Electrophone Image et Son IS605 Lancelot (1964) : remise en route

Effectivement, c’est celui qui est dans la base de données. Il est un peu plus récent que le mien (n° de serie plus élevé) et surtout, il embarque une platine plus ‹ moderne ›, la PW160 qui remplace la Miracord 16 dans le catalogue ELAC.

Sur mon éléctrophone le voyant de mise sous tension ne s’allume plus. J’imagine qu’il peut être réparé ?

Oui c’est une mignonette 6.3V il me semble

Ou, en termes clairs et actuels : une lampe de signalisation 6V/ 0,1A culot E10 (appellation plus connue que « mignonette 6.3V » des électriciens et des magasins de nos jours)

Ça se fait toujours, en fourniture d’électicité industrielle (voyants de certaines machines) ou en magasin de sport (feu arrière sur certains vélos)

Permier message d’origine corrigé et les deux messages supplémentaires (devenus inutiles) supprimés.

PS : Tout cela avec mon smartphone …

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Ok, merci. Mais j’ai la nette impression qu’il va falloir déposer la façade sérigraphiée pour pouvoir la remplacer :upside_down_face:

demonter la façade pas forcement
il y a des modeles a visse ou a clipser
il faut regarder derriere , une photo de que l’on vois ?
image

Bonjour,

si c’est un voyant monobloc tubulaire de 16mm , du type usuel sur les face avant en gros électroménager, ou sur les chaudières, ce type de voyant n’est pas relampable et il faut changer le voyant complet …

Mais

Ca m’étonnerais beaucoup que ce soit ce type de voyant ( bien trop moderne pour cet appareil ) et généralement en 24 ou en 220-240V (pas 6V)
Je pense plutôt que, comme sur les électrophones valoche Teppaz, ce doit être un petit hublot rond (qu’il n’est pas utile de démonter) avec une lampe 6V 0,1A culot à vis E10 derrière (se dévisse, en démontant par l’arrière …Mais, sur certains appareils mal conçu, il faut parfois sortir tout le châssis pour y accéder)

Si le replacement est difficile : On a tout intérêt à remplacer la lampe à filament de ce genre de voyant par une LED avec une résistance série (pouvant être soudé à demeure, puisque avec la durée de vie d’une LED , 25 000 à 50 000h, on est tranquille pour plusieurs dizaines d’années , souvent l’appareil est abandonné, ou tombé en panne, avant usure de la LED !)

Le voyant est une lampe a vis de 6,3volts 100 milliamperes.ou 300 milliamperes. Les 2 intensités ont été utilisés.

Il n’y a pas d’ampli push-pull dans les electrophones image et son.
Le seul appareil qui a été équipé de push pull chez image et son, est la chaîne hifi Magnificat sortie entre 1960 /62. C’était une chaîne en teck verni. Les enceintes étaient aussi en teck équipés de haut parleurs Cabasse.

Elle était équipée d’un double ampli push pull EL84

Il me semble que c’était des televiseurs. Je n’ai aucune info sur la société de Bourvil.

Bonjour,

oui, c’étais bien des téléviseurs, et (sauf erreur) de la marque « l’image parlante » …Mais , si ça se trouve, c’étais peut être des châssis d’une autre marque connue, mais montées dans des ébénisteries différentes et rebadjés avec cette marque …

(c’est peut être comme les postes radio « Manufrance » des années 1930, qui n’ont jamais été fabriqué par la marque stéphanoise, et qui sont en fait des châssis de chez Malony, mais avec un cadran marqué « Manufrance », et une ébénisterie différente … )

sloup

Voilà ! Maintenant je suis un has-been ! :grin:
Mais Patrick a raison, c’est une lampe de signalisation, on les trouve surtout dans les blocs BAES (qui indiquent les issues de secours quand il y a une panne de courant) pour indiquer que l’appareil est sous tension et en charge, ce ne sont pas elles qui éclairent la zone en cas de panne.
Enfin là aussi de la vieille technologie car les blocs sont à LED depuis quelques années déjà.

