Doctsf (Modèles & Marques)
AnnoncesMerci pour la photo; je vais pouvoir vérifier le câblage avec le mien.
J’ai pu vérifier le câblage grâce à votre photo; tout était correct; inspection des soudures, test de continuité…puis j’ai tiré un peu sur tous les branchements et un fil, bien caché sous une nappe de fils est venu. Pas soudé ou mal soudé, c’était la panne.
Merci à tous pour votre aide précieuse.
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Il vaut mieux que ce soit ça que le galva.
Super, donc opérationnel 
A +.
Voilà une affaire réglé 
C’est quand un lampemetre très simple qui ne donne pas la valeur en ma de l’anode.
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Oui mais sa simplicité d’utilisation, avec la liste des combinaisons sur le tambour au sommet de l’appareil, fait qu’il a eu en beau succès commercial.
Ce Centrad 751 convient très bien à un atelier de réparation radio, mais mais naturellement pas pour un usage plus pointu où il faut connaître le courant et la pente des tubes, le Metrix 310 dans ce cas convient mieux.
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Oui je sais, mais pour ma part, je préfère le plus performant cad le Metrix, il me semble qu’un Centrad tourne autour des 300€ itou pour un Metrix ?
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300 pour un 310 : OK, pour un 751, moins.
J’ai payé le mien 150 € en parfait état de marche, il y a environ 7 ou 8 ans.
A +.
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J’ai payé le mien 150€ aussi. En complément j’ai acheté à Gillou son U61 vers les 600€.
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Bonjour,
Est ce que centrad 751 est pour un usage courant , c’est à dire , faire du tri dans un stoc juger un tube a changer ou non . Mais avec ce lampemetre , on ne peut pas calculer la pente du tube , on ne peut pas appairer non plus les tubes pour faire des amplis audio …
Oui, c’est exact.
C’est exact également.
Vous avez tout compris, la nécessité de comparer le courant les tubes et de les sélectionner n’était pas un besoin courant dans les ateliers de dépannage radio des années 30 à 50.
C’était par contre le cas dans les appareils professionnels et militaires ainsi que plus tard dans les années 60 et 70 pour le matériel Hi-Fi.
Raison pour laquelle les administrations, PTT et les Armées possédaient beaucoup de Metrix 310, U61 (toutes versions) et de Hickok (plusieurs modèles) qui permettaient de mesurer le courant et la pente.
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Vous voulez dire que l’appareil est suffisant pour juger si le tube doit être changée ou non ?
En règle générale, oui, c’est un testeur de lampe.
Sur les appareils que Henri Louis à cité, ce sont des analyseurs, où l’on règle les tensions de grille pour simuler très précisement le tube en fonctionnement.
Ne pas oublier que le meilleur des lampemètres comme le dit Radiolo, c’est le poste !
Je ne compte plus le nombre de fois où un tube « bon », ne l’était pas « in situ », quelques mesures et calculs simples donnent des indications sur la santé du tube sur poste.
En plus du Centrad 751 j’ai ce pentemètre:
J’ai ce pentemètre Metrix - 305 - Pentemètre (Lampemètre) mesure
Et cet analyseur Metrix - U 61 B - Analyseur de lampes mesure
Si on veut pousser le vice on peut adjoindre un pont à l’U61, mais ce sont des objets très très rare (qui n’étaient présents que dans les labo des grands constructeurs) et que je recherche depuis des années pour ma collection d’appareils Metrix
Non, il est toujours question de lampemètre ou lampemètre d’atelier avec cet appareil et les autres qui mesurent selon le même principe dans toute la littérature et les publicités d’époque.
C’est maintenant au XXI ème siècle, parceque les audiophiles dénigrent ce genre d’appareils et ne veulent plus entendre parler de lampemètre pour les qualifier, que l’on devait les qualifier de testeur de tubes, je dis non.
Ce sont les U61 et similaire qui ne sont pas des lampemètres mais des analyseurs de lampes, selon la désignation officielle de Metrix.
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Oui ou « lampemètre de service » comme inscrit sur l’appareil en toute lettre.
J’ignorais que les audiophiles ne veulent plus entendre le mot lampemètre. Je ne fréquente pas le milieu.
Mais cependant Henri-Louis a raison: il n’y a aucune mention de « tests » dans la documents ou sur l’appareil. On parle « d’essais » et de « mesures » si on veut être précis sur le lexique employé.
Dans tous les cas c’est un compagnon de route dont je me sert presque tous les jours depuis 2019 maintenant. Il a subit quelques modifications, quelques réparations mais reste encore précis et indispensable.
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Bonjour,
même avis, ce genre de lampemètre (puisque c’en est un) est un « lampemètre de service » ou « lampemètre d’atelier » , suffisant pour un test sommaire et pour du dépannage radio (ça ne teste pas les lampes en condition réelles et ce n’est pas précis, mais suffisant pour un test bon/mauvais).
Le(s) poste(s) peut (peuvent) servir de lampemètre pour tester un tube, ou quelques uns , et permet le test en conditions réelles
(c’est un avantage)
Mais
Cette solution ne convient que pour tester un faible nombre de lampes, et que des lampes usuelles utilisés sur ces postes ! Si il s’agit de tester plusieurs centaines de lampes , avec des culots divers et variés, on ne pourra plus utiliser un ou des poste(s) car ils n’auront pas tous les supports requis et il en existe énormément, par ailleurs , un poste n’est pas fait pour supporter des centaines d’insertions successives de lampes , il n’est pas fait pour ça et risque de devenir un nid à faux contacts !
(c’est un inconvénient )
Donc, si on a un grand nombre de lampes a tester, le lampemètre devient vite l’instrument indispensable , et il faut en préférer un bon …Ou éventuellement deux, un modèle simple et basique pour un test rapide, fusse t’il grossier (qui pourra être bon marché , peu encombrant, facile à transporter ou on veux) et un second modèle plus évolué , et si possible permettant le test en conditions réelles avec les tensions idoines, et permettant la mesure de la pente (qui sera forcément lourd, volumineux, et beaucoup plus cher !)
Tout cela a déjà été dit, mais en plus court!
Pas tout a fait !
Ma (longue) explication met en valeur un autre point, important, concernant les lampemètres :La quantité de lampes a tester , qui peut être grande !
Et alors?
