Doctsf (Modèles & Marques)
AnnoncesJ’ai réparé ces autoradios dans les années 80, et Pioneer sortait toujours du lot à l’époque avant l’avènement du Cd audio. Et là, ce fut beaucoup moins drôle coté fiabilité. bonne soirée 
Fallait bien vendre … c’etait ca ou Tokai 
J’ai eu un auto-radio cassettes PO/GO/FM Pionner de 1986 à 2022 sans aucun problème 
Quand au lecteur de CD pour voiture, ça m’a toujours paru « incompatible » avec les soubresauts de la route !!!
Je rappelle à la communauté que je suis toujours à la recherche des docs Grundig TV à thyristors de 1972 à 1980 afin de les scanner et les intégrer à Grundig passion.
Bonne soirée a tous
Justement Jacques. C’est la qu’on voyait les marques sérieuses et les autres. Une mémoire tampon stockait quelques minutes de lecture et la diffusait en décalé au rythme d’un quartz tant que la « FIFO » n’était pas vide pour éviter ce genre de problème. Bien conçu, il n’y avait aucun problème. et les japonais étaient très forts pour ça. ca s’est démocratisé ensuite sur les lecteurs Cd portables de qualité, plutôt rares. Bien sur, fallait pas faire le Paris Dakar… Le début de la quantification et donc du numérique pour l’audio. Mais fallait plutôt être maitre horloger pour se taper le démontage d’un châssis mécanique CD. Parce que si t’u n’étais pas station, tu n’avais jamais le droit à l’ensemble (ou hors de prix), tu devais dépanner à la pièce… On ne me retirera pas de la tête, qu’une lecture optique reste très éphémère. que ce soit l’usure du faisceau qui plus est divisé en 3 (d’où une focalisation alambiquée) ou la poussière, sans oublier le tabac…la technique monofaisceau étant trop compliquée sur un autoradio. dommage, c’était bien plus fiable (au départ) et ça absorbait bien mieux les chocs par son déplacement magnétique de bloc laser style galvanomètre. ca n’a pas empêché Philips de nous sortir un bloc CDm 1 de deuxième génération bien merdique. On en était à plier les deux lamettes à la pince, le tout contrôlé à l’oscillo pour revenir à une valeur « point milieu » de la tête… Mais une tête laser trop lourde restera trop lourde à l’usage. Un petit réglage (400mV exactement) après le remplacement d’un monofaisceau contre une multitude aléatoire sur le 3 faisceaux après remplacement du bloc laser et ça repartait. Je passe sous silence la qualité déplorable des moteurs plateau et tracking grossier à 2 balles des 3 faisceaux… Nostalgie!!!
Vu le temps déplorable chez moi à Chaumont (52000), je continue mes brillants exercices.
Une petite série sur la marque Blaupunkt en autoradio de 1968 à 1984. Je détestais cette marque allemande avec son code sécurité. en cas d’oubli, le client devait montrer pattes blanches pour le déverrouiller. et Blaupunkt va être l’un des premiers à intégrer les BC 548 C en version CMS BC 858C. On sait tous que c’était aussi fiable qu’une traban. Câblés en fonction mute sur un autoradio, imaginez les pannes possibles dans les années 80/90…
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Une petite pub sur la gamme Akai France de 1985.
J’en suis nostalgique pour deux raisons:
- A cette époque, Akai proposait de la HIFI en éléments séparés d’excellente qualité. Les amplis avaient des IC STK hybrides. Pas besoin de se taper les Push Pull et autre préampli à réparer. Le courant de repos était même dans certains cas automatique. Les platines K7 se dépannaient avec grand plaisir. Que du bonheur
. - Akai sous-traitait ses TV à Grundig. On verra donc passer le CT F211 AKAI en photo ici, châssis Grundig CUC 2490 à base de TDA 4600 pour commencer. Je rappelle que Grundig avait une politique d’échange standard pour tous ses modules. Très peu d’IC commandables (sauf si vous demandiez tres poliment à la bonne personne
).Par contre, AKAI fournissait tous les IC de tous ses modules 
. Donc sur un châssis Grundig avec tuner à base de SDA 3202 mort à la suite d’un amorçage tripleur provoquant de la neige à l’écran, fallait faire un échange standard tuner ou commander l’IC chez ASWO ou autre. Mais ça coutait un bras + une cuisse + un œil 
. Très peu de technos savait qu’AKAI fournissait cet IC pour une bouchée de pain.
Une pub Ducretet Thomson de 1967 que je pense avoir déjà mise mais sans doute plus nette lors de l’agrandissement pour voir le système de programmation de l’engin
Une pub HITACHI de 1985 pour être éclectique. Mais toutes ces marques japonaises n’étaient vraiment pas ma tasse de thé. Que ce soit Hitachi, Toshiba, Sharp, Panasonic, JVC… La miniaturisation sur un tv n’a jamais rien donné de bon. Sony etait plus respectable.
