragilisant mécaniquement ?

Votre avis ?

Comme quoi la pub mensongère n’est pas nouvelle, je pense même qu’on pouvait plus raconter n’importe quoi impunément à l’époque car il n’y avait pas de loi qui l’interdisait. :wink:

Bonsoir à tous !

Je ressucite ce sujet pour présenter ces trois lampes anciennes, malheureusement avec leurs filaments coupés:

La sphérique tout à droite n’a pas ou plus de marquages visibles.
Celle du centre est une Osram marqué « 343 II 16K 220V. 736 »
Celle de gauche est très intéressante avec son marquage « fotos Grammont » gravé dans le verre dépoli, peut-être que @slouptoouut connais déjà ce modèle:

Ces lampes ont été trouvés en faisant de l’urbex avec un ami dans un ancien corps de ferme à l’abandon, ainsi que quelques abat-jours en opaline à bords cristal ondulés et d’autres ampoules plus ordinaires.

Bonne soirée !

Tony

SLOUUUP

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A propos d’anciennes ampoules d’éclairage, j’ai trouvé récemment des ampoules Philips à double filament : un de 40W et un de 60W dans la même lampe. L’allumage des deux filaments correspond bien sur à une lampe de 100W.
Le socket est particulier, avec une second bague de connexion. La partie filetée est commune aux deux filaments.

Philips a vendu ces ampoules pour aller dans plusieurs modèles de lampes de chevet, ou décoratives. Il y avait bien entendu un double interrupteur, un par filament.



Edit : un type de lampe Philips, le modèle « Tahiti » qui a utilisé ces ampoules :

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Je ne connaissais pas !
la douille correspondant

Je n’avais jamais vu.
C’est beaucoup plus malin que les variateurs.

à basse intensité lumineuse, le rendement lumineux d’une lampe avec variateur est trés mauvais,
De plus les lampes halogènes ont une grande durée de vie uniquement à pleine puissance, à faible puissance le filament se bouffe et le verre noircit

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En parlant de lampes d’éclairage, qui pourrait me dire quelle ampoule LED en 230 v culot E27 serait susceptible de remplacer une 200 watts à filament tungstène ? Merci beaucoup .

Marque Philips Lighting
Type de lumière LED
Caractéristique spéciale Non Dimmable
Puissance 23 Watts
Taille de forme de l’ampoule A19
Base de l’ampoule E27
Puissance incandescente équivalente 200 Watts
Couleur de la lumière Blanc chaud
Tension 240 Volts

https://www.amazon.fr/Philips-Lighting-ampoule-Equivalent-dimmable/dp/B08HT1SG1T

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Merci m’sieur !! :wink:

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Bonjour,

Aux amateurs de lampes je cherche des infos sur ce modèle trouvé en brocante aujourd’hui.
Sur le culot : A6 - Importé d’Hollande - Orion.

Elle fonctionne, ici en photo alimentée uniquement sur 20V.

Auriez vous des infos complémentaires sur ce style de lampe décorative, son époque ?

Merci




Bonjour,

je dirais que c’est une lampe d’illumination de noël, et qu’elle date des années 1930 (belle trouvaille, au passage, et il en faudrais 6 ou 12 pour refaire une guirlande…)

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Il a été dit que les filaments au carbone avaient un coefficient de température négatif, confirmé dans ce tableau. D’après le tableau, ce coef est suffisamment important pour provoquer un effet indésirable dans une ampoule d’éclairage chauffée peut-être à 2000 °C : plus le filament chauffe et plus sa résistance diminue, absorbant encore plus de puissance, donc encore plus d’échauffement jusqu’à la surchauffe et la coupure ?