Bonjour,
oui, certes, pour de simples dépannages de postes TSF, et pour un usage « amateur », il n’est pas vraiment utile d’avoir un lampemètre …Si ce n’est effectivement de « faire bien » ou « faire pro » dans un atelier de dépannage !
mais, comme dit plus haut, si on détient des centaines de lampes de radio différentes et dans des états inconnu (ça doit être le cas de plus de personnes qu’on crois …) ou si on s’attaque a des amplis hifi haut de gamme (avec le besoin de tester et appairer des tubes avec précision, ou des tubes fonctionnant avec des tensions et courants élevés ) le test sur un poste de radio ne suffit plus, et là, un lampemètre se justifie , et un bon …
Et, vu le prix que ça coute, si on veux un lampemètre sérieux (ceux qui appliquent les bonnes tension sur les diverses électrodes séparément, permette de mesurer la pente, et de faire des mesures précises , voire d’en tracer les courbes …) Construire soi même son lampemètre se justifie pleinement !
Ceci dit, je préférerais un lampemètre en « stand alone » et « indépendant » , avec des écrans LCD au lieux des galva (solution plus moderne, et moins fragile ) mais qui ne nécessite pas de logiciel, et ne soit pas dépendant d’un ordinateur (pour les raisons que vous savez …)
Donc, soit tout en « logique câblé » ( comme les lampemètres métrix U61, ou les traceurs de courbes Tektro …) soit avec microcontroleur et afficheurs intégrés dans le lampemètre ( c’est de la « logique programmée » mais qui reste autonome )
Le principal reste de fournir les nombreuses tensions nécessaires HT plaques, HT écran, polar, chauffage filament …Et de les commuter (ce qui fait tout de suite, pas mal de matos !)