Doctsf (Modèles & Marques)
AnnoncesOui un petit nettoyage extérieur et c’est bon. En tout cas ces châssis ne sont vraiment pas pratique à dépanner comparé à d’autres de la même époque. L’accessibilité n’est pas géniale.
Ces vieux téléviseurs étaient construits comme les vieux postes de radio, avec le châssis au fond 
Les châssis basculant sont arrivés plus tard. C’est le groupe Thomson qui a conservé ces châssis « horizontaux » le plus longtemps .
Oui et non car le Radiola RA6061 par exemple qui est de la même année a un châssis vertical et pivotant beaucoup plus pratique
oui, mais justement , pas les Thomson qui étaient fixés au fond 
Effectivement ce n’est pas un châssis et une conception R&D mais continental Edison. A cette époque ribet avait été vendu à CGE qui s’est empressé de céder à Thomson. Continental Edison c’était quand même mieux que le châssis H de Thomson… Dans le magasin de mon père je passais mon temps à dépanner et vérifier les TV neufs avant de livrer au client.
En effet…
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Thomson a racheté Continental Edison pour « le sauver »
Dans la fin des années 60 - début 70, Continental Edison (CGE) avait sorti un châssis de TV noir & blanc ( et à tubes !) en double face (Châssis « S »)
Les liaisons entre les deux faces étaient faites par des genres de rivets sur les pistes cuivrées !
Une vraie catastrophe !
On le réparait en traversant les rivets avec des queues de résistance soudées de chaque coté ! 
C’est exactement ce que je faisais… Ça a duré un an… Heureusement que mon père était aussi agent Radiola pour tout ce qui n’était pas TV. Il s’est mis à vendre du tvc 4,5, etc jusqu’en 1985
D’accord, c’est sympa ces anecdotes 
Et oui et il y en a énormément des anecdotes concernant les marques des télévisieurs, un exemple sur un châssis plus récent dans le temps ou dans les années milieu 1990 ( je ne situe plus très bien) thomson avait sorti le fameux ICC17 que je pestiferait au plus haut point, alimentation de veille qui tombait souvent en panne mais cela n’était rien à comparer avec ces THT qui claquaient à outrance, thomson renvoyait des kits de réparations avec des correctifs mais c’était toujours pareils une vraie calamité , en mieux il y avait le fameux châssis anti panne de chez oceanic, un autre modèle qui était pas mal par contre c’était l’icc9 qui était assez fiable, ont pourrait en sortir un livre 
Christophe
Bonjour Christophe,
ICC17 j’en ai plusieurs pour pièces, tous la THT HS, je n’en ai gardé qu’un pour la collection sur lequel elle est encore bonne.
ICC9 j’en ai 2, les 2 avaient un défaut de coussin est ouest, ils fonctionnent toujours normalement
Bonjour Olivier, Oui pour l’icc9 le défaut de coussin est/ouest est bien connu c’est un petit condensateur à remplacer, de ce châssis il y avait la marque Brandt qui avait sorti un 84 cm je crois avec deux petites oreilles pivotante de chaque côté qui était les hp, as tu ce modèle ?
Non c’est des modèles classiques que j’ai en 70cm
Effectivement les premiers TV 110/114° datent de 1960:
-tout d’abord avec un écran aussi "rond’ que les 90° : 54 cm de diagonale,
-puis un peu plus rectangulaire en 1961: 59 cm de diagonale,
-enfin encore plus rectangulaire en 1968/69: 61 cm de diagonale
Ces châssis neufs ont été vendus à bas prix dans des magasins de composants et de surplus parisiens, j’en avais acheté un qui avait fonctionné correctement après reprise de toutes les traversées.
Oui je me souviens c’était un châssis vertical qui se glissais du côté gauche dans l’ébénisterie ; tout était dessus il n’y avait plus qu’a raccorder le hp le socket tube le déflecteur et la masse et tétine TNT
J’avais des châssis restaurés pour intervenir chez les clients
et les téléviseurs neuf ont finis eux aussi à bas prix en Grande Surface . Plus aucun revendeur ne voulait en commercialiser.
Bonjour,
J’ai travaillé chez Robert Bosch France de 1970 à 1974 dans les systèmes d’injection électronique (montés entre autres sur les premières Citroën DS21 « injection électronique »).
La première génération de « calculateur » d’injection (entièrement analogique et en composants discrets) avait un circuit imprimé double face bakélite avec des traversées droites, dans le même genre que celles du circuit Continental Edison.
Au bout de quelques mois cela a fini par provoquer des pannes aléatoires qui ont été très difficile à repérer car cela dépendait des conditions de température.
On a fini par trouver que c’était les pistes du circuit imprimé qui se coupaient à proximité de la traversée, provoquant ainsi un contact intermittent à cause du coefficient de dilatation différent de la bakélite et du cuivre (le boitier électronique, situé dans l’habitacle, devait fonctionner de -40° à +85°C).
Comme à l’époque les circuits imprimés époxy étaient trop chers pour cette application, la solution a été de remplacer la traversée droite par une traversée au moyen d’un fil plus fin formant une boucle qui pouvait se dilater ou se rétracter sans exercer d’effort sur les pistes.
Mais tous les boitiers avec les anciennes traversées ont été remplacés …
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