C’est une idée, mais il est encore plus simple de mettre la partie plate des lames verticalement sur une surface plate, d’insérer les cales d’épaisseur puis les lames suivantes au fur et à mesure, et d’immobiliser le tout avec un serre joint.
On peut alors retourner l’ensemble sans risque, poser le tube laiton qui sera guidé par la succession d’empreintes en demi rond, puis souder tranquillement le total, sans que rien ne bouge.
Pour l’instant, je n’ai pas trouvé de meilleure solution.
Le problème, avec la tige filetée, c’est qu’on est forcément tributaire de l’épaisseur des écrous!!!
Donc, avec une tige filetée de 6, tu imagines facilement le monstre après assemblage!
Juste quelques lignes de Gcode à modifier vite fait, (un G3 à la place d’un G2, pour inverser le sens du demi-cercle), et il ne restera plus qu’à usiner les nouvelles lames.
La suite se présente toujours bien.
Le bas des lames fixes a été encoché, ce qui permet de tout aligner parfaitement dans un cadre en époxy, évidé sur mesure.
La superposition haut et bas ne présente aucun défaut d’écartement.
(La photo est trompeuse…)
Il ne reste donc plus qu’à assembler les deux moitiés, pour obtenir un CV fonctionnel.
A suivre…
Pour la démultiplication, pas nécessaire.
C’est un simple CV d’accord pour l’anode d’une 807.
J’avais juste besoin d’assez d’isolement entre les lames.
Mais le problème, c’est que pour un push pull, il faut une capa double, raison pour laquelle je me suis lancé dans cet artisanat.
Plus qu’à faire un 2e CV identique, et à les jumeler sur le même axe.
Merci, mais tu noteras au passage que ces petites fraiseuses numériques bon marché, peuvent servir à bien d’autres choses qu’à graver des circuits imprimés!..
Le CV une fois terminé et copieusement dégraissé, va passer dans un bain de brunissage.
Il m’en reste encore une fiole, qui servait à effacer le brillant sur les roues des wagons et des locos de mon train électrique.
Je ferai un essai préalable sur une chute, histoire de ne pas générer une horreur.
Sinon, vernis tropicalisant !