Toutes mes excuses pour avoir écorché le nom. Je suis désolé pour avoir parfois une frappe trop rapide et inconsidérée.
rien de grave!!!
Bonjour,
je pensais, pour qu’il ssoit écorché a ce point là , bourré de fautes, qu’il a du être tapé comme on tape des SMS avec un téléphone basique (ceux qui n’ont pas de clavier alphabétique a l’écran mais juste avec les chiffres 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 0, * et # …) et en voulant jouer les dactylo de compét (en allant trop vite et en faisant des « coups de doigt » )
sloup
(…Et c’est le diminutif d’une onomatopé censé imiter le bruit d’un appeau inventé par Gaston Lagaffe )
Bonjour,
et pour en revenir au sujet initial …Si les petites éoliennes pour alimenter des lampes d’éclairage ou un poste de TSF ,'ont pas eu de succès (sans doute parce le vent est une source trop aléatoire …Et peux ne pas souffler de toute la journée précisément le jour ou on aurais besoin de courant !)
Par contre, les dynamos ou alternateurs entrainé par un moteur thermique étaient courant, et sois avec un moteur stationnaire, type moteur Bernard , ou autre …(qui servais a d’autres usages…) soit, souvent, sous forme d’un accessoire installé sur « l’attelage 3 points » du tracteur, et entrainé par sa prise de force , avec un arbre cannelé et des cardans (ce principe se fait toujours ! et n’importe quel agriculteur a forcément un tracteur, qui, lorsqu’il ne tracte pas une charrue, un semoir, un épandeur, ou une botteleuse, pourra produire du courant par ce moyen, le jour ou on en a besoin ! )
Quand aux lampes d’éclairages anciennes, sujet relancé par @JCM45 : outres celle a filament de carbone, il en a existé pleins d’autres sortes , mais la plupart ont été assez éphémères
-Les lampes à arc à électrodes à l’air libre (apparu bien avant les autres, mais elles ne servaient pas dans les campagnes ! ces lampes dont le principe étais a peu près celui d’un poste à arc MMA, dit « a baguette », donc basé sur des électrodes écarté de quelques millimètres après avoir été brièvement mise en contact, consommaient énormément, produisait une lumière crue très vive, et des sifflements ou crépitements…
La température de couleur de la lumière (T.C) , très blanche, étais de l’ordre de 3800 à 4200 °K, Elle étaient impropre à l’éclairage domestique (consommation trop forte, lumière trop éblouissante, bruit désagréable, fumées, nécessité de changer les électrodes souvent …) et ne servaient qu’a éclairer des places publiques de grandes villes, des gares , salle de sports, ou autre grands espaces , ou dans les anciens projecteurs cinéma 35 mm)
Les lampes à filament d’osmium : c’étais une alternative au lampes a filament de carbone, mais qui ne présentais guère d’intérêt , avec une T.C d’environ 2000°K, et un rendement de l’ordre de 4 à 4,5 lm/W (existence assez éphèmère, plus couteuses a fabriquer, avec bien peu de différences par rapport a celle au carbone )
Les lampes a filament de tantale : Un peu mieux que les précédente au carbone et a l’osmium , TC d’environ 2200 à 2300°K, rendement d’environ 5 lm/W, mais le tantale étais un métal cher, et de faible résistivité nécessitant de faire des filaments très longs (Apparues en 1900…1910, il fallait une structure complexe avec de nombreux crochets pour replier ce filament en zig-zag et en étages pour que la lampe soit peu encombrante , rendant leur fabrication encore plus couteuse)
Les lampes a filament de tungstène a vide : proches de celles que nous conaissons , mais sans gaz, Tc de 2400 à 2600°K, rendement de 9 à 10 lm/W (de 1910 à 1930 , mais utilisées pendant longtemps notamment en éclairage extérieur, leur rendement étais un peu moins bon mais on faisais l’économie de gaz rares, en outre cette absence de gaz procurais une meilleure isolation thermique )
Les lampes a filament de tungstène a atmosphère gazeuse : lampes dont le filament est sous atmosphère gazeuse avec un gaz neutre permettant d’en optimiser le fonctionnement, c’est celles qui ont perduré le plus longtemps et que nous conaissons encore , elles se sont démocratisé dès 1920-1930 et elles ont été retirés du commerce depuis 2012, Tc de 2700 à 2800°K, rendement de 11 à 16 lm/W (c’est « l’ampoule » d’éclairage domestique connue de tous …)
Les lampes halogènes : ce sont des lampes a filament de tungstène , avec ce coup ci un gaz ayant un rôle actif au lieu d’un gaz neutre, ce gaz produit , a température élevée, une réaction de recombinaison avec le tungstène évaporé, pour qu’il se redépose sur le filament et non sur les parois de l’ampoule, ainsi le filament est régénéré (partiellement) et l’ampoule ne noircit pas (la lumière est plus blanche et le reste ) Lampes inventées en 1959 mais qui se sont démocratisées dans les années 1970 , Tc de 2900 à 3200°K, rendement de 15 à 25 lm/W (ces lampes ont un bien meilleur rendement que toutes les autres lampes a incandescence, mais fonctionne a température très élevée et sont fragiles )
Je ne m’étend pas ici sur les LFC (fluo compactes, qui ne sont que des tubes fluorescents replié en « U » ou en spirale, et doté d’un « ballast électronique » interne )
Elles ont un rendement intéressant de 60 à 80lm/W mais de nombreux défauts ! tout le monde connais !
Ni sur les lampes LED (qui on un principe totalement différent, tout en ayant les mêmes formes , elles ont quasiment détroné toutes les autres ) Leur rendement est de 80 à 110 lm/W et elles existent dans toutes les T.C de 1800 à 7000 °K, dont les 3 valeurs usuelles de 2700, 4000, et 6400°K , pour imiter les autres lampes , ou aussi dans toutes les couleurs de l’arc en ciel …Là aussi, tout le monde connais ! (quoiqu’ souvent pas assez connues tant leurs possibilitées sont vastes !)
sloup