Bonsoir à toutes et à tous,
J’ai un petit problème avec mon Lampemètre, j’ai modifier celui-ci avec l’aide précieuse de Jean-Pierre Tonnelier
Pour lui adjoindre une sortie du un multimètre numérique.
J’ai une différence entre ce qu’affiche le galvanomètre et le multimètre
Ex. :
Pour 10Ma au galva =11,7 voir 12 au multimètre.
J’ai fait l’essai avec deux appareils un Fluke 73 sur le calibre 300Ma et un B&K précision automatique de 60 000 P
Neuf Idem (sauf que le BK en rajoute à la queue leu-leu après la virgule…)
Bonsoir,
Je suis sur que vous y avez pensé, mais avez vous contrôlé le « 0 » galva du lampemètre?
Personnellement, je pense que un à deux mA sur une mesure de courant anodique de 100 mA, c’est négligeable et cela peut être différent même entre deux lampemètres de même type.
J-F.
Bonsoir Jean-François, oui bien sur pour le galva mais pour la différence cela n’est pas négligeable…
Un tube 12BH7 dont la mesure à 100% est de 10,5mA ci le galva m’indique 8,5 et le multimètre 10,5 cela est ennuyeux pour les appairés
Bonsoir Philippe,
Pour 10 mA, cela n’est pas négligeable, bien sur, mais vous pouvez tout de même apparier vos tubes , à condition de les mesurer tous « avec le même appareil » , que ce soit le galva du Métrix ou un milliampèremètre numérique.
Avez vous des différences aussi notables en mesurant sur un calibre inférieur (20 mA, par exemple), Dans le cas précis de ce tube?
J-F.
Cette différence de lecture est tout à fait normale et tout s’explique quand on connait un peu le fonctionnement du 310…
En effet les mesures ne sont pas faites en courant continu pur, mais le tube à tester est alimenté en alternatif, et le courant qui passe dans le galva est formé de demi-sinusoïdes positives.
C’est le système qu’a utilisé Metrix dans ses lampemètres.
Comme votre multimètre numérique est étalonné pour du courant continu, « ça ne le fait pas ! »
Il y a un facteur de correction à employer pour la mesure qui est celui de la valeur moyenne par rapport à la valeur efficace…(voir les cours d’électricité)
Pour un usage courant j’utilise le 310 qui me suffit amplement, équilibrage d’une double triode où connaître les caractéristiques des lampes usuelles
Son défaut c’est son poids et on ne peut pas vérifier la courbe , inutile pour un usage normal, mais d’une grande robustesse et simple et précis comme tout matériel Métrix
Bonsoir Pierrot et bonsoir à tous
Je pense avoir trouver, j’ai fais des mesures sur deux tubes préalablement testés par un ami sur LX109 et U661
et surprise j’ai des valeurs aux multimètre presque identique (sur le débit) mais moins stable sur la pente je reprend trois foi la mesure de pente pour être au plus juste
pour mon galva c’est tout simplement un mauvais contact sur l’inverseur je vais donc le remplacer.
Je cherche donc aussi une solution pour stabilisé la tension secteur j’utilise un Variac mais pas suffisant !
Une Idée
On ne peux pas faire une Mercedes avec une R4, malgré un système de mesure ingénieux, le Metrix 310 reste un lampemètre pour atelier de dépannage radio assez primitif fonctionnant avec une mesure sur le courant alternatif redressé par le tube à mesurer, on ne peut pas demander une grande précision avec ce système.
Comme indiqué dans son mode d’emploi, on peut mesurer approximativement la pente en variant la polarisation de g1 selon les indication en volts sur le cadran du potentiimètre Vg1 et lire la variation correspondante Ia en mA sur le galvanomètre, mais ce n’est pas une valeur absolue, c’est surtout utile pour comparer deux lampes du même type.
Si vous voulez mieux il faut un lampemètre moderne comne ceux vendus en kit par Radioelec (Rimlok sur eBay) ou un Metrix U61, qui mesure avec des tensions continues stabilisées
Bonjour à toute et à tous,
Les U61 et autre Lx109 sont d’excellents produits vendu à prix d’or avec leurs lots de problème à prévoir condo, tubes ect…et si un galva est h.s pas de pièce !
Le Rimlok trop Basic je retient l’idée de Pierrot pour le régulateurs à fer saturé …
Autrement je lorgne sur le FC2010 de Christian Fabert.
L’idée de base est excellente, mais la réalisation par Métrix est de la bricole. Les condensateurs et les tubes peuvent être remplacés, mais les mauvais contacts sont un fléau. Les galvanomètres sont souvent défectueux, car les systèmes de sécurité ne valent rien. Le transformateur d’alimentation a souvent d’importantes fuites entre les enroulements. Et ainsi de suite…
Il y a aussi le RoeTest de Helmut Weigl http://www.roehrentest.de/. Mais tout dépend de ce que vous voulez faire. Si l’on accepte l’hypothèse que les lampemètres n’ont pas été construits qu’en France, on se retrouve devant un choix assez important.
Le RoeTest est sans aucun doute possible un très bel appareil
mais je ne pense pas que la gamme de prix soit comparable
avec le FC2010.
Pour l’amateur, je trouve le RoeTest excessif . Attention,
ne pas se méprendre, le terme ‹ excessif › n’est en rien péjoratif,
plutôt à comprendre comme beaucoup trop puissant.
A rapprocher du « tout dépend de ce que vous voulez faire » de
Souris Blanche.
Bonjour
Jai depuis 50ans un 310 dont je n’ai jamais constaté les défauts que souris blanche indique , de plus le placer come du matos de bricolage est de la pure imagination ??
Contrairement il reste un des meilleurs lampemètre de sa catégorie « bien utilisé » pour un usage courant , il existe d’autres appareils plus performants , il me suffit .
Ce qui me désole c’est la dévalorisation du matériel français , il fait toujours plus beau ailleurs et leur matos est supérieur .
Cordialité métrologique
Roger Monnet
Si vous désirez vérifier des loupiotes, un lampemètre basé sur le principe du Hickok sera certainement un bon choix, à condition de connaitre les réglages à effectuer. C’est sur ce principe qu’est basée la plus grande partie des modèles de lampemètres de par le monde. Si ces réglages ne vous sont pas connus ou s’ils n’ont pas été publiés pour un certain type de lampe, vous vous trouverez devant un problème, car ces réglages ne sont pas directement déductibles des feuilles techniques relatives aux tubes. Les choses sont un peu pareilles avec les appareils testant sous courant alternatif, qu’ils soient à cartes ou avec des listes. Ce n’est qu’avec des lampemètres testant sous courant continu, que l’utilisateur compétent peut déduire facilement les réglages en partant des feuilles techniques. Il devient aussi possible d’examiner le courant de grille de façon plus précise, car un courant de grille n’est pas toujours dû à un mauvais vide.
Si vous désirez examiner un tube sous des conditions s’écartant de ce que les feuilles techniques indiquent, un appareil sous courant continu sera nécessaire.
Ici encore, un excellent instrument de mesure ne sera guère utile entre les mains d’un cancre.
Doctsf (Modèles & Marques)
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mais moins stable sur la pente je reprend trois foi la mesure de pente pour être au plus juste 
je retient l’idée de Pierrot pour le régulateurs à fer saturé …