Bjr,
Et…personne n’a encore évoqué son nombre de spires au PA
Bjr,
Et…personne n’a encore évoqué son nombre de spires au PA
Un des gros avantages du code Q et autres expressions des amateurs etait de permettre des contacts
constructifs sans partager la même langue natale.
C’est a ce titre qu’un minimum était requis pour l’examen.
La on sort complètement du sujet avec du jargon cbiste ou pire.
TX,RX,PA,VFO,BFO,AM,FM sont des abréviations basées sur l’anglais et connues de tous les OM
et SWL.
Beaucoup sont partagées dans le monde de l’aviation et de la marine ou la radio joue un grand role.
Si, et, c’est comme cela, que @Totolagalene définit son âge.
@Ford_Prefect Bonjour Ford_Perfect,
Certaines citées plus haut sont souvent utilisées dans le jargon OM en phonie et ce avant le boum de la CB
Si l’on veut revenir au titre du sujet c.a.d. abrégé.
Outre le code Q on peut lister les abréviations les plus courantes utilisées en CW avec les recommandations du début de page
Il y a aussi cette explication fournie par l’ARRL (association nationale de radioamateurs aux US) :
The first wireless operators were landline telegraphers who left their offices to go to sea or to man the coastal stations. They brought with them their language and much of the tradition of their older profession. In those early days, every station occupied the whole spectrum with its broad spark signal. Government stations, ships, coastal stations and the increasingly numerous amateur operators all competed for time and signal supremacy in each other’s receivers. Many of the amateur stations were very powerful. Two amateurs, working each other across town, could effectively jam all the other operations in the area. Frustrated commercial operators would refer to the ham radio interference by calling them « hams. » Amateurs, possibly unfamiliar with the real meaning of the term, picked it up and applied it to themselves. As the years advanced, the original meaning has completely disappeared.
Traduction Google :
Les premiers opérateurs sans fil étaient des télégraphistes fixes qui quittaient leurs bureaux pour prendre la mer ou occuper les stations côtières. Ils ont apporté avec eux leur langue et une grande partie de la tradition de leur ancienne profession. À cette époque, chaque station occupait tout le spectre avec son large signal d’étincelle. Les stations gouvernementales, les navires, les stations côtières et les opérateurs amateurs de plus en plus nombreux rivalisaient tous pour la suprématie du temps et du signal dans les récepteurs des uns et des autres. La plupart des stations amateurs étaient très puissantes. Deux amateurs, travaillant ensemble à travers la ville, pourraient effectivement bloquer toutes les autres opérations dans la région. Les opérateurs commerciaux frustrés faisaient référence aux interférences radioamateurs en les appelant « jambons ». Des amateurs, peut-être peu familiers avec le sens réel du terme, l’ont repris et l’ont appliqué à eux-mêmes. Au fil des années, le sens originel a complètement disparu.
@Jean-Pierre_Waymel Bonjour J-P_W,
C’est possible aussi, mais a savoir pourquoi le fait de créer des interférences les comparer à un " Ham/jambon" ? Trafiquer comme des ?
Bon dimanche
J-P
Oui, c’est ce j’ai compris.
Au début c’était un peu (beaucoup)
le bazar.
Le mot utilisé a ainsi une explication possible.
Je dis bien « possible ».
Bonjour,
le mot « indicativé » n’existe pas
(tiré du Florida Skip Magazine – 1959).
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les radioamateurs sont appelés « HAMS »? Voici donc l’histoire : le mot « HAM » appliqué dès 1908 était le CALL des premières stations amateurs de transmission sans fil exploitées par les amateurs du Harvard Radio Club. Il s’est agi de trois amis ALBERT S. HYMAN, BOB ALMY et POOGIE MURRAY.
Au tout début, ils ont appelé leur station « HYMAN-ALMY-MURRAY ». Manipuler un nom aussi long en morse est vite devenu fastidieux et a nécessité une révision. Ils l’ont changé en « HY-AL-MU », en utilisant les deux premières lettres de chacun de leurs noms. Au début de 1901, une certaine confusion s’est produite entre les signaux de la station sans fil amateur « HYALMU » et un navire mexicain nommé « HYALMO ». Ils ont alors décidé de n’utiliser que la première lettre de chaque nom, et le CALL est devenue « HAM ».
ça n’a jamais existé chez les OM, seulement chez les cibistes
@F6FLC Bjr,
Voir post 68/90
ce sont les cibistes, qui ont « argoté » le sigle QRG pour fréquence
68/90 ? ça correspond à quoi ? je n’ai aucun numéro sur les msgs
C’est une légende.
Ils sont dans l’ascenseur, celui des messages.
Je ne le pense pas, les cibistes ( du 27 Mhz ) n’ont rien à voir ici.En fait c’était il y a un peu plus de 25 ans, quand des gens ont eu la bonne idée de trafiquer en SSB sur le 6.6 Mhz, bande allouée à l’époque à la navigation aérienne. Je me souviens en particulier d’un gugusse ( son " surnom-indicatif-bidon " peut-être Remoulade je crois ? ) qui roulait les airs et qui employait toujours les mêmes mots/phrases, du style : Attention mon ami…C’est à moi que tu modules…break-break…Tu n’es pas sur la courgette ( QRG )
Et le QFE
C’est utilisé dans l’aviation
C’est la pression atmosphérique au niveau du sol de l’aéroport pour calibrer l’altimètre en vue d’un atterissage
Par ailleurs, les radioamateurs indiquent la position géographique en utilisant le « Maidenhead Locator System » https://fr.wikipedia.org/wiki/Maidenhead_Locator_System. Ils ont même un objet sacré appelé « Wouff-Hong ».
Aussi appelé QRA locator.