De la même époque de ces 2 voitures, j’ai eu une 404, j’allais en Allemagne à l’armée avec dans les derniers temps (+ de 1000 km aller), ras-le-bol du train qui mettait 12 heures pour y arriver avec 2 changements, j’avais fait mettre des plaques bleues F.F.A. et il fallait passer un contrôle technique avant de les obtenir, chose qui ne se faisait pas encore en France à la fin des années 70.
C’était costaud, lourd, mais un coup lancé : ça roulait vite.
Je l’ai gardé plusieurs années après la quille, bonne voiture.
Bonjour,
De mémoire, la R16 L devait faire 8 ch, c’était une « 5-6 places » (3 devant), et ensuite les TS et TX étaient 9 ch, 4-5 places (ceintures de sécurité obligatoires à l’avant)…
ca rentrerait dans la catégorie des « compactes » aujourd’hui, mais c’était la plus grosse voiture de la Régie à l’époque…
La R16 n’a jamais eu 3 places devant, c’étaient 2 sièges séparés (j’en ai eu deux: une de 1965 et une de 1974). Sur une des deux il y avait un accoudoir central qui faisait aussi vide-poches.
A ma connaissance Renault et Citroën n’ont jamais fait de banquettes à l’avant (sauf la 2 cv mais on ne pouvait pas s’assoir au milieu), c’était l’apanage de Panhard et de Simca, peut-être Peugeot aussi (403?).
J’ai eu une Simca 1300 avec banquette AV, c’était inconfortable voire dangereux, on n’était pas maintenu du tout dans le siège, de plus il n’y avait pas de ceinture.
Désolé, mais je me souviens très bien de ma carte grise : « 5-6 places », et on pouvait tout à fait monter à 3 devant, 1 personne entre les 2 sièges séparés, possible avec la commande des vitesses au volant !
Regardes les photos ci-dessous : tu lèves l’accoudoir central et tu as bien une place entre les sièges, surtout quand il n’y a pas la console auto-radio :
Super confortable avec 2 sièges à réglages indépendants …
Et même sans autoradio l’emprise du moteur dans l’habitacle ne laissait quasiment pas de place pour les pieds.
Possible à la rigueur pour emmener un gamin à l’école, mais guère plus !
C’est vrai que la R16 a longtemps été le plus gros véhicule de la Régie (depuis l’abandon de la Frégate) mais ça ne la mettait pas dans la même catégorie que la DS pour autant.
Il a fallu attendre les R20 / R30 pour ça !
Bonjour,
Pour les 3 places avant, hormis quand il y avait une banquette comme sur les Simca 1300 et 1500, la seule dont je me souvienne avec 3 sièges c’était la Simca Bagherra (pas gardée longtemps car je me suis encastré dans la devanture d’un bureau de tabac) et bien plus tard la Fiat Tipo.
En ce qui concerne les batteries, voici le genre de chargeur mainteneur que j’utilise pour maintenir en bon état pendant les mois d’inutilisation la batterie de ma tondeuse autoportée.
C’est ce que je ne peux pas faire dans le parking de mon immeuble, c’est pourquoi je la débranche. Mais même si j’avais accès au secteur je préfèrerais la débrancher plutôt que de la maintenir en charge sans surveillance pendant plus de 6 mois.
Ce genre d’appareil de maintenance est conçu avec un programme de sécurité mais effectivement un maintien de plus de 6 mois, c’est une très longue période . A la campagne, j’ai quelqu’un qui entretien le jardin et surveille régulièrement la maison et ses dépendances en notre absence qui n’est jamais de plus de trois mois.
Je viens de lire dans un autre sujet du forum consacré aux batteries de 2 Volts sans entretien que l’appareil que je montre plus haut fait certainement partie des chargeurs « intelligents ».
Nota : tous ces appareils « chargeurs intelligents » ou « régénérateurs » ne sont efficace que si la batterie n’est pas descendu à 0V (sinon il ne la reconnaisse pas) et si ses plaques ne sont pas physiquement endommagées (plaques déformées, jonctions dessoudées, séparateurs entre plaques détériorés, résidus de plaques tombés au fond du bac …)
En outre, ils sont , hélas, trop souvent de puissants générateurs de parasites radiophoniques sur les bandes PO ou GO (très génants si on écoute ces bandes durant la recharge ou régénération)
Cela ne valait pas la R12 Gordini
Lorsque j’étais chez Bosch nous en avions reçu une à convertir en injection électronique en vue d’équiper la future R17TS (ensuite rebaptisée Gordini).
La R17 et la R15 avaient la même plateforme que la R12.
Cela nous permettait de faire des essais sur route « incognito » plus d’un un an avant que la R17 et la R15 soient présentées au public (1972).
Nous avons ensuite équipé l’Alpine A310 (4 cylindres) et la Berlinette qui utilisaient le même moteur légèrement suralésé (1605 cm3 au lieu de 1565 cm3).