Doctsf (Modèles & Marques)
AnnoncesNormalement un bus électrique, ça ne pollue pas.
Sauf s’il brûle, alors là, attention les particules fines et le CO2 (voir le nuage de fumée) !
L’essentiel c’est qu’il n’y ait pas eu de blessé (il devait être vide, je ne vois personne en sortir).
Ca commence àm’énerver tous ces bus à batteries, polluantes, difficiles à recycler… De très nombreux pays (de moins en moins la France) utilisent la solution trolleybus depuis très longtemps…
Le clin d’oeil : le plus beau bus électrique dans lequel j’ai eu la chance de voyager… En service commercial de 1963 à 2000 je crois !
« Les VBH 85 détiennent le reccord de longévité, en France, d’un véhicule en exploitation ! Il resta 37 ans en exploitations commerciales. Et sur la même ligne ! »
https://er100.skyrock.com/2749844750-Berliet-Vetra-VBH-85-1963.html
Oui effectivement déjà début des années 60 , à Grenoble il y avait des trolleybus , comme à Dijon et dans d’ autres c ville . je crois qu’ ils ont été remplacés .
Pour les trolleybus il faut deux fils sur poteaux , c’est compliqué , pas esthétique , et ça gêne le passage de gros engins si nécessaire . et quand la perche sautait , c’ est le conducteur qui devaient la remettre . Avec les nouvelles normes de sécurité selon lesquellees plus personne n’ a le droit ou ne peut plus rien faire , même de simple . de nos jours quand la percher saute le conducteur doit faire appel au spécialiste et le bus est immobilisé …un certain temps
Dans certaines villes , comme à Séville , il y a une ligne de tram sans câbles aériens , sauf aux stations sur 15/20m. le tram a des batteries de faible capacité qu’ il recharge pendant le temps d’ arrêt , ce qui lui permet d’ atteindre la station suivante . 
Bonjour Claude,
Le Trolleybus est toujours utilisé à Lyon, et pour le problème de sécurité lié aux perches dont tu parles, les nouveau Cristallis de Lyon n’ont plus de cordes accrochées aux perches. Quand ça saute (ça arrive rarement), on baisse les perches avec un vérin pneumatique, on roule en diesel (génératrice), et on relève les perches pneumatiquement à des endroits prévus (V inversés sur les lignes aériennes).
Les câbles, quand c’est bien posé, ça se voit très peu (Place des Terreaux à Lyon).
Bien cordialement.
Bonjour
à Tours, dans une section (centre-ville) le tramway est alimenté par le sol
Il y a aussi la solution très écologique des bus à pédales (les passagers pédalent), avec un hortator comme dans les galères!
Extrait de « QRM sur Bretzelburg » de Franquin.
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Les trolleybus, ça me rappelle les années 60. Mon boulevard était à l’époque sillonné de trolleybus, exactement les mêmes que sur l’image mais d’une autre couleur.
Et avant les trolleybus, c’était des tramways qu’il y avait. Je revois encore mon boulevard, dans les années 50 parcouru par les tramways. D’ailleurs, on en voit un dans un film de Pagnol. A l’époque on pouvait aller de partout à Marseille, en tramway.
De même, en Allemagne, là où je faisais mon service militaire en 1968, la petite ville était desservie uniquement par des tramways.
Ces véhicules non polluants (tramways et trolleys) ont été remplacés progressivement par des bus diésels, toujours en service à ce jour, ou remplacés au compte-goutte par des bus à gaz, moins polluants…
Aujourd’hui, la grande innovation, fierté des mairies des grandes agglomérations c’est le retour au tramway…
La vie est un éternel recommencement. 
Marseille : le tramway d’avant, et celui d’aujourd’hui
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Bonjour,
J’ ai un trolley qui est posé en ce moment sur mon secrétaire:
Cette fragile petite maquette est d’ailleurs assez difficile à assembler.
Cordialement.
Patrick
Bonjour Pat,
Ce n’est pas un trolley, mais un tramway ancien à perche, perche remplacée par la suite par le pantografe…
Le trolley ou trolleybus c’est un autobus, avec volant et roues directrices, alimenté par 2 perches articulées… Il en reste à Lyon, peut etre St-Etienne ?
Il y a le tramway de Nancy, filoguidé, c’est une sorte de trolleybus…
Sans doute par analogie, c’est aussi un sac de voyage à roulettes qu’on peut tirer derrière soi grâce à deux « perches » formant poignée.
Ce réseau de fils aériens, je trouve que c’est …trop laid 
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Et bigrement compliqué ! 
Bonjour,
Le Berliet - Renault (RVI) « ER100 » : um must, roule toujours en Roumanie (Lyon les a revendus)… Les fils aériens, quand c’est bien posé, comme sur la photo sans poteaux , crochets sur les façades des immeubles, c’est très discret…
La version « Berliet » : des résistances série commutées par des thyristors… Le RVI est quant à lui équipé d’un hacheur ( de deux hacheurs), un alimentant l’induit et l’autre l’excitation du stator. Jusqu’à 20 km/h : excitation au maximum, ta tension sur le rotor croit, et au delà, la tension sur le stator diminue, augmentant la vitesse (mais diminuant le couple)…
Sur le berliet et sur le VBH85, ce sont des moteurs série (ceux des perceuses, mais en plus gros).
À Brest avant la destruction de la ville en1944 . Surnomme le péril jaune….
Aujourd’hui accompagne d une politique de rénovation de la ville.
a noter qu un referendum a décidé de sa renaissance. Aujourd’hui 10 ans après une seconde ligne à l’étude.
Bonjour à tous,
Lyon continue dans le Trolleybus :
« Et ce n’est pas fini. Le Sytral a voté un plan de développement du trolleybus. Un appel d’offre lancé en février 2021 prévoit l’acquisition de 53 trolleybus standards et 102 articulés entre 2022 et 2026, En 2021 comme en 1947, Lyon mérite toujours son titre de capitale du trolleybus ! »
: Changement des trolleybus Cristallis pas des trolleybus 100% électriques. Plus de génératrice Diesel, mais de petites batteries pour franchir les déviations ou les zones de travaux…
Celui-ci doit dater de la fin du XIXeme. Avec les chapeaux qui passent pas loin des lignes électriques
Non, elles sont sur le côté
Pas un tramway, pas un trolley, mais un train électrique à Paris en 1900
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funiculaire électrique Paris quartier de Belleville
« Au début de l’exploitation du funiculaire, en 1891, le service était assuré par des voitures circulant seules. Noter au second plan, l’évitement qui permettait le croisement de deux voitures. »
« A partir de 1894, afin d’améliorer l’exploitation, le funiculaire de Belleville fut desservi par des trains de deux voitures attelées tête-bêche. Tout en maintenant la capacité de transport, cela permettait de faciliter la régulation de la ligne, alors très chargée. »
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Les débuts de la traction électrique : les tramways à accumulateurs, le fil aérien étant prohibé dans Paris .
« Motrice TPDS à accumulateurs type Saint-Denis en état d’origine. Chaque voiture offrait 52 places. La caisse reposait par l’intermédiaire de gallets sur deux trucks à un essieu, reliés par un système d’articulation à ressort qui permettait aux essieux de converger dans les courbes. Les accumulateurs à charge lente, étaient disposés sous les banquettes. »
« Manutention des batteries d’accumulateurs au dépôt de Saint-Denis. 108 éléments étaient répartis dans douze caisses, placées sous les banquettes à raison de six de chaque coté. »
Je vous laisse découvrir le reste 
► Musée des Transports - Histoire des Tramways Parisiens