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Mon cher sloup, oui la marque l’image parlante, bourvil en était actionnaire, il y a eu des tv noir et blanc et un model couleur le Colorado et ensuite la marque a disparue, des radios aussi ont été fabriqué sous cette marque, il y a des pubs qui ont été éditer dans le magazine le haut parleur, le tv que je possède à un châssis cibot radio certainement une série néo télé… Je m’excuse d’avoir fait c’est intrusion sur le sujet de WILLBREQUIN.
Voilà une petite histoire pour Laurent :wink:


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Bonjour,

A propos des « blocs de secours » ou BAES, c’est un vaste sujet, qui mériterais a lui seul un topics séparé ! Mais ou ?
(Je ne vois pas dans quelle catégorie du forum, ou on risque d’essuyer des tirs de missiles sous pretexte que c’est hors sujet)

Je dirais juste que ces BAES sont intéressant , tant pour leurs lampes (surtout les modèles un peu anciens, équipé de lampes a incandescence) , que leur composants (ce sont des engins plus complexe qu’il y parait, avec toute une électronique interne, avec des possibilité de télécommande, d’essais automatisé des lampes et de la batterie, de diagnostic de l’appareil …)

Attention : Pour les récupérateurs , et l’emploi en dépannage TSF ou électrophones , tous ne sont pas en 6V loin s’en faut, et chaque constructeur de BAES faisais « ce qui lui chante » , ou presque …De ce fait, on trouve un peu toutes les tensions !
(Je recommanderais , pour ceux qui recherchent des lampes en 6V, les BAES de marque « Secoumatic » , ou de marque « Dern » )

Nota : Les BAES des dernières générations les plus récentes sont « tout LED » , et sont généralement « non démontable » (en cas de défaut, on change le bloc complet) et de ce fait bien moins intéressants …

sloup

Bonjour à tous,

Je vois que ma ‹ mignonette › suscite de nombreux commentaires. Une fois la façade déposée on voit un peu mieux l’objet en question. J’ai hésité à forcer pour retirer ce qui s’avère être un cache. Et effectivement, c’est bien une petite ampoule à vis qui est dans ce cache, une lampe Mazda. On devine également un 6, qui doit donc correspondre au voltage.


Dans un autre domaine, j’ai bouclé la restauration des différents axes et de leur support, à l’exception du support du centreur de 45 tours qui, très sollicité, doit être re-nickelé.

Le plus gros du travail a porté sur les plastiques qui ont été polis, toujours avec la même méthode (abrasif à l’eau -pour effacer les grosses rayures- puis Miror). Il n’y a pas eu grand chose à faire pour l’axe principal et l’axe d’empilage pour les 33 tours, juste un nettoyage, par contre l’axe d’empilage des 45 tours était fortement corrodé. C’est visiblement un problème récurrent sur cet appareil. C’était le cas pour l’électrophone restauré par EverOndia. Après démontage et polissage, l’axe a donc été protégé de la corrosion avec de l’huile de glissière.

Les supports ont été polis avec du Belgom Chrome.

@+

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Bonjour,

Donc, oui, là, on est quasiment sur que c’est une lampe 6V 0,1A culot E10 ! Hélas, ces gougnafiers de câbleurs ont câblé la douille en fil rigide et au plus court ! (ils auraient du prévoir du fil souple et avec du mou)

Pour l’extraire , par l’avant, et sans tout démonter ni dessouder, il faudra utiliser un tire lampe , qu’on peux se bricoler soi même avec un bout de plastique ou de caoutchouc juste au diamètre du bulbe, ou qui existe tout fait , chez Legrand, ou Orbitec, dispo chez les revendeurs de fournitures pour électriciens :

voir par exemple ici :

sloup

Remarque inutile , le support de la lampe est fixé avec un rivet :joy:

Bonjour,

Ah oui ! je n’avais pas remarqué ce détail qui le rend indémontable …je pensais que le support de la lampe étais clipsé(démontage en tirant) , ou vissé (démontage avec un tournevis)

Là, il faut, soit un tire lampe (Outil que pratiquement personne ne possède !) soit retirer la ECL86, écarter le câblage, commencer a débloquer le culot avec une pince téléphone, puis dévisser (Pas du tout pratique et il faut avoir des doigts de fée comme Frozen !)

:bonjour: késaco ?

Bonjour,

en argot technique, celà désigne une pince à longs becs légèrements coudés , comme celle là :

Cet outil étais initialement destiné au cablage interne des téléphones et des centraux ou standards téléponiques, surtout du temps ou ils étaient électromécaniques , d’ou cette appelation …

Merci :wink: . J’en ai mais je ne connaissais pas cette appellation !
on n’arrête jamais d’apprendre :slight_smile:

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