Visite du musée de la radio à la maison de l’ORTF. Dans un ensemble de vitrines sont exposées les pièces les plus rares dans le domaine de la TSF et de la radio. Une bande sonore accompagne les visiteurs le long de la galerie où sont exposés les objets qui ont fait l’histoire de la télégraphie. Les photos des précurseurs Faraday, Maxwell, Marconi, Hertz, Branly, Popov, Ferrie introduisent la visite. Témoignage du colonel BRENOT, adjoint en son temps du capitaine FERRIE, sur les débuts de la télégraphie sans fil et du rôle de la Tour-Eiffel dans la transmission des ondes. Marcel LAPORTE, premier « Radiolo », autrement dit speaker, raconte ses débuts sur une radio privée. Jean Paul CASTAN un des pionniers du 1er journal radiodiffusé évoque ses débuts de 1924 à 1940, dans le premier studio situé dans le pilier nord de la tour Eiffel, puis dans un studio installé au Grand Palais. Pierre CRENESSE, se souvient du 20 août 1944 et de son annonce faite sur les ondes de la radio libérée. Sa voix off sur des photos de la Libération.
J’ai eu la chance de visiter le musée de la radio dans les années 80 et de rencontrer Mr Roger Herbaud, ainsi échanger quelques mots et évoquer l’histoire, notamment de Allouis. Excellent souvenir de ce musée de Radio France aujourd’hui en sommeil, et qu’en reste t il ?
Dans cette liste exhaustive des pionniers de la télégraphie sans fil il manque Eugène Ducretet ingénieur et industriel un des tous premiers constructeurs…!
Si c’est le musée qui était dans le bâtiment de la maison de la Radio, je l’ai visité, sans doute vers 1975-76.
Si je me rappelle bien , le musée à été ensuite fermé au public , et je ne sais pas ce que sont devenues les collections.
Pour se consoler d’un musée qui ne réouvrira vraisemblablement jamais, voici en PJ le livre officiel du Musée de Radio-France.
pdf, 57 pages en couleurs, 7Mo
Merci! aux Admins de placer dans la section appropriée de la datathèque docTSF.
Oui hélas je l’ai visite dans les années 2000 lors du passage des oros de ma fille avec ses études
dmg qu’il soit ferme et on sait pas ce que sont devenus toutes les pièces de ce musée
J’ai habité pendant un an dans une chambre de bonne au 8ᵉ étage du 88 de la rue Raynouard (la rue qui le longe par-derrière) et j’avais une vue imprenable sur ce bâtiment et sa cour qui est juste de l’autre côté de la rue.
À l’époque, fin années 70, je garais ma 404 sur le parking en face de chez moi tout le long de la rue côté Maison de la Radio et sans souci de trouver de la place de garage et ceci gratuitement.
Ç’a dû surement changer depuis !
Quand j’ étais au Lycée , mes correspondants avaient un salon de coiffure rue de Boulainvilliers , rue qui mène direct de la rue de Passy à la rue Raynouard , donc au coin de la maison de la radio .
Et j’ avais un copain qui habitait rue Lafontaine !
En 1967 j’ ai habité rue Singer , à Côté du bureau de poste , une chambre de bonne mansardée , au 6ème , avec encore un ascenseur à piston , qui n’ allait que jusqu’ au 5ème , qu’ on avait juste le droit d’ utiliser pour monter et pas pour descendre , avec pour protection une grille unique en accordéon
Sûr que ça a changé depuis ! Il n’y a plus de stationnement gratuit à Paris depuis plus de 20 ans (sauf la nuit et le dimanche) et de plus il y a de moins en mois de places de stationnement.
C’est un des aspects de l’esprit « anti-bagnoles » de la Mairie de Paris depuis 2002.
C’est le cas dans toutes les villes d’Europe à notre époque, pas plus à Paris qu’ailleurs, la voiture n’est plus la reine en ville et c’est une bonne chose.
Amusant : en 79 et 80 j’habitais aussi rue Singer : au numéro 35. L’immeuble en briques qui se termine en pointe au dessus de la petite gare du Ranelagh. Donc pratiquement en face de la poste.
Au 50 Rue Singer, du temps de l’Espagne franquiste, il y avait le siège du Gouvernement Basque en exil et c’était l’adresse postale de leur radio clandestine « Radio Euskadi La Voix de la Résistance Basque » qui émettait en ondes courtes d’après certain depuis le Venezuela.
Il est toujours en service et maintenant il s’appelle « maison de la Radio et de la Musique ».
L’auditorium a été refait récemment et accueille de nombreux concerts.
pas si sur
Avignon est en train d’en crever du plus de voitures
meme les banques fuient le centre ville
il ne reste plus que qq kebabs louches qui vivent d’autre chose que de la bouffe , des boutiques de téléphonie
plus de magasins , les halles désertées, les restaurant de grands chefs périclitent
cela ne s’anime d’un faune, pour le moins curieuse, qu’au moment du festival
la pléthore de restaurants éphémères…et de mini théâtres tout cela disparaissant des le départ des « artistes »
J’ai habité deux ans à coté d’Avignon, déjà le nombre de vols de deux roues à l’époque était infernal, on parle de Marseille et Nîmes mais Avignon est un enfer aussi !
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