bonjour,
j’ai eu pendant de nombreuses années dans ma chambre une grande affiche d’un Super constellation
j’allais justement le citer le SUPER CONSTELLATION
un autre oiseau magnifique parmi bien d’autres
son papa kelly Johnson
bonjour,
j’ai eu pendant de nombreuses années dans ma chambre une grande affiche d’un Super constellation
j’allais justement le citer le SUPER CONSTELLATION
un autre oiseau magnifique parmi bien d’autres
son papa kelly Johnson
salut à tous
Que nenni !
Si on a bien suivi le reportage , on aura noté que seul le fuselage s’ allonge du à l’ élévation de température causé par la friction de l’ air à grande vitesse , mais que pour éviter les inconvénients de cet allongement , le plancher de la cabine , supportant les sièges , qui lui ne s’ allonge pas ! était donc désolidarisé du fuselage et monté sur glissières !
Seuls à la limite les premiers sièges avant voyaient la paroi entre eux et le cockpit s’ éloigner un peu ( il faudrait revisionner le reportage ) .
Bonjour,
Claude a tout à fait raison car il est certain que l’allongement de fuselage,d’ailleurs infime, ne concernait pas la cabine; tout cela m’a été expliqué le 2 mars de l’année dernière l’ors de ma visite du Concorde qui est exposé à Athis Mons.
Voici le scan d’un souvenir que j’ai ramené à l’occasion de cette visite.
Bon vol.
Patrick.
Le reportage parlait d’ un allongement du fuselage d’ environ 20/22 cm au total .
Donc avec le plancher de la cabine sur glissières , elle s’ éloignait de cette distance de la paroi d’ avec la cabine de pilotage , et ça ne se voyait qu’ en sortant du cockpit .
Comment se faisait l’ étanchéité entre la cabine et la paroi externe à cause de ce déplacement , ça n’ a a pas été indiqué
Ce déplacement du plancher et donc des sièges devait quand même se remarquer par la position des hublots/aux sièges je suppose !
l’allongement se voyait au niveau de la console officier mecanicien
Bonjour,
Au niveau des commandes mécaniques et du câblage électrique,il fallait prévoir cet allongement qui d’ailleurs devait déjà être connu depuis longtemps dans les avions militaires supersoniques.Dans le début des années 50,ces avions militaires pouvaient êtres appelés,comme certains petits bateaux, des « pointus » comme le montre la première photo.
En ce qui concerne la photo de l’avion présenté par tournesol, il ressemble au Lookheed Electra .En ce qui concerne le Constel, sa double antenne filaire qui part du cockpit aux extrémités du triple empennage, est unique en son genre et c’est vrai que c’est un bel avion que j’ai eu la chance de prendre juste après le DC6 .
A l’époque du Constel ,l’avion de ligne ne faisait déjà plus rêver et il fallait ajouter des sièges afin de rentabiliser les vols comme le montre la seconde photo tirée d’un numéro de Science et vie de 1951 qui compare le confort d’une même cabine configurée en low- coast ou en première classe (j’adore la tronche que font les passagers des deux classes différentes qui,en outre, pouvaient encore regarder le paysage qui était souvent à faible altitude).
Le Comet, comme celui de la troisième photo, j’ai failli le prendre mais mon père à l’époque ne voulait plus en entendre parler après ses tragiques accidents.
Toujours à cette époque des années 50,il y a avait encore à bord des avions de sacrés postes de radio à lampes et la création des fréquences préréglées devaient bien aider le technicien radio comme celui qui est sur la troisième photo.
En ce qui concerne le Concorde,c’est un bel oiseau dont l’ossature de la voilure delta est inspirée de celle du bréchet du Fou de bassan comme l’indiquait André Turcat dans un documentaire passé à la télé il y une bonne vingtaine d’années.
Cordialement.
Patrick.
C’ est si je me souviens bien ce qu’ indiquait le reportage
Je n’ ai "pris " l’ avion qu’ à l’ âge de 25 ans , en 1969 , en B707 au retour de Nice à Orly , pour revenir, accompagné de mon chef de service, de l’ usine de Sud Aviation / Cannes la Bocca .
A l’ époque jeune recrue à la SEREB , les ingés avaient droit sur de " longues " distances en France à l’ avion à l’ aller mais au train au retour, ou vice versa ! . L’aller sur Paris Nice à l’ époque se faisait de nuit par le " train bleu " en couchette ou WL .
bonjour,
au post 40 41 je présentais surtout l’ingénieur qui d’ailleurs se trouve devant une soufflerie qu’il chouchoutait beaucoup
voici un docu " constellation "
super !
Etant petit, j’adorais l’aviation (d’où mon avatar). Vers 5 ou 6 ans je restais planté le nez en l’air à me demander comment ces appareils pouvaient bien tenir en l’air sans tomber… J’avais beau triturer mes méninges dans tous les sens, je ne comprenais pas, et ça me faisait bien râler.
Je n’avais pas encore fait l’expérience de la consistance de l’air à grande vitesse. C’est, un jour, en sortant la main à travers la fenêtre de la voiture que j’ai pu comprendre que l’air a une densité qui augmente avec la vitesse, et qui peut donc, à partir d’une certaine vitesse aspirer les ailes vers le haut (effet Bernoulli) et maintenir l’appareil en l’air.
Je jouais avec des modèles réduits et notamment j’avais un Super Constellation, l’avion en vogue à l’époque. C’était vraiment un bel avion, en forme de dauphin. Doté de 4 propulseurs, il pouvait rallier sa destination sans problème, même si l’un d’eux tombait en panne, ce qui arrivait assez souvent, d’après ce que j’ai lu.
Je me faisais acheter des livres sur l’aviation. Et sur l’un d’eux, il y avait ce bel avion également, le Boeing 377 « Stratocruiser » qui me fascinait par ses dimensions, la forme et le vitrage de son cockpit.
Mais paradoxalement, je n’ai pu faire mon baptême de l’air qu’au début des années 80, sur un banal vol Marseille/Paris aller et retour en Airbus. Rien de très excitant.
Depuis, j’ai largement rattrapé mon retard.
Mais je regrette de ne jamais avoir pu voler sur un Stratocruiser, un Super Constellation, ou bien évidemment un Concorde, même un DC3… Bah, dans une prochaine vie, peut-être…
Mes parents eux, et a fortiori mes grands parents, ont quitté ce monde sans jamais avoir mis les pieds dans un avion.
Chacun ses mystères . Moi à 6/7 ans je me demandais comment les encore bien rares voitures qui passaient dans la rue , la nuit tombée , pouvait bien allumer leurs phares . depuis , j’ ai compris également .
Maintenant quel gamin s’ interroge encore manipulant tous les gadgets qu’ il a entre les mains, sur leur fonctionnement ?
Mon père avait un copain, qui faisait des baptêmes-de-l’air à Toussus-le-Noble( au sud de Versailles). Il volait sur un « Fairchild »,mono-moteur, qui avait servi comme appareil de reconnaissance.Ce type, était ancien pilote de la France Libre,et, je pense,était passé par toutes sortes de situations plus périlleuses les unes que les autres. Il s’appelait(nom de famille ) Mr Loriau! Ça ne s’invente pas!Quand à son chien, qui l’attendait toujours au bout de la piste,il avait un nom de circonstance : Contact!
Mon père, donc lui avait réparé sa radio,et, il en était si heureux,que s’étant pris d’amitié pour le gamin que j’étais alors,il passait me prendre(nous habitions Chaville)le dimanche matin,et, si les clients ne se manifestaient pas ,nous partions,survoler la région, et, quand il avait seulement un ,ou deux clients,j’occupais la quatrième place!
Quand il y avait le compte,je traînais dans les hangards, et, c’est de cette manière,connaissant à force tous les mécaniciens,que je me suis trouvé à bord d’un C47, pour un vol d’essai(version militaire du DC3). Je n’oublierai jamais cette journée!!J’ai connu après d’autre avions, bien-sûr,DC4,Bréguet-deux ponts,Caravelle,
B707…mais jamais je n’ai retrouvé les sensations,ni la crainte, ni le plaisir de ce vol (accompagné du bruit rassurant, finalement)des deux puissants moteurs!Et les gestes de l’équipage!Les commandes de gaz poussées à fond au point fixe, juste avant le décollage… J’ai toujours eu l’envie de le faire moi-même, mais je n’en ai jamais eu l’occasion! Ça restera un souvenir de gosse!
Belle histoire ! J’aurais adoré avoir la même à raconter…
Moi c’est carrément l’inverse car j’ai eu tellement l’occasion de prendre l’avion régulièrement et très tôt,dès mes deux mois comme je le relatais plus haut, alors j’ai été vite saturé .Le seul regret que j’ai c’est de ne pas avoir eu l’occasion de faire un de ces magnifiques voyages dans l’un de ces grand hydravions du genre Laté 646.Je me souviens d’un petit détail de voyage à bord d’un Super Constel. ou plutôt d’un « Star Liner » de la compagnie UAT il me semble; à bord il y avait un chef cuisinier qui réchauffait et agrémentait les plateaux repas.A cette époque,.à l 'escale de Casa,tout le monde descendait de l’avion par mesure de sécurité pendant que l’on ravitaillait l’appareil,cependant je n’ai jamais visité Casa…
A côté de chez moi à la campagne,il y a l’aérodrome de Couhé Vérac qui est une destination de ballade à pied que mes petits enfants apprécient beaucoup et ils sont beaucoup plus intéressés par les ULM qui décollent et atterrissent avec tant de facilité…
Dans le même style…Quand je suivais des cours de pilotage sur Robin DR 400, avec Claude Roux, comme instructeur. Revenant d’une petite balade régionale, et après s’être posé sur la piste de l’aérodrome de Lyon-Corbas, il me fit stopper l’avion, ouvrit la verrière et saute dehors, en me disant " je vais boire une bière au bar : à tout’ à l’heure ", me laissant seul à bord .C’était donc le jour tant attendu du " lâcher ".
Sans trop me poser de question, je refermais la verrière, mis à fond les gaz, et décollait tranquillement pour quelques tours de piste.
Je me souviens parfaitement de cette impression d’indépendance, seul à bord…Et d’une certaine fierté, accentuée quelques temps plus tard quand je fut autorisé à prendre des passagers, et d’emmener mes enfants se balader.
bonjour,
le « laché » quel souvenir vivace s’il en est!
@+
Bonjour
Au cours du reportage une anecdote racontée par un des pilotes d’essais français du concorde non seulement les anglais aurait voulu l’appelé « Concord » sans e et l’audace de dire que leurs mesures en pouces étaient plus précises que les nôtres en millimètres ce que notre ingénieur trouvait prétentieux et ridicule et cette conversion à aussi posé des problèmes…?
Nous ne sommes plus à l’époque du « rêve Concorde » et le transport aérien est devenu d’une très grande stupidité.Je savais qu’un avion, même très peu rempli, reviens moins cher s’il vole que s’il reste immobilisé dans un aéroport où les frais de stationnement sont très élevés mais je viens d’apprendre, qu’ afin qu’une compagnie aérienne puisse conserver des créneaux horaires de vol favorables (slot pour ceux qui disent Concord) ,il fallait les utiliser au moins à 80% ce qui en ce moment n’est pas évident et favorise ainsi le vol d’avions plus ou moins « fantômes ».Je sais que nous sommes dans une période exceptionnelle mais tout de même en temps normal,à cause de ces frais de parking élevés et de ces « slots »,la majorité de tous ces avions qui passent dans le ciel doivent êtres peu remplis mais nous polluent de plus en plus aussi bien au niveau atmosphérique que sonore…
J’ai entendu cette information à la radio également. C’est vrai, c’est complètement absurde de faire voler des avions vides.
C’est comme à l’armée, à une certaine époque, pour éviter les baisses de dotations d’une année sur l’autre, il fallait absolument brûler tout le carburant avant la fin de l’exercice, quitte à le gaspiller.
Il y aurait quelque-chose à revoir dans ces pratiques, qui vont à l’encontre du simple bon sens.